Bonne nouvelle : l’antisémitisme progresse à une vitesse fulgurante à l’échelle globale

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 Juillet 2020

J’ai un faible pour les articles geignards de la presse juive à chaque fois que le Kahal doit constater l’échec de ses manœuvres.

Le Figaro :

«L’antisémitisme est un virus contagieux». Félix Klein n’avait pas mâché ses mots lorsqu’en avril dernier il alertait sur la montée de l’antisémitisme en Allemagne. «Il y a des liens directs entre l’actuelle propagation du coronavirus et celle de l’antisémitisme», avait alors déclaré le commissaire du gouvernement allemand chargé de l’antisémitisme. Fin juillet, Josef Shuster, le président du Conseil central des Juifs en Allemagne, a pris le relais en exprimant son inquiétude quant à la profusion de théories du complot sur les réseaux sociaux rendant les juifs responsables de la propagation du virus.

S’il y a un virus contagieux, c’est celui du sémitisme parasitaire. L’antisémitisme n’est rien d’autre que la réponse immunitaire des peuples à cette agression virale. Une réaction d’hygiène.

Ces juifs ne peuvent pas s’empêcher d’inverser causes et conséquences pour mieux accuser les goyim des crimes qu’ils commettent.

Ce phénomène s’inscrit dans une tendance à la hausse de l’antisémitisme. Les délits contre les juifs ont, en effet, connu une forte augmentation ces dernières années en Allemagne, bondissant de près de 20% en 2018. «Nous avons deux indicateurs pour mesurer l’antisémitisme : d’une part, le nombre de crimes commis contre les juifs, d’autre part, des études pour déterminer ce que les gens pensent des différents groupes ethniques, précise le professeur Uffa Jensen, membre du Centre de recherche sur l’antisémitisme à Berlin. Les deux indicateurs ont augmenté même avant même la pandémie. Nous n’avons pas les chiffres pour 2020, mais je pense qu’ils vont augmenter, le coronavirus n’a vraiment pas aidé».

L’Allemagne n’est pas le seul pays à connaître une hausse de l’antisémitisme. Dans son rapport annuel, publié en avril, le Centre Kantor de l’Université de Tel-Aviv a recensé 456 actes violents antisémites dans le monde en 2019, soit une hausse de 18%. Si les auteurs de l’étude n’ont pas encore inclus les statistiques de 2020, ils ont toutefois noté que l’épidémie de Covid-19 avait déclenché une vague conséquente d’antisémitisme.

Beaucoup de nos lecteurs connaissent parfaitement la tactique à laquelle ces hébreux recourent dès lors que le peuple dont ils sucent le sang se réveille face à leur voracité. Le peuple élu se met à se lamenter bruyamment dans sa presse sur « l’inexplicable » augmentation de l’antisémitisme, s’exonérant par avance de quelque responsabilité que ce soit dans ce phénomène. Puis il convoque une kyrielle « d’experts » affligés de nez outrancièrement convexes pour faire le procès des goyim. Le juif, inquiet à l’idée de ce que le peuple veuille soudainement s’épouiller, se met à hurler au meurtre, vocifère, insulte, feint de pleurer, se fige, redouble d’imprécations, redevient silencieux, guette, hurle à nouveau.

Une fois que vous connaissez les ficelles rhétoriques de la race juive, ce peuple vous semble encore plus pitoyable et repoussant qu’il ne vous paraissait de prime abord. Toutes ses réactions sont téléphonées, mécaniques, aussi prévisibles que les techniques de vente forcée d’un tailleur séfarade. Vous savez ce que va dire le juif, comment il va le dire et surtout, ce qu’il cherche à dissimuler sous le torrent de mensonges qu’il débite depuis l’estrade sur laquelle il s’est hissé.

Chez le juif grandiloquent, en toutes circonstances, le grotesque perce.

Parabole

Quand vous finissez par rire de la théâtralisation victimaire dont use le gaffeur jérusalémique pour abuser une énième fois du goy naïf, vous êtes immunisé. Le juif est devenu impuissant car vous lui avez fermé la porte.

Le pouvoir juif s’effondre à la minute où le goy lui dit tout simplement : « Non ». Ces trois lettres magiques suspendent instantanément les effets du pouvoir juif.

