Le Libre Panzer
Démocratie Participative
28 février 2019
Bonne nouvelle : un criminel rouge de moins.
Le Tulliste Jean Viacroze, dernier survivant des pendaisons du 9 juin 1944, est décédé à l’âge de 104 ans. Ses obsèques auront lieu samedi à 10 heures en la cathédrale de Tulle.
« Je l’ai vu vendredi. Il était très en colère devant son impuissance face à la montée du fascisme que connaît actuellement la France. Il se disait que cela le renvoyait à 1933 et à l’avènement d’Hitler« . Michel Tressalet, président du comité de Tulle de l’Association nationale des anciens combattants de la Résistance (ANACR), a annoncé ce mercredi après-midi le décès à l’âge de 104 ans de Jean Viacroze, le dernier survivant des pendaisons de Tulle qui avaient vu la mort, le 9 juin 1944, de 99 personnes.
Pas 99 « personnes » mais 99 chiens d’égorgeurs rouges à la solde de Staline et du paradis judéo-bolchevique qu’était l’URSS.
Rétablissons les faits.
Jean Viacroze, s’il avait longtemps enfoui les souvenirs de cette terrible époque où il fut déporté à Dachau, avait conservé toute sa mémoire. Et la partageait régulièrement aux jeunes générations. A plusieurs reprises, il l’avait partagée avec La Montagne.
Jean Viacroze avait 30 ans en 1944 et était coiffeur, un métier pour lequel il était arrivé à Tulle. Mais il est réquisitionné à l’usine de la Marque. Dès 1932, à 18 ans, antifasciste, il adhère au mouvement Amsterdam Playel (Mouvement pour la paix).
« Mouvement pour la paix ».
Non : une organisation gigogne du Parti Communiste à la solde des juifs de Moscou occupés, à cette même date, à planifier le génocide ukrainien et ses 8 millions de morts.
Rétablissons les faits.
A ce titre, il participe à la réception en France des antifascistes italiens et des républicains espagnols suite au soulèvement des Asturies. Il est ensuite responsable de la CGT clandestine à l’usine de la Marque au côté de Guy Georges et s’engage dans la Résistance. « Tous mes copains étaient dans la Résistance, avait-il raconté. Ils faisaient sauter les pylônes, les transformateurs, les voies ferrées. »
Cette antique charogne rouge est pudique.
Viacroze n’évoque pas le rôle du Parti Communiste suite au Pacte Germano-soviétique signé le 23 août 1939 et qui lui vaut d’être dissout en septembre 1939 pour trahison, suite à la déclaration de guerre à l’Allemagne, par le gouvernement de la Troisième République.
Viacroze n’avait pas l’air pressé d’expliquer pourquoi lui et ses amis ont soutenu le sabotage du matériel de guerre français entre 1939 et 1940 afin de hâter la victoire de l’Allemagne conformément aux ordres de Staline.
Rétablissons les faits.
Le 4 juin 1944, il s’apprêtait à partir du côté de Saint-Bonnet-Avalouze pour rejoindre le maquis quand les premiers bombardements de Tulle commencent. Mais vers 13 heures, alors qu’il ouvre les persiennes de sa maison, il tombe sur un soldat allemand qui lui demande de sortir. Il est emmené à la Manu où s’effectue un tri. « Arrivés vers la gare, on a vu les cordes, déjà prêtes, secouées par le vent », se souvenait-il. Avec plusieurs prisonniers, il assiste aux exécutions d’une trentaine de personnes, place de Souilhac. Voit ses amis pendus tandis que « les Allemands mangeaient des cerises, écoutaient de la musique, rigolaient, ils s’en foutaient pas mal. » Finalement, il sera déporté.
Cette « répression aveugle » semble avoir visé juste : stupidement, Viacroze avoue faire partie d’une organisation terroriste aux ordres de l’appareil clandestin pro-soviétique. Cette appareil avait eu la bonne idée, à ce moment-là, d’attaquer des soldats allemands et de massacrer des prisonniers contrairement aux lois élémentaires de la guerre.
La vermine communiste n’a donc reçu que le traitement adéquat prévu par les conventions de Genève pour les bandes sans uniformes qui attaquent des soldats réguliers.
Le 2 juillet 1944, il prend le train de la mort depuis Compiègne. « On était asphyxiés, sans rien à manger ni à boire. Je suis rescapé du train de la mort. Plus tard, j’ai vu un kapo allemand porter des bottes d’un de mes copains, mort dans ce train », commentera-t-il. A Dachau, il ne reste que le temps qu’une quarantaine et est opéré d’un varicocèle. Direction ensuite un camp de travail dans le Tyrol, d’octobre 1944 à mars 1945, puis il part vers un autre camp de haute-montagne. Le 17 mai 1945, il quitte dans un semi-remorque Innsbruck avant d’être réceptionné en Suisse. « On a traversé la Suisse en train. A la gare de Genève, ils sont venus pour prendre nos identités, qui ont été diffusées par la radio. C’est ainsi que ma femme a appris que j’étais encore en vie », rapportait-il.
On apprend que l’administration SS de Dachau était si occupée à éradiquer cette racaille, pourtant éligible à l’exécution sommaire au terme du droit international, qu’elle la faisait opérer par les docteurs allemands en cas de problème de santé.
Les Nationaux-socialistes ont hélas péché par excès d’humanité en protégeant les égorgeurs rouges. Ayant trahi la France en 1939, ils reprirent cette activité dès 1945 en faisant massacrer autant de soldats français que possible en Indochine puis en Algérie.
Ensuite, à partir des années 60, le Parti des Assassins encadra l’invasion de la France par des millions d’ex-sujets exotiques, principalement musulmans.
C’est cette vermine qui a finalement crevé au grand dam du torchon marxiste « La Montagne ».
Remercions les héros de la Division « Das Reich » pour avoir liquidé 99 de ces terroristes rouges à la solde de Staline, limitant d’autant leur capacité de nuisance après 1945. Viacroze est parti les rejoindre dans les flammes éternelles de l’Enfer.
Commenter l’article sur /dempart/