Heinrich
Démocratie Participative
29 décembre 2018
Une odeur de nègres grillés flotte sur Bobigny.
Hélèna*, 40 ans, est la locataire de l’appartement où l’incendie mortel s’est déclaré jeudi soir. Prise de panique, elle n’a pas refermé la porte de son logement pour contenir le feu.
La tête encapuchonnée, large jogging gris, Hélèna*, 40 ans, les yeux remplis de détresse, est revenue ce vendredi matin sur les lieux de l’incendie mortel survenu jeudi soir, à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Quatre habitants, dont deux fillettes de 3 et 7 ans, y sont décédés. « Je suis dévastée, confie-t-elle, l’air hagard, entourée de deux de ses filles. J’ai beaucoup de douleur à être ici. »
C’est dans son appartement du 1er étage que le feu a pris vers 21h20, alors qu’elle s’y trouvait avec ses neuf enfants, âgés de 3 à 24 ans. « L’incendie est parti d’une ampoule sans abat-jour, posée sur la table de chevet dans la chambre de mon fils, raconte-t-elle d’une voix tremblante. Elle est tombée sur un matelas. Et ça a pris feu. » Cette hypothèse est sérieusement étudiée par les enquêteurs. Ils ont commencé à entendre les occupants de l’appartement dès vendredi matin.
Neuf putain de nègres. Cette motte de graisse africaine a chié neuf putain de nègres.
A 40 piges.
Elle a commencé à chier sa négraille à 16 ans.
Enceinte à 15.
Payée par les Français.
Selon Hélèna, la famille a jeté de l’eau sur le « petit » foyer, par réflexe. « Le feu se propageait sur les murs, dans tout l’appartement », décrit-elle, le regard fixé vers ses fenêtres calcinées. Elle panique. « J’ai pris tous mes enfants, et nous sommes sortis. » Sur le palier, Hélèna hurle : « Au feu ! Au feu ! Au feu ! » Et somme ses voisins de s’enfuir.
Affolée, elle n’a pas le réflexe de fermer la porte de son appartement pour contenir le feu. « Je ne peux pas expliquer, suffoque-t-elle, bouleversée. Je voulais sauver mes enfants. » Les flammes se propagent, les fumées toxiques envahissent les parties communes.
Sauver sa négraille.
L’incendie sera fatal à quatre habitants. Un cinquième, un homme de 48 ans, est toujours entre la vie et la mort, au lendemain du drame. « Je n’ai pas de mots, sanglote la locataire. Je ne connais pas les victimes. À part mes voisins de palier, je ne connais personne ici. »
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BRÛLÉS VIFS DANS LEUR HLM MERDIQUES
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« Un jour, dans un HLM pourri de Bobigny, 4 nègres finiront grillés. Je ne serai plus là pour le voir mais ma prophétie se réalisera. »
Je me sens mieux quand les nègres meurent.
Hélèna a emménagé il y a trois ans. Des discussions sont en cours avec le bailleur Seine-Saint-Denis Habitat, pour un relogement. « Cette famille nombreuse a tout perdu. On s’occupe de leur donner des produits de premières nécessités, comme des bons alimentaires », confie-t-on en mairie.
Parce que quand même, on ne peut laisser ces cons de nègres incendiaires rester sans s’engraisser et les empêcher de proliférer sans l’aide de la mairie.
La bonne nouvelle c’est que les quatre maccabés sont des bicots et des nègres de HLM.
Les juifs sont tristes.
Pensées pour les victimes du tragique incendie de #Bobigny. Solidarité avec les habitants et leurs proches.
— Ian Brossat (@IanBrossat) 28 décembre 2018
La droite juive est triste.
J’apprends avec tristesse la nouvelle d’un incendie mortel à #Bobigny: mes pensées vont aux victimes, à leur famille et à leurs proches.
— Valérie Pécresse (@vpecresse) 28 décembre 2018
Les féministes rouges sont tristes.
Terrible incendie meurtrier à #Bobigny. Encore… Solidarité avec les victimes, les familles. Soutien aux secours #SeineSaintDenis
— Clémentine Autain (@Clem_Autain) 28 décembre 2018
La pourriture trotskiste est triste.
#Bobigny. Moins de cris quand des habitant.e.s meurent dans l’incendie de leur immeuble que quand ce sont des voitures qui brûlent lors d’une manif. Pourtant la violence est aussi là, jusque dans les logements des quartiers populaires moins sécurisés. C’est la pauvreté qui tue.
— Philippe Poutou (@PhilippePoutou) 28 décembre 2018
Et moi je suis content.