Leutnant
Démocratie Participative
05 octobre 2018
L’enrichissement se poursuit en Belgique.
Les émissions Pano (VRT) et On n’est pas des pigeons (RTBF) diffusent ce mercredi un reportage mettant en évidence le trafic illégal de viande de brousse. Dans le quartier Matonge, à Bruxelles, de la viande d’espèces animales menacées est ainsi vendue, révèle le documentaire. Et la viande vendue n’est pas toujours celle que le consommateur croit acheter.
Dans le quartier Matonge, à Ixelles, les équipes de la RTBF et de la VRT ont trouvé de la viande de brousse, sous caméra cachée. Elles l’ont ensuite fait analyser par l’Institut royal des sciences naturelles de Belgique. La viande, vendue aux « pigeons » comme de l’antilope, appartenait en réalité à une autre espèce: du singe à queue rouge. Ce dernier bénéficie d’un programme de conservation. Il a donc été illégalement abattu.
Le délicieux cercopithèque belge.
Délicieux.
Le journaliste de la VRT, Stijn Vercruysse, s’est également rendu au Congo. A Kisangani, il a réussi à acheter du chimpanzé, une espèce protégée. Il est ensuite revenu avec cette viande dans ses bagages, sans être inquiété par les douanes belges.
« Deux tiers du nombre d’animaux sauvages a déjà disparu du bassin congolais », déplore Sofie Ruysschaert, experte Vie sauvage au WWF-Belgique. « Dans certaines régions, des espèces de primates, comme les grands singes, ont déjà disparu localement. » Ce qui menace toute la biodiversité, « avec le développement du syndrome des ‘forêts vides’, conséquence de la disparition d’espèces clés dans les écosystèmes », prévient l’ONG de défense de l’environnement. Le WWF estime que chaque année, plus de trois millions de tonnes de viande de brousse sont attrapées dans la forêt tropicale congolaise.
C’est absolument désastreux.
Ces sales nègres, de par leur pullulement, détruisent toute la biodiversité africaine.
Et vous avez ces organisations internationales qui geignent à longueur de temps sur la protection de cette biodiversité qui, dans le même temps, osent utiliser des sommes astronomiques pour aider cette négraille à proliférer toujours plus.
Aucun programme écologique ne peut être tenu pour crédible s’il n’intègre pas la réduction drastique du nombre de ces nègres qui se se répandent à une vitesse effrayante.
Au rythme où vont les choses, ces ignobles parasites auront détruit la totalité de la faune africaine au XXIème siècle, nous laissant avec 4 milliards de ces cafres idiots prêts à se répandre partout sur terre.
Voilà la véritable Peste Noire.
Quel fléau.
Cette viande peut également présenter un risque sanitaire en Europe. « Il se peut qu’une maladie tropicale telle qu’Ebola soit ainsi importée », avertit le professeur de biologie Herwig Leirs de l’Université d’Anvers, dans l’émission Pano. « Le risque est maigre mais les conséquences sont potentiellement énormes. »
SIDA, Ebola, choléra et autres maladies inconnues : le nègre est l’arme entre les mains des sorciers juifs.