Quand cette attitude devient majoritaire dans la psychée d’un peuple, le juif, qui n’a pas perdu une seule miette de ce changement d’humeur, remise ses chœurs de pleureuses orientales et disparaît dans la nuit, sans laisser de traces. Celui qui jurait être indispensable à la vie même de cette nation, être plus brûlant de loyauté et de patriotisme que le plus éminent des citoyens de cet état, franchit la frontière le plus naturellement qui soit, sans même y réfléchir. Il a devancé la colère populaire et quitté le pays, sachant que l’amphitryon dont il a abusé de la générosité va lui présenter la facture. Si par la suite vous deviez le croiser dans les rues d’une ville du pays voisin où il vient de s’établir et que vous l’interrogiez, vous seriez stupéfait de l’entendre vous dire qu’il n’a aucun souvenir de votre pays, affirmant avoir toujours vécu dans son nouveau pays de résidence où il dirait sa race installée depuis des temps immémoriaux – avec les « droits » afférents – et auquel l’Etat devrait tout, à commencer par son existence même.

Tel est le juif dans sa glorieuse puanteur.

Que ce soit en Perse antique, dans la France médiévale ou dans la Russie bolchevique, c’est cette permanence raciale qui est l’essence du mosaïsme révolutionnaire.

Messages antisémites diffusés sur les réseaux sociaux, caricatures de personnes supposées juives, vidéos sur YouTube, cyberattaques… Depuis le début de la pandémie, les réseaux sociaux regorgent de théories du complot plaçant les juifs au cœur d’une machinerie mondiale. En France, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn, ainsi que son mari Yves Lévy, professeur immunologiste, ont été particulièrement visés. Critiqués pour leur gestion de la crise, ils sont également rendus responsables de la propagation de l’épidémie, notamment par des partisans du professeur Raoult, agacés par le manque de soutien du gouvernement à l’hydroxychloroquine.

Fin mars, le site Conspiracy Watch a ainsi relayé un tweet qualifié d’antisémite. «Pendant que Buzyn refusait de fermer les frontières, son mari Lévy empêchait Didier Raoult de publier ses résultats. Tandis que Jérôme Salomon liquidait notre stock de masques. Mais bon officiellement l’empoisonnement des puits au moment de la peste relève du mythe», écrivait ainsi un internaute sur Twitter. Selon l’Observatoire du complotisme, ce message «réactualise littéralement le mythe médiéval du juif empoisonneur».

C’est de la faute de ces sales goyim si, pour une raison inexplicable, nous retrouvons des juifs à tous les étages de la fabrication de cette pandémie imaginaire.

Comme il est tout aussi miraculeux que l’insurrection raciale noire soit étroitement pilotée par des commissaires politiques juifs américains, permettant au peuple élu de prélever de larges volumes de shekels au passage.

Il est également purement fortuit si les juifs se retrouvent au cœur d’une campagne mondiale pour agiter les ouïghours musulmans en Chine en fabricant de toutes pièces un « génocide » aussi crédible que les abats-jours en peau de juif d’Adolf Hitler.

Si, par hasard, vous constatez ce constat, le juif se met à hurler à l’antisémitisme avant d’ajouter qu’il n’y a « aucune explication » à ce phénomène.

Nos lecteurs savent qu’il y a une explication, toute simple, qui se trouve au beau milieu de ces scènes d’anarchie : le juif.

Je ne me lasserai pas, jour après jour, de contribuer à l’éducation des masses sur les causes de ce problème fondamental qu’est l’agression sémitique.

Dans le même style, nombre de caricatures d’Agnès Buzyn ont fleuri sur divers forums et sites. «Certains tweets et caricatures ont véhiculé la théorie que les juifs ont propagé le virus, détaille Tal Bruttmann, historien spécialiste de l’antisémitisme en France. Ce type d’accusations remontent au Moyen-Âge. En Allemagne ou dans d’autres pays européens, l’antisémitisme est toujours empreint de mythes médiévaux. Mais ce n’était pas le cas en France où on a vu réapparaître un vieil antisémitisme, qu’on n’avait plus vu en France depuis 6 ou 7 siècles.»

