Captain Harlock
Démocratie Participative
09 septembre 2018
Rappelez-vous de l’organisation flamande Schild & Vrienden », fer de lance de la défense du peuple flamand face au péril de la submersion négro-islamique.
Ces patriotes ont été ignoblement poignardés dans le dos par le rat opportuniste de la N-VA Theo Francken, actuel ministre pseudo-nationaliste de l’immigration belge.
De jeunes militants de la N-VA – le parti dit « nationaliste » et « indépendantiste » flamand au pouvoir en Belgique – étaient membres de Schild & Vrienden.
Racisme au sein de «Schild&Vrienden»: une vingtaine de jeunes N-VA impliqués dans l’organisationhttps://t.co/ADitO8ddd3 pic.twitter.com/b9yFwzzxbF
— Le Soir (@lesoir) 6 septembre 2018
Plutôt que de résister aux attaques de la gauche juive contre l’organisation nationaliste proche d’eux, les cadres de la NVA ont préféré la livrer en pâture aux hyènes rouges.
7sur7 :
Malgré la photo de lui apparaissant aux côtés de membres de « Schild & Vrienden », Theo Francken a tenu à affirmer qu’il se distanciait de la mouvance dont une émission flamande a prouvé qu’elle avait des fondements racistes et antisémites, entre autres. « Le racisme est pour les idiots, je ne le dirai jamais assez », a déclaré le secrétaire d’État à l’Asile et la Migration dans « De Afspraak ».
Alors pourquoi refuser l’immigration non-blanche, Francken ?
Quel intérêt de seulement vouloir la limiter ?
Qui plus est, la limiter à la marge comme c’est le cas ?
Le peu qui est fait n’empêche pas la pourriture communiste de décrire la Belgique négrifiée comme un état raciste dirigé par un parti unique national-socialiste.
Que Francken ne veuille pas défiler avec une croix gammée en plein Bruxelles peut s’entendre.
Mais qu’il reprenne à son compte l’obscurantisme judéo-communiste qu’est l’antiracisme le plus insultant à l’égard du peuple relève de la lâcheté. Surtout au moment où le peuple réclame à cor et à cri une politique radicale en matière d’immigration.
Une politique raciste.
Le numéro de Francken à la télévision francophone, i.e. bolchevique, était l’un des plus lamentables que j’ai pu voir. Il n’y a guère que Marine Le Pen qui puisse faire pire.
“Het is niet omdat je kritiek hebt op het migratiemodel van de EU, dat je daarom uw frustratie daarover moet uiten op individuele mensen met een migratieachtergrond. Stop daarmee.” @FranckenTheo in #deafspraak #opvrijdag pic.twitter.com/xAUg0GL0jg
— De Afspraak (@deafspraaktv) 7 septembre 2018
Cela revient au plus haut niveau à valider l’invasion nègre et arabe de la Belgique.
Si c’est la fonction de ces partis pseudo-droitistes que de mener la politique raciale des communistes, mieux vaut un de ces politiciens socialistes qui ouvre le torrent de la négrification avec pour effet immédiat la radicalisation totale de l’électorat.
Ce sera toujours plus utile que ces aigrefins jouant sur tous les tableaux pour leur propre compte.
Soucieux (ou sommé par son parti) de clarifier sa position suite aux révélations dérangeantes liées au racisme flagrant de Schild & Vrienden, le poulain de Bart De Wever a tenu à rejeter publiquement les principes prônés par Dries Langenhove, fondateur de l’organisation, et ses pairs. Ces derniers, dans le reportage choquant de « Pano », ne cachaient pas leur admiration pour Theo Francken et la politique migratoire ferme qu’il entend mener. Ils avaient même assuré la tenue d’un discours de celui-ci malgré des manifestations s’y opposant.
Interrogé sur un probable problème fondamental de racisme en Flandre, Francken répond avec certitude: « Le racisme n’est pas l’ADN de la Flandre. Absolument pas! Je réfute un racisme profondément ancré dans la culture flamande ou en nous-mêmes. Nous sommes l’exemple-même d’une société multiculturelle. La Flandre est mutliple et nous sommes l’un des peuples les plus hospitaliers au monde. Lors de la crise migratoire de 2015, j’ai constaté à quel point le Flamand n’est pas raciste ».
Nous sommes ici très éloignés d’une manoeuvre visant à circonvenir la presse marxiste pour arriver au pouvoir : Francken est au pouvoir. Il est en charge de l’immigration. Il n’a rien à conquérir, il a déjà conquis.
Plutôt que de s’inscrire dans la transgression intelligente, il capitule en rase campagne en dégueulant sur les patriotes flamands devant des ordures de journalistes de gauche.
« Il est important que l’enquête suive son cours. Il y avait là des choses que j’exècre. Que j’exècre », martèle-t-il. Si la N-VA se dit ravie que Schild & Vrienden ait de la sorte été démasqué par les journalistes d’investigation de la chaîne publique, Theo Francken exhorte à ne pas se lancer pour autant dans une sorte de « chasse aux sorcières ». Le secrétaire d’État ajoute notamment que, malgré la teneur des 67.000 posts répugnants et révoltants qu’ont échangés les membres de Schild & Vrienden via les réseaux sociaux, les adhérents n’étaient sûrement pas tous au courant de l’agenda raciste caché de l’organisation. Selon lui, il ne convient de punir que ceux qui ont réellement posté des propos inacceptables et créé les mèmes racistes relayés sur Één en début de semaine, provoquant un haut-le-coeur dans toute la Belgique.
Ces partis bourgeois prétendent changer la donne, faire preuve de sagesse. Quand ils sont au pouvoir, ils ne changent pour ainsi dire rien au statu quo, trop effrayés par les cris et hurlement de la presse juive.
Sans révolutionnaires, nous ne parviendrons jamais à rien. Sans chefs déterminés à tout sacrifier pour leur peuple, nous n’arriverons jamais à rien.
Ce Francken veut devenir le énième premier ministre d’un navire à la dérive que l’on nomme la Belgique. Au mieux veut-il faire ici et là quelques réformes de détails visant à satisfaire les cercles capitalistes flamands. Politique qui tient lieu de « séparatisme » à ces gens de la NVA mais qui n’est qu’un opportunisme visant à mystifier Flamands comme