Captain Harlock
Démocratie Participative
29 avril 2022
L’absurdité dystopique que nous vivons sous l’oppression de ZOG ne cesse de devenir plus absurde chaque jour qui passe.
Quelques jours après que l’organe du politburo de l’UE dirigé par Von der Leyen a annoncé la mise en place d’un système de censure totale de l’internet en Europe, l’UE et les USA ont signé une déclaration appelant à instaurer un « internet libre » mondial, ciblant explicitement la Chine et la Russie dont l’internet échappe au contrôle des juifs de la Silicon Valley.
Les États-Unis et 55 autres pays ont lancé, ce 28 avril, une initiative commune pour garantir un internet sûr et libre. Avec la signature de cette charte baptisée « Déclaration pour l’avenir d’internet », l’administration Biden veut réunir le plus de pays possibles autour d’une vision commune sur ce que doit être la toile de demain.
La « Déclaration pour l’avenir d’internet » contient plus de 20 « principes ». Dans cette charte, les signataires s’engagent, entre autres, à renforcer la démocratie en ligne en acceptant de ne pas fermer l’accès à l’internet. Les plus de 60 pays participants – dont la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, le Japon, ou encore le Kenya et l’Ukraine – promettent de ne pas utiliser d’algorithmes pour espionner illégalement les citoyens et de ne pas mener de campagnes de désinformation pour influer sur des élections.
C’est du second degré, bien sûr.
L’espionnage des citoyens occidentaux est la règle.
C’est d’ailleurs banalement officiel en France.
⚡🇫🇷RÉCAP -Surveillance des réseaux sociaux par Bercy.
-Voyage : création d’un service de police épluchant les données de réservation (bus, avion, train…)
-Vidéosurveillance : expérimentation de la reconnaissance faciale dans les lieux publics.
(E1 – Next INpact – Les Échos)— Brèves de presse (@Brevesdepresse) December 26, 2019
J’imagine que les élites globalistes sont parvenues à la conclusion que le bétail occidental est désormais totalement accoutumé à la double pensée.
L’entièreté du système démocratique occidental repose sur cet axiome.
Les masses lobotomisées peuvent accepter tout et le contraire de tout, simultanément, et prendre un esprit critique pour un authentique cas psychiatrique.
Cette initiative se veut un contrepoids face à l’inquiétante montée de grandes puissances autoritaires, où l’accès à l’information numérique est restreint. L’enjeu est majeur, explique la Maison Blanche. Puisqu’il s’agit de repousser « l’autoritarisme numérique croissant », dont font preuve notamment la Chine et la Russie. Les équipes de Joe Biden ont travaillé pendant plusieurs mois à l’élaboration de cette charte.
« L’autoritarisme »
Le site que vous lisez en ce moment même est régulièrement censuré par l’Etat Français sur ordre des juifs.
Tous les réseaux sociaux sont massivement censurés en Occident – également sur l’ordre des juifs.
Les juifs consacrent l’essentiel de leur énergie à censurer le monde occidental, rien d’autre. Ou pratiquement rien d’autre.
L’affaire du rachat de Twitter par Musk l’a mis en scène jusqu’à l’absurde.
Qu’il s’agisse de voitures ou de plateformes numériques, toute entreprise opérant en Europe doit se conformer à nos règles.
Et ce, quel que soit l’actionnariat.
M. Musk le sait très bien.
Il connaît les règles 🇪🇺 en matière d’automobile et s’adaptera rapidement au #DSA.
— Thierry Breton (@ThierryBreton) April 26, 2022
La nomenklatura globaliste menace la Chine et la Russie pour le contrôle souverain qu’elles exercent sur leur internet national tout en menaçant Musk au motif qu’il veut rétablir la liberté d’expression sur Twitter.
A aucun moment cette nomenklatura sémitisée ne doute face au foutage de gueule auquel elle se livre insolemment à la face du monde.
Depuis l’invasion de l’Ukraine, le 24 février dernier, « la Russie a promu de manière agressive la désinformation dans son pays et à l’étranger, censuré les sources d’information sur internet, bloqué ou fermé des sites légitimes et est allée jusqu’à attaquer physiquement l’infrastructure internet en Ukraine », a dénoncé un haut responsable de l’administration Biden auprès de journalistes.
« Ces sales Russes ferment des sites internet ! »
Les médias d’Etat russes Russia Today (RT) et Sputnik vont être bannis de l’Union européenne, afin de les empêcher de diffuser leurs « mensonges » sur la guerre menée par Moscou en #Ukraine, a annoncé la présidente de la Commission européenne Ursula @vonderleyen #AFP pic.twitter.com/OUicYUXe9x
— Agence France-Presse (@afpfr) February 27, 2022
Après son annonce sur « l’internet libre », Biden a décidé de confier à une femme blanche la censure de tous les médias qui soutiennent pas le régime globaliste.
Le président Biden a mis en place un conseil de « désinformation » dirigé par une soi-disant experte qui s’oppose à la liberté d’expression et qui a tenté de jeter de l’eau froide sur le scandale des ordinateurs portables Hunter.
Nina Jankowicz dirigera le conseil de gouvernance de la désinformation du ministère de la sécurité intérieure en tant que directrice exécutive, a rapporté Politico Playbook mercredi matin.
Le secrétaire à la sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas, n’a pas révélé les pouvoirs qui seraient accordés à ce conseil à consonance dystopique lors de son intervention devant les législateurs mercredi.
A la grande surprise de tous, Mayorkas, l’actuel ministre de l’intérieur américain, n’est pas hispanique.
C’est un juif à nom espagnol chargé de manipuler l’électorat latino pour le compte de la juiverie.
Les juifs n’aiment pas que les goyim puissent parler librement et quand ils cherchent des solutions, ils se tournent logiquement vers les femmes blanches pour les aider.
Vous commencez à comprendre ce mécanisme.
Il a expliqué que le conseil s’attaquerait à la désinformation avant les élections de novembre, en particulier dans les communautés hispaniques.
Mme Jankowicz, qui a révélé qu’elle était à la tête du département après la réunion de M. Mayorkas avec les législateurs, a tweeté : « La mèche est vendue : voici ce que j’ai fait ces deux derniers mois, et pourquoi j’ai été un peu silencieuse ici. Je suis honorée de servir dans l’administration Biden @DHSgov et d’aider à façonner nos efforts de contre-désinformation ».
Elle a ajouté « qu’un ÉNORME objectif de notre travail, et en fait, l’une des principales raisons pour lesquelles le Conseil a été créé, est de maintenir l’engagement du Département (sic) à protéger la liberté d’expression, la vie privée, les droits civils et les libertés civiles ».
L’expert en désinformation russe a précédemment qualifié l’affaire du portable du fils du président Joe Biden, Hunter, « d’invention de la campagne Trump ».
Cela suscite des questions sur la capacité de Jankowicz à juger avec précision la désinformation, maintenant que plusieurs sources ont confirmé l’authenticité du contenu de l’ordinateur portable de Hunter.
La semaine dernière, Mme Jankowicz a également laissé entendre qu’elle s’opposait au premier amendement parce qu’elle pense qu’il est mauvais pour les « communautés marginalisées » et a qualifié Elon Musk « d’absolutiste de la liberté d’expression » parce qu’il veut rendre Twitter plus ouvert à toutes les opinions.
La semaine dernière, M. Jankowicz s’est entretenu avec la radio NPR et a remis en question l’achat de la plateforme par M. Musk.
« Je frémis à l’idée que si les absolutistes de la liberté d’expression prenaient le contrôle d’un plus grand nombre de plateformes, à quoi cela ressemblerait pour les communautés marginalisées », a-t-elle déclaré.
Elle a ajouté que ces groupes « supportent déjà […] des quantités disproportionnées de ces abus » et que la liberté d’expression et l’absence de censure sur les médias sociaux ne feraient qu’aggraver la situation.
Jankowicz a conseillé le gouvernement ukrainien en matière de communication stratégique – elle a également géré des programmes d’assistance à la démocratie en Russie et au Belarus.
La liberté est liberticide, comme le dit le juif Enthoven.