Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mai 2022
Factckecking : seuls les maghrébins qui parlent de la consanguinité des Français pratiquent la consanguinité morbide en épousant leurs cousines
La presse française vient vous parler de vos impôts et de ce qu’ils peuvent faire pour aider les musulmans qui vous envahissent pour vous agresser au quotidien dans votre pays.
Actu.fr :
Rentrer au Maroc, pour Abdel, « ce serait la mort », assure-t-il. Et ce n’est pas qu’une métaphore, pour cet homme installé à Bordeaux (Gironde), qui souffre d’une myopathie de Bethlem. Cette maladie dégénérative, qui lui ronge les muscles et lui plie les membres, l’a cloué dans un fauteuil depuis longtemps déjà. Aujourd’hui, handicapé à 80%, il est entièrement dépendant.
Se nourrir, se laver, se vêtir : aucun de ses besoins fondamentaux ne peut être satisfait sans l’aide d’un tiers. Alors quand les services de l’Etat, appuyés par une décision du tribunal de Bordeaux (Gironde), lui ont intimé de quitter le territoire français, ça a été le coup de grâce pour Abdel. « Mes parents ont plus de 70 ans, ils sont trop âgés pour s’occuper de moi, et il n’y a aucun institut adapté à ma pathologie au Maroc, implore-t-il. Là-bas, si je ne meurs pas du manque de soins, je dépérirais psychiquement ».
Le choc est d’autant plus grand pour ce natif de Casablanca, qu’il portait la France en haute estime à son arrivée, en 2019 : « Je pensais qu’au pays des droits de l’Homme, on m’accueillerait le bras ouvert vu ma condition ».
Il suffit d’invoquer cette abstraction pour obtenir n’importe quoi en France, généralement grâce à des femmes blanches.
A charge pour les Français de passer à la caisse pour honorer la facture des droits de l’homme marron, fardeau de l’homme blanc.
Sur le plan sanitaire, l’accueil a, en effet, été sans faille. Il a été pris en charge au CHU de Bordeaux dans une Unité de Soins Normalisée, où il est hospitalisé à temps complet, et bénéficie des soins que requiert son handicap. En revanche sur le plan administratif et juridique, ça coince.
Arrivé en France avec un visa touristique, il a déposé une demande d’asile auprès du CNDA (cour nationale du droit d’Asile), » Une demande que font quasiment toutes les personnes qui arrivent sur le territoire », renseigne Mandy Rezeau-Mera, juriste spécialisée en droit des étrangers, qui suit le dossier.
En parallèle, Abdel sollicite un titre de séjour pour étranger malade. Une requête qui avait toutes les chances d’aboutir, puisque son acceptation est conditionnée à deux critères, » qui correspondent en tout point à la situation d’Abdel », pointe la juriste : « Un état de santé qui nécessite une prise en charge médicale dont le défaut pourrait avoir pour lui des conséquences d’une exceptionnelle gravité et qu’eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié. »
Il suffit à l’Afrique de se pointer pour être soignée, c’est la loi fronssaise.
Mais dans les faits, l’asile comme la demande de carte de séjour pour raison médicale ont été rejetés en bloc. Par la préfecture de Gironde la première fois, puis le tribunal administratif, après le recours suspensif engagé par les avocats d’Abdel en février 2022.
Motifs invoqués pour justifier le refus ? « Il ne parvient pas à justifier qu’il est isolé dans son pays », et l’OFII ( Office Français de l’Immigration et de l’Intégration) qui a fait examiner le dossier d’Abdel par un cortège de médecins estime que « eu égard à l’offre de soins dans le pays dont il est originaire, il peut y bénéficier d’un traitement approprié », peut-on lire sur la décision de justice.
Un dernier point que conteste fermement la juriste, rapport de plusieurs ONG à l’appui.
« Je peux par exemple citer un rapport d’Handicap International, qui affirmait en 2020 que les politiques visant à améliorer l’inclusion sociale des personnes handicapées sont encore mal mises en œuvre, en partie à cause d’un manque de financement. Les personnes handicapées ont peu de services dédiés (aidants, accès aux bâtiments, etc.) et leur inclusion dans la société civile reste limitée! »
Plus que les pages noircies d’un rapport : ce quotidien de personnes en situation de handicap au Maroc, Abdel la connait, pour l’avoir subi pendant près de 38 années. Pas d’accessibilité aux services publics, aux transports, pas d’entraide… Ce sont des difficultés qui, mises bout de bout, deviennent insurmontables.
Le Maroc est un trou à rats, c’est pourquoi c’est votre obligation de passer à la caisse, sales gwers.
Pas de discussion, pas de murmures, uniquement le chéquier et vos excuses.
L’idée d’avoir recours à une auxiliaire de vie a également été évoquée, bien que vite abandonnée : « Il existe peu d’auxiliaires de vie au Maroc, et a fortiori peu d’auxiliaires de vie disponibles à temps plein. Le salaire moyen d’une auxiliaire de vie à temps plein est d’environ 3 000 à 4 000 dirhams par mois, (entre 300 et 400 €) alors que le salaire moyen au Maroc est de 340 euros environ ! Comment le financer pour un homme qui n’a pas de ressource ? », s’interroge Mandy.
C’est pourquoi, depuis la réception de son OQTF (obligation de quitter le territoire français), le 28 février de cette année, Abdel craint qu’on ne vienne le chercher. Angoisse et anxiété sont désormais son lot quotidien.
Même si « elles sont rarement appliquées pour des personnes dans sa situation », concède Mandy, l’OQTF prive Abdel de toute opportunité professionnelle par exemple.
« Nous voyons beaucoup de cas défiler au cabinet, mais celle-là est vraiment particulière, eu égard au traitement inhumain et dégradant qui pourrait lui être réservé dans son pays », affirme encore la juriste.
Elle va faire appel de la décision du tribunal.
Je suis rassuré, une femme maghrébine dénommée Merah va jouer avec la loi judéo-républicaine pour nos coller un échec biologique du bled marocain sur le dos et priver ainsi un jeune Français de sang des sommes colossales englouties de la sorte.
Le turbo dysgénisme républicain à son zénith.
Je préfère l’Aktion T4.