La rédaction
Démocratie Participative
02 novembre 2022
Le peuple du Brésil voulait une révolution fasciste, mais avec à sa tête une version locale de Trump, il en a été privé.
C’est encore une occasion manquée.
🗳️🇧🇷BRÉSIL – Sans reconnaître explicitement sa défaite face à Lula, Bolsonaro est sorti du silence, 48h après le 2nd tour, pour affirmer qu’il respectera la Consitution brésilienne. Le président sortant appelle ses fidèles à cesser de bloquer les routes du pays (allocution). pic.twitter.com/exg9Y1TQwl
— 🌐Le Globe (@LeGlobe_info) November 1, 2022
« Respecter la constitution » brésilienne signifie de se subordonner à un gang de juges communistes corrompus qui décident de faire dire à la loi ce qu’ils veulent.
Ce mème démocratique et légaliste n’est plus respecté que par la droite bourgeoise qui brode sur le « respect de l’ordre ».
La gauche nord-américaine, sud-américaine et européenne assume totalement son envie de violence, de triche et de censure.
Après avoir passé une semaine à défendre l’état de droit contre la « fachosphère » durant l’affaire #Lola, le service public télévisuel fait désormais l’apologie de la désobéissance civile dans l’affaire #SainteSoline pic.twitter.com/S2PEc84pix
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) November 1, 2022
Le respect de l’ordre, c’est accepter de perdre dans les règles un match truqué.
Un fasciste le comprend et cesse de « respecter » cette arnaque.
Le populisme a été un échec sans précédent. Ses promoteurs n’ont rien tenté de faire contre la terreur judéo-globaliste, parce que les populistes « respectent les règles » fixées par les démocraties truquées.
Le Brésil va complètement tomber aux mains de la pire vermine marxiste, avec à la clef le chaos total partout. Quitte à avoir le chaos, autant l’avoir en position de force en éradiquant l’ennemi préventivement. C’est ce qu’aurait dû faire Bolsonaro en détruisant la démocratie, les marxistes et tout ce qui ressemble à un agitateur de gauche.
Maintenant, tout sera beaucoup plus coûteux.