Blanche Jardin, la Bretonne terrorisée par la température, explique pourquoi elle refuse de rendre l’argent en faisant des enfants

La rédaction
Démocratie Participative
18 juin 2022

 

Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit.

Céline

Une femme bretonne vous explique sa maladie mentale.

Premier soucis : il fait un peu chaud à 3 jours de l’été, c’est à cause des urnes.

Nous serons de plus en plus entourés de ces bêtes malades, trompettes tonitruantes de toutes les Apocalypses, pour justifier le grand rien.

Nietzsche n’a pas eu raison sur tout, mais il a très exactement senti ce truc bizarre qui commençait à flotter en Europe, dès les années 1870 : l’envie de crever.

Folle passion…

Maintenant l’envie de crever n’est plus une envie, c’est politique terroriste d’état, laïque, obligatoire. Quand on a pas tellement envie de caner, on devient louche au troupeau, on nous fait des fiches de police. Madame Resaillon vous trouve la mine bien tordue, bien cauteleuse, pas patriote pour tout dire.

Nous sommes assaillis, étouffés. Mesurés, en douce, quand on gare sa bagnole, vide sa poubelle.

« J’le sens pas, celui d’en face. »

Naturellement, l’hystérie est l’état normal des femmes blanches, horriblement. Je les compte plus, à mon niveau, les expériences sidérantes.

Celle-ci a déjà heurté le mur de la trentaine…. le dernier tribunal. Celui où les fausses excuses sont dévaluées irréversiblement, où il faut bien s’avouer les secrets dégueulasses.  Elle veut agresser des gens, elle aime pas leurs têtes, à eux non plus.

Pendant une décennie (de ses 16 à 33 ans en réalité), Blanche a sauté de bite en bite, préférant s’éclater plutôt que de fonder un foyer – l’obligation devant la vie. Maintenant que sa valeur sexuelle sur le marché s’est très nettement tassée, vient le moment de rationaliser le truc avec de très grosses excuses à la con.

Quoi de mieux que la température ?

C’est la faute aux autres, au climat, à Mussolini, si Grognasse suprême s’est faite surfourrer sans jamais rendre la pratique un tant soit peu utile à la société.

Quand une pute de ce calibre se met à dégoiser sur le nous universel, sur les causes ultimes, les générosités devenues impossibles, parce que complot en barre, c’est par calculs égoïstes. Elle s’en fout énormément, du futur, elle veut pas se faire chier, parce qu’elle est en descente, que tout devient plus chiant, long, usant, rébarbatif, de l’autre côté de la trentaine, celle qui mène aux 60 ans pré cimetière.

Et vas-y que je t’encucule

Air populaire

Le fait est là, tout éclatant : elle a pas rentabilisé son cul.

C’est de la barbaque qu’a coûté net, en tout, jamais un seul gain de rien, absolument tout en déficit, sur 33 ans. Demain sur 47. Ce sera que des années rances en plus, de fiel déversé, de mine infecte, de tabagisme, d’imprécations demi biturées, à subir.

La connasse tourne à vide.

Au Mali, pardonnez, ils cogitent pas autant. Ils ont pas le luxe de réfléchir si ça vaut le coup où non d’avoir des états d’âme de femme blanche qui s’ennuie.

Un sac de riz pour 10 pendant un mois, mais 10 enfants par femme, au milieu d’un désert de caillasses, sans espoir de rien que de voir des caillasses, pour des millénaires.

Je serais curieux de voir ce qu’elle dit, quand on lui dit que les cafres prolifèrent, si elle proteste ou ferme sa gueule par soumission totale aux infaillibles mâles marron.

On a les femmes blanches que l’homme blanc mérite.

On a mérité Blanche Jardin, avec ses ovaires inutiles gorgés de haine.

C’est comme les chiens. Un chien n’est que ce son maître en fait, le reste, c’est du vent.

L’homme blanc justifie toutes les redditions, sur tous les fronts, avec l’excuse de l’amour universel. Le cagot foireux.

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