Sigmar Polaris
Démocratie Participative
18 Février 2020
Le scénario cauchemar.
Euronews :
Toute proportion gardée, le Cambodge a dispersé malencontreusement sur son territoire des centaines de mini-bombes « bactériologiques » à retardement… Les 1 222 personnes qui voyageaient à bord du paquebot de croisière Westerdam, et qui ont été autorisées à descendre à terre après l’accostage du navire jeudi 13 février dernier dans le port cambodgien de Sihanoukville, sont en effet toutes potentiellement porteuses du coronavirus Covid-19.
Les Boomers veulent nous envoyer dans la tombe avec eux.
Ils n’ont aucune intention de nous laisser vivre.
Les autorités de Phnom Penh ont pris la mesure du danger un peu tard, et s’en mordent les doigts. En débarquant, la majorité des croisiéristes n’avaient subi qu’un examen médical succinct, et avaient pu ensuite se rendre facilement sur toutes les plages du secteur. Des autocars avaient même été mis à disposition de certains d’entre eux pour effectuer des visites dans la capitale du Cambodge (voir ci-dessous). Le gros problème, c’est que l’un de ces vacanciers lâchés dans la nature a finalement été testé positif au nouveau coronavirus.
Ces créatures de l’Enfer sont partis contaminer des petits enfants jaunes en plein pays khmer.
Je ne crois pas à la thèse de l’accident : c’est un plan concerté par ces hippies pour multiplier les foyers infectieux.
La malade est une Américaine de 83 ans qui, après avoir fait son petit tour de Sihanoukville, s’est arrêtée en Malaisie avant de vouloir rentrer aux Etats-Unis. Mais à Kuala Lumpur, elle a présenté des symptômes du Covid-19 et a été placée en quarantaine, ainsi que son mari. Comme le couple, très exactement 1 220 autres anciens passagers du paquebot Westerdam se sont « envolés », et se trouvent maintenant on ne sait où, quelque part au Cambodge, ailleurs en Asie, ou de retour dans leur pays d’origine.
Si 233 touristes sont encore à bord du navire, et faciles à examiner et à contrôler, quel casse-tête pour retrouver tous les autres ! Le Premier ministre cambodgien, Hun Sen, qui avait ironisé en parlant de « maladie de la peur » à l’arrivée du bateau dans le sud de son pays, ne rigole plus; il doit travailler en coordination avec plusieurs gouvernements étrangers, dont celui des Etats-Unis, ainsi qu’avec l’opérateur du paquebot de croisière, Holland America, et même l’Organisation mondiale de la Santé. Chaque minute compte car, on le sait, le coronavirus qui vient de Wuhan, en Chine, est fortement contagieux.
De véritables bombes humaines sont en circulation dans toute l’Asie du Sud-Est.
Ils ont fait Woodstock, voté pour la mélanisation totale de l’Occident et contrôlent toute l’épargne et l’immobilier des états développés.
Et maintenant, ils sont comme les kamikazes de l’EI : libres comme l’air et bourrés d’explosifs bactériologiques.