Au Moyen-Âge, les Juifs ont été tenus responsables de la propagation de la peste. Avec parfois de terribles conséquences. «En 1349, à Strasbourg, la moitié de la population juive de la ville a été tuée, lors du massacre de la Saint-Valentin, raconte encore Tal Bruttmann. Il y a eu des massacres à Grenoble également où toute la population juive a été tuée “en prévention” et finalement, les habitants ont eu la peste ensuite. On n’avait plus revu ce genre d’accusations en France depuis. Pendant le Sida, il y en a eu quelques-unes mais en faible proportion. C’est vraiment revenu avec le Covid.»

Face à la multiplication de ces messages haineux sur les réseaux sociaux, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme a déposé une cinquantaine de plaintes depuis mars, a indiqué son président, Sammy Ghozlan. «L’antisémitisme a surtout continué sur les réseaux sociaux. C’est quelque chose de récurrent, le juif est le bouc émissaire. On reçoit deux à trois signalements hostiles par jour, que ce soit des actes antisémites ou des messages sur les réseaux».

Ce Ghozlan qui persécute les Français n’est pas même établi en France.

C’est un terroriste juif qui contrôle les tribunaux (nominalement) français depuis Israël.

C’est la réalité française en 2020.

Une des plus vieilles nations d’Europe agonise sous le poids de la conspiration la plus criminelle de toute son histoire.

L’appareil d’état français est dirigé par un état suprémaciste juif géographiquement situé au milieu du désert proche-oriental. Pourquoi ? Parce que cet état racial juif dispose à Paris d’une cinquième colonne qui tient partis, médias, ministères, show-business.

Macron face aux juifs

Macron face aux Corses

Dans de telles circonstances, quelle nation qui a encore une once de respect pour elle-même ne pourrait pas devenir radicalement antisémite ? Vous croyez sérieusement que la juiverie tolérerait que des Iraniens établis à Téhéran puissent donner des consignes aux tribunaux israéliens pour persécuter les nationalistes juifs du Likoud ?

C’est ce qui se passe en France sous l’effet de l’enjuivement complet de l’Etat qu’accompagnent cyniquement les cogestionnaires comme Macron et consorts et à laquelle le RN lepéniste entend prêter main forte.

«Il existe également une autre tendance, celle des militants anti-masques, anti-vaccins qui disent qu’ils sont les nouveaux juifs parce que “persécutés”, analyse Tal Bruttmann. Et, dans les mêmes manifestations il y a également des pancartes antisémites.» En Allemagne, par exemple, des manifestations hebdomadaires sont organisées depuis avril. Une foule hétéroclite composée de militants venus d’extrême droite, d’opposants aux vaccins ou aux restrictions des libertés se rassemble pour dénoncer le port du masque dans les magasins notamment. Certains manifestants ont été aperçus avec une étoile jaune épinglée sur leur torse, portant l’inscription «anti-vaccins». «Nous avons été vraiment choqués, confie Uffa Jensen. Il s’agit d’un signe désignant les victimes juives. Quelques groupes extrémistes ont commencé à les porter pour signifier qu’ils sont également des victimes – surtout dans les milieux d’extrême droite. C’est offensant».

Des événements similaires ont également eu lieu aux États-Unis, où les manifestations pour dénoncer les mesures anti-Covid-19 ne sont pas rares. Début mai, lors d’un rassemblement anti-restrictions à Chicago, une femme a été photographiée avec une pancarte sur laquelle était écrit: «Arbeit macht frei», «le travail rend libre», soit le slogan inscrit à l’entrée du camp de concentration d’Auschwitz. Selon l’un des participants à la manifestation, qui a pris la pancarte en photo, cette femme américaine a assuré ne pas être nazie et qu’elle avait «des amis juifs».

«Ces dernières années, l’antisémitisme s’est accru aux Etats-Unis, même s’il n’est pas aussi prévalent qu’en France, estime l’historienne américaine Deborah Lipstadt, professeure en études juives. Les incidents se sont multipliés, il ne s’agit plus vraiment d’un havre de paix pour les Juifs». Le pays a d’ailleurs enregistré un nombre record d’actes antisémites en 2019 : 2107 actes d’agression, de harcèlement et de vandalisme contre 1986 en 2017.

Nous connaissons la nature des « agressions physiques » dont les juifs se disent victimes.

« Hé, rabbi, qu’est-ce que tu es en train de faire ? »

C’est une des plus vieilles ficelles de la juiverie.

Des militants d’extrême droite américains ont même inventé un nouveau terme : «l’holocough», contraction d’holocauste et de «cough» qui signifie «tousser» en anglais. Un message a ainsi circulé sur la messagerie Telegram appelant à transmettre le coronavirus aux juifs : « Si vous avez le virus, faites un câlin, propagez la grippe, à tous les juifs», pouvait-on lire. Le FBI a alerté sur cette pratique et les appels venant de néo-nazis et de suprémacistes blancs à transmettre le virus aux juifs. «L’antisémitisme a été très justement appelé la plus vieille haine du monde, c’est «pratique» de rendre les Juifs responsables de tous les maux. Et puis, internet a aidé à la diffusion de l’antisémitisme», ajoute Deborah Lipstadt.

Tal Brutmann rappelle également que face à un «choc mondial» comme le Covid, le réflexe est souvent de rejeter la faute sur quelqu’un. «Il y a eu plusieurs théories racistes, xénophobes et antisémites qui sont sorties. Les Asiatiques ont été tenus responsables au départ, par exemple, même si ça s’est atténué depuis». L’historien reconnaît toutefois que l’antisémitisme latent a, lui, pris plus d’ampleur et a plus de mal à s’estomper. «Vu qu’on a une explosion d’antisémitisme depuis une vingtaine d’années, il y a un enracinement lié aux réseaux sociaux. Donc ce n’est pas étonnant que l’antisémitisme resurgisse à chaque fois qu’il y a un problème». Et puis, selon l’historien, «dans une pandémie, il y a tous les ingrédients de l’antisémitisme : dire que les juifs contrôlent le lobby pharmaceutique, qu’il y a un complot mondial et qu’ils sont responsables de l’origine de la maladie, comme pour la peste».

Un climat pesant qui favorise par ailleurs le sentiment d’insécurité des Juifs, notamment en France. «Aujourd’hui, ils sont attaqués au plus près de leur domicile, ils sont accusés de tout et n’importe quoi. Il y a des attaques, des excréments devant les portes… Certaines personnes sont obligées de déménager, et la pandémie a accentué les choses, ça a rendu les gens surexcités», estime Sammy Ghozlan. D’ailleurs, les demandes pour faire son «aliyah», l’«ascension» en Israël, ont augmenté. Selon des chiffres officiels, environ 700 dossiers ont été ouverts en mai 2020 contre 130 en mai 2019 dans les bureaux de l’Agence juive en France. Les autorités israéliennes se préparent ainsi à accueillir une vague d’immigration juive post-coronavirus.

Si les juifs estiment qu’ils font face à une « vague d’antisémitisme » actuellement, ils risquent de tomber de haut lorsque la véritable tempête antisémite va s’abattre sur le crâne de ces hébreux.

Pour la première fois de l’histoire, le juif ne peut plus se dissimuler. L’internet a rendu impossible son antique tactique consistant à détaler dans un état voisin une fois le plus grand nombre alerté du danger sémitique. Ses agissements sont analysés en temps réel au plan global par d’innombrables personnes devenues conscientes de la gravité de la menace. Il ne pourra plus trouver refuge chez une nation mal informée de ce qu’il est et de ses plans.

La juiverie n’a plus guère qu’une décennie devant elle avant d’assister, médusée, à l’effondrement complet de la démocratie hébraïque en Occident. Ils ne trouveront plus un seul politicien assez fou pour défier la foule afin de lui servir de bouclier humain.

Vous-même serez stupéfait de la rapidité avec laquelle les enjuivés les plus volubiles de Twitter se transformeront en antisémites de choc, une fois que la tornade approchera dangereusement de leurs foyers.

Nous n’oublierons rien de ce que cette race nous a fait subir.

Si ces juifs ont un soupçon de bon sens, disparaître pour aller s’établir dans leur colonie ségrégationniste de Palestine est leur unique option. Et cette fenêtre de temps se refermera bientôt, elle aussi.

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