Capitaine Harlock
Démocratie Participative
02 avril 2018
Un échange entre deux spécialistes de l’Afrique a eu lieu sur France Culture et, de l’avis général, il correspond globalement à la réalité. Et, accessoirement, à ce que disent tous les racistes sur ce sujet.
Un membre du forum Avenoël a fait un rapide résumé du contenu.
Avenoël :
On a donc 2 spécialistes de l’Afrique parfaitement démocrates et modérés (Stephen Smith et Serge Michaïlof) qui expliquent que :
-L’Europe va s’africaniser en profondeur avec de graves troubles politiques à la clef (validation explicite du Grand Remplacement).
-L’aide au développement ne sert strictement à rien et aggrave le phénomène migratoire (les candidats à l’immigration étant loin d’être les plus pauvres).
-L’urbanisation rapide et chaotique de l’Afrique est tout sauf synonyme d’enrichissement ou de développement, elle fonctionne aussi comme pompe aspirante vers l’Occident.
-Les politiciens locaux sont, de leur propre aveu, incapables de réguler l’explosion démographique : « Les présidents africains sont tels des piquebœufs juchés sur le dos d’un rhinocéros (le peuple) ».
-La polygamie et l’augmentation de l’espérance de vie aggravent le phénomène migratoire car les vieux riches polygames font monter le prix des dots, générant un nombre croissant de jeunes mâles célibataires désoeuvrés (cf : les esquifs remplis de couilles gonflées à bloc en Méditerranée).
-L’assimilation des populations extra-européennes est devenue impossible à cause de leur nombre, de nos systèmes éducatifs défaillants, du ressentiment post-colonial (dès la seconde génération) et des technologies qui renforcent le communautarisme sur place et les liens avec le bled (réseaux sociaux, télé par satellite, Western Union).
-L’Etat-providence colossal des pays européens (5% de la population mondiale + 50% des dépenses sociales mondiales) et l’absence d’hostilité franche des autochtones font de nos pays la destination prioritaire pour les décennies à venir.
L’émission est ici :
Au début, le système affirmait que l’immigration était marginale et qu’il n’était question que de protéger, avec la législation antiraciste, des petites (((minorités))).
Ensuite, il a commencé à reconnaître qu’il y avait bien une immigration significative, mais qu’elle n’avait qu’un impact positif et qu’il était outrancièrement raciste et mensonger de faire un parallèle avec le coût financier et humain, notamment sur le plan du crime, de cette immigration.
Après ils ont nié mordicus qu’un remplacement de population était en cours, au détriment des Blancs. Ils ont assuré qu’il s’agissait d’un « fantasme » voire, pour Marine Le Pen, d’une théorie « conspirationniste ».
Maintenant, le système assume enfin le projet : la création d’un état mulâtre, passablement islamisé, dont le niveau de violence élevé sera normalisé. Les Blancs seront le bétail au service de dizaines de millions de parasites dominés par les juifs.
La France du futur
Mais cette perspective encore trop flou pour les gens. Nombreux sont ceux qui croient encore que la France des Gendarmes à Saint-Tropez existe.
C’est-à-dire les boomers.
Les boomers vous diront deux choses, face à cette réalité. Au début, ils diront que c’est faux, exagéré, absurde. Poussés dans leur retranchement, ils vous diront vraiment ce qu’ils pensent : « J’ai fait ma vie, démerdez-vous ».
La situation sera en réalité bien pire que celle du Liban, de l’ex-Yougoslavie ou de pays comme l’Afrique du Sud ou le Brésil.
Le Liban est essentiellement divisé entre groupes religieux. Le fond racial et culturel est le même dans les grandes lignes, même s’il y a des groupes ethniques divers.
L’ex-Yougoslavie était une entité multinationale sous direction d’un système communiste. Il pouvait simplement rendre aux nations qui la composaient leur indépendance et ainsi mettre un terme à la guerre.
L’Afrique du Sud, quoique ultraviolente comme le Brésil, fait face à une violence exclusivement raciale dont les paramètres sont assez simples à cerner surtout au vu d’un rapport de force démographique globalement inchangé.
La France aura ces trois caractéristiques avec un effet démultiplicateur : affrontement racial parallèle à une explosion démographique islamo-nègre, éclatement territorial sur fond d’effondrement d’un état de type socialiste et, additif majeur, la confrontation avec l’islam fanatisé.
La France sera le Liban, la Yougoslavie et l’Afrique du Sud réunies.
Dans les rues, au pied des immeubles haussmanniens, des nuées de nègres camés parleront un genre de créole obscur.
La lutte pour la vie
L’idée d’un métissage généralisé telle qu’expliqué dans cette émission est très largement exagérée : le rythme de l’invasion est beaucoup trop intense pour qu’un tel brassage ait lieu. Ce sera une colonisation si rapide que le pays verra plutôt l’apparition d’énormes poches raciales et religieuses en confrontation permanente.
Le White Flight est d’ailleurs déjà en cours et ce sans qu’aucune politique raciste ne pousse les Blancs à le faire.
En outre, le phénomène des putains à nègres s’estompera significativement quand l’Etat Français verra son système social imploser sous le poids de la dette nationale. Être une mère isolée avec une descendante souillée de sang nègre ne sera plus pris en charge par l’état, faute de moyens. Aucun mâle blanc ne voudra se charger d’une telle sangsue.
Seuls les éléments les plus médiocres de la race finiront par se mésallier avec ces masses repoussantes pour disparaître dans le bain créole.
Le système de solidarité traditionnel reprendra vie. Une femme blanche cherchera un « bon parti » en la personne d’un homme plus âgé, disposant de suffisamment de revenus et d’appuis pour pallier à la défaillance du système social ainsi que pour assurer sa sécurité et celle de ses enfants.
Les enfants redeviendront la source de revenus pour les parents au moment de leur retraite, le système ayant depuis longtemps fait faillite.
Les femmes blanches seront à l’évidence dans une situation beaucoup plus précaire que les hommes blancs. Le féminisme disparaîtra de lui-même, en quelques décennies, même s’il pourra survivre médiatiquement dans les bulles hermétiques de la grosse bourgeoisie blanche des métropoles.
La présence de millions de nègres et d’arabes sans suffisamment de femmes disponibles les rendront encore plus agressifs et violents. La réduction en esclavage de Blanches deviendra un commerce parfaitement courant, avec des groupes de razzieurs spécialisés dont on peut s’attendre à ce qu’ils soient essentiellement algériens.
Il n’ira pas différemment de la défense des biens et des personnes qui va progressivement être prise en charge par les Blancs eux-mêmes. Au début de manière individuelle et ponctuelle, puis, par étape, au niveau d’un village ou d’un quartier. Sur un temps suffisamment long, de véritables armées privées émergeront avec à leur tête de nouveaux chefs qui détiendront la réalité du pouvoir politique et économique, comme au Liban ou en Ukraine.
Le danger continuera de venir des Blancs qui contrôleront ce qu’il restera de l’état central, avec l’appui de 20 puis 30 millions de supplétifs nègres et musulmans, pour continuer de piller les populations blanches.
Un tel scénario ne pourrait être conjuré qu’à la faveur d’une révolution et de l’abolition de la ploutocratie pour la remplacer par un régime fasciste, militariste et raciste dont le but serait précisément d’éviter que la gangrène ne progresse.
Dans les deux cas, le darwinisme social fera son office.