Captain Harlock
Démocratie Participative
30 Décembre 2020
Le cinéma français ne rayonnera plus sur le monde
C’est la seule nouvelle positive de l’année 2020 qui soit directement liée à la pandémie artificielle du Covid19 : le cinéma est mort.
Ce qui implique le cinéma français.
Le cinéma français est un abus de langage car le cinéma qui est produit en France est parisien et juif – ce qui est la même chose. Les Français ne font pas de films à proprement parler, ils se contentent de payer les juifs pour qu’ils leur montrent leurs films.
Mais tout ça est révolu.
BFMTV :
D’après un rapport du Centre National du Cinéma, les salles françaises ont enregistré seulement 65,10 millions d’entrées, contre 213,07 millions en 2019.
La pandémie de coronavirus aura eu raison des salles de cinéma. La fréquentation des cinémas en France, fermés ou obligés de réduire leurs capacités une bonne partie de l’année, a chuté de 69,4% en 2020, a annoncé mercredi le Centre National du Cinéma (CNC).
« L’année 2020 est marquée par la pandémie mondiale de Covid-19, qui a conduit à la fermeture des salles de cinéma à deux reprises pendant 162 jours au total. Sur l’ensemble de l’année 2020, la fréquentation atteint 30% de celle observée en 2019« , souligne le CNC dans son rapport annuel.
Alors qu’en moyenne, chaque année depuis 2010, une vingtaine de films atteignent ou dépassent deux millions d’entrées, il n’y en a eu que trois en 2020: Tenet de Christopher Nolan (2,3 millions d’entrées), 1917 de Sam Mendes (2,2 millions) et Sonic de Jeff Fowler (2,1 millions).
« Douze films réalisent plus d’un million d’entrées, contre près d’une cinquantaine au cours de la décennie. Aucun film ne réalise plus de trois millions d’entrées en 2020 », ajoute le Centre National du Cinéma et de l’image animée.
Même si les plus grands succès sont hollywoodiens, dans l’ensemble les films français enregistrent un recul plus limité (-60,7%) que les films américains (-76,7%) ou d’autres nationalités (-69,4%).
Ainsi, les films français (29,2 millions de spectateurs) ont totalisé en 2020 davantage d’entrées que les films américains (26,6 millions).
« Ce phénomène ne s’était pas produit depuis 14 ans, en 2006. La part de marché des films français (44,9%) est ainsi supérieure à celle des films américains (40,8%) et à celle des films d’autres nationalités (14,3%) », note l’organisation professionnelle.
Je ne sais pas comment les médias osent prétendre que cette débâcle serait une sorte de victoire du cinéma juif français sur le cinéma juif américain.
J’imagine qu’il fallait essayer de présenter ce désastre aux contribuables français sous le meilleur angle possible. « Oh oui Robert, la fréquentation s’est en effet effondrée de 70% mais nos drames sociaux super subventionnés ont attiré plus de spectateurs que les films américains ! Cocorico ! ».
J’avais une conviction très nette : détruire le cinéma français (parisien et juif, donc).
Impérativement. Et c’est fait.
Quand on voit les sommes énormes que les producteurs juifs de Paris ponctionnent au peuple pour permettre à Rachel de produire son sixième navet cosmopolite sur sa condition de bourgeoise ashkénaze suicidaire en mal de pénis africain, c’est tout simplement obscène.
Le CNC dispose de 700 millions d’euros qu’il déverse souverainement sur une petite poignée de juifs, toujours les mêmes, qui ont ainsi créé un véritable monopole hébraïque sur toute la production cinématographique française. Grâce à un mécanisme particulier, les producteurs juifs de Paris se financent en rackettant les téléspectateurs de films américains diffusés dans les salles françaises grâce à une taxe juive spéciale : la TSA. En plus bien sûr du racket des contribuables français à proprement parler.
Que les salles soient vides ne changent rien financièrement pour le cinéma « français ». Pendant encore de longues années, les juifs continueront de financer la production de films communautaires grâce à l’arme fiscale. Le ministère de la Culture, qui est un ministère contrôlé par les juifs et les homosexuels, continuera de financer la production de films que personne ne verra jamais en raison de la fermeture des salles. Pour se justifier, les juifs parleront « d’exception culturelle française ». Et aussi de l’holocauste et de la nécessité de lutter contre l’antisémisme, certainement.
Ce n’est pas vraiment important car en France, les juifs n’ont pas besoin de justifications crédibles pour piller les caisses de l’Etat.
Ceci dit le cinéma est fini en France en terme de média d’influence. Il n’était plus supportable d’être spammé en permanence par les horreurs produites par ces juifs.
C’est une véritable bénédiction car rien ne semblait pouvoir convaincre le bétail français d’arrêter de se ruer au cinéma pour admirer des créatures aussi repoussantes que Dany Boon ou Omar Sy, la créature des juifs Nakache.
Et plus généralement, consommer le rêve multiculturel juif.
Le cinéma anglo-saxon n’est pas aussi totalement sémitisé que le cinéma « français ». Le film 1917 par exemple est une production qui n’est pas infectée de sémitisme. La diversité chromatique est y totalement absente.
Et même les productions juives à grand spectacle américaines ont au moins pour elles d’être techniquement abouties.
Cette destruction du cinéma juif parisien permettra peut-être à des productions alternatives d’émerger même si c’est peu probable.
Malheureusement, Netflix compensera largement cette disparition mais c’est tout de même enthousiasmant d’être enfin débarrassé de cette pollution visuelle permanente.
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