Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2017
Quelle surprise.
La cofondatrice de la première «mosquée libérale» de Berlin, ouverte aux hommes et aux femmes, ainsi qu’aux membres de la communauté LGBT, a été placée sous protection policière durant 24 heures après avoir reçu des centaines de menaces de mort.
L’allemande Seyran Ates, militante des droits des femmes, avocate et l’une des sept fondateurs du lieu de prière musulman de Berlin qui accueille hommes, femmes, membres de la communauté LGBT et où le voile intégral est banni a du bénéficier d’une protection policière. Elle aurait reçu plusieurs centaines de menaces de mort.
Interrogée par RT, elle a déclaré ne pas être surprise par les réactions hostiles qu’a provoquée l’ouverture de ce lieu de culte. Car il constitue, selon elle, le «cœur» d’un mouvement qui enfreint les valeurs patriarcales.
«Je m’attendais à une telle réaction. Je m’attendais à ce que tous ne soient pas d’accord [avec l’ouverture du lieu de culte]. Je savais pertinemment que des hommes refuseraient que nous attaquions les valeurs patriarcales», a-t-elle déclaré aux journalistes de RT.
«Pour le moment, je n’ai reçu que des menaces, car je suis une des théoriciennes [du projet] et, pour ainsi dire, le cœur du mouvement. Mais c’est bel et bien un mouvement et les gens devraient le savoir», a-t-elle ajouté. Seyran Ates affirme également que, même si des personnes parviennent à l’arrêter, elles n’arrêteront pas le mouvement qui, selon elle, s’est mis en marche au quatre coins du monde.
La militante a expliqué par ailleurs que des mosquées similaires ouvriraient bientôt à en Allemagne, à Fribourg et Cologne, ainsi qu’en Suisse et à Oslo en Norvège, où un centre de prière similaire devrait ouvrir ses portes d’ici un an.
Plusieurs choses.
Il y a environ 110% de chances que cette « initiative » soit une action (((démocratique))). Il s’agit de contrer la montée en puissance de l’islam tout en sauvegardant l’idéologie dominante à base de femmes à barbe, de transsexuels, de lesbiennes, d’enfants nourris d’hormones pour leur faire changer de sexe, d’antiracisme et de promotion du nègre.
En somme, le but est d’inoculer aux musulmans le virus de la dégénérescence néo-communiste qui affecte les Blancs.
Autant dire que cette entreprise est vouée à l’échec. Mieux, elle va rapidement déclencher un phénomène de protestation de la part des musulmans, les radicalisant encore plus vite. Il n’y a rien de pire pour libérer la sauvagerie musulmane que l’humiliation collective. Mettre des pédales et des femmes à la tête d’une « mosquée » revient précisément à cela : humilier Ahmed.
Des centaines de milliers de bougnoules à 80 de QI, déjà coutumiers de l’ultra-violence pour des motifs dérisoires, vont voir ce phénomène se répandre et réagir avec la dernière barbarie. C’est mathématique.
Le seul choix qui existe pour l’Europe ouverte à la colonisation islamique est simple : la version légère, le Hamas, ou la version lourde, l’État Islamique.
De notre côté, c’est évidemment positif : cette mosquée « libérale » doit déjà ressembler à un bunker. Démonstration par l’absurde que l’islam de l’amour après lequel soupirent les démocraties est une parfaite escroquerie.