Bergoglio devrait déclarer dans quelques jours que Jésus défend le droit des fiottes à se transmettre le SIDA par l’anus

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 mars 2019

 

Le journaliste Frédéric Martel, qui vient de publier une longue enquête de 600 pages sur le réseau homo-pédophile international que l’on appelle le Vatican, a annoncé que le suceur d’orteils de nègre Bergoglio allait officiellement faire du sexe anal l’élément central de la foi chrétienne.

Fredericmartel.com :

Comme je l’annonçais (sur Twitter le 5 mars dernier), le pape s’apprêterait à faire un discours historique sur la question de la « dépénalisation de l’homosexualité ». L’évènement devrait se passer le vendredi 5 avril à 12h au Vatican.

Selon mes informations, le prétexte à ce discours serait une rencontre organisée par l’universitaire argentin Raúl E Zaffaroni, un ami personnel du pape François, au nom du « Committee of a research project regarding criminalisation of sexual relations between persons of same sex in the Caribbean ». Ce comité a été mobilisé autour de l’ « Inter American Institute of Human Rights » avec le soutien de l’association des avocats « International Bar Association » ainsi que d’une agence des Nations Unies, ILANDU.

Le professeur Zaffaroni fut l’un des principaux juges de la Cour Suprême en Argentine et il a connu le cardinal Jorge Bergoglio à Buenos Aires. Il a une grande réputation internationale comme criminologue et est unanimement respecté. Il est connu pour être un conseiller informel du pape François sur les questions de criminalité et l’un de ses amis. Il est ouvertement gay. Il a défendu publiquement le mariage gay en Argentine et a rédigé l’avis en faveur du mariage gay pour la Cour interaméricaine des droits de l’homme.

Cette information sur la réunion du 5 avril m’a été confirmée par l’un des dirigeants des Nations Unies à New York, lui-même associé à la rencontre, et par plusieurs leaders LGBT mondiaux qui ont été également invités à cette réunion par une lettre (dont j’ai eu copie), dans plusieurs pays d’Afrique, d’Amérique du Nord et d’Amérique du Sud.

Ces influenceurs LGBT de tout premier plan sont invités à une audience privée avec le pape le 5 avril à 12h au Vatican. Les résultats d’un rapport sur la question de la pénalisation de l’homosexualité sera remis au pape à cette occasion, lequel sera suivi par « un discours historique de Sa Sainteté sur le sujet », selon la lettre du professeur Zaffaroni, que je me suis procurée.

Parmi plusieurs participants de haut niveau, le juge australien, ancien membre de la Cour Suprême, Michael Kirby devrait participer à la conférence. En revanche, le juge Edwin Cameron, proche de Mandela, et membre de la Cour Suprême sud-africaine a décliné l’invitation. Il était réticent à participer à une conférence si elle ne débouchait pas sur des avancées concrètes.

Selon d’autres sources, le pape ne devrait pas s’exprimer en faveur des unions civiles, comme cela a pu être imaginé, mais se déclarer favorable à la dépénalisation de l’homosexualité.

Plusieurs vaticanistes ou sources vaticanes que j’ai interrogés cette semaine à Rome restent sceptiques sur la possibilité d’une évolution de François sur ce sujet. Un Jésuite me rappelle que la rencontre ne sera pas « officiellement une conférence du Vatican » et il a de « sérieux doutes que le pape fasse une annonce majeure à cette occasion ».

Dimanche soir, le 31 mars, le pape devrait déjà s’exprimer sur l’homosexualité dans une interview exclusive pour la Sexta, la sixième chaîne espagnole. Selon l’annonce de la Sexta, l’interview a été réalisée par Jordi Evole, un journaliste réputé, et elle devrait aborder, outre l’homosexualité, l’avortement et les abus sexuels.

Si le pape François défendait la dépénalisation de l’homosexualité au Vatican le 5 avril, il marquerait ainsi un changement de ligne majeur sur la question gay, en rupture profonde avec les pontificats de Paul VI, Jean-Paul II et Benoît XVI.

Nous allons voir de quoi il retourne mais de toute façon, Bergoglio a déjà fait comprendre que Jésus trouver normal de mettre son pénis dans l’anus d’un homme.

Il est probable que Bergoglio fera ce que font ces enculeurs de gosses habituellement : du jésuitisme.

Ils diront qu’il ne faut pas brûler les pédés en place publique. Ensuite, ils diront qu’il faut « dépénaliser » la sodomie entre fiottes et travelos.

Ce qui revient, dans les faits, à donner carte blanche au cancer judéo-LGBT dans les pays qui essaient encore de contenir cette maladie.

Techniquement, il s’agit des pays musulmans ou africains. Plus la Russie.

J’espère que Bergoglio appellera à reconnaître légalement le droit des pédales à contracter le SIDA par l’anus ainsi que l’homosexualité d’état obligatoire.

Cela voudra dire que la papauté ne croit plus elle-même à ce qu’elle a pu écrire pendant deux millénaires.

Cela mettra un terme à cette longue et inutile agonie que cherche à nous vendre la bourgeoisie catholique inféodée aux juifs.

Oui, en effet, je pense à l’adoratrice des nègres d’Ornellas parce que « Jésus ».

Et à Villiers parce que « Jésus ».

Et toute cette organisation qui importe ces « curés » nègres qui n’ont qu’une obsession une fois arrivés en France : baiser des Blanches qui leur tournent autour dans les sacristies.

Il n’y a rien de pire que l’ambiguïté.

Vous aurez toujours des gens, placés devant la réalité, qui sortiront je ne sais quelle « prophétie » pour expliquer que l’avènement de l’église judéo-LGBT était programmée depuis des milliards d’années par Jésus afin d’amener les fiottes à reconnaître, 100 ou 4,000 ans, que le sexe anal c’est mal.

Je pense que pour ce qui nous concerne, nous pouvons directement aller à la conclusion sans passer par la danse du ventre gay friendly de la papauté.

En outre, je ne pense pas que Jésus reviendra sur un nuage pour expliquer que la sodomie entre hommes est toxique. Je ne peux pas vous le certifier à 100%, mais certainement à 99,9999%.

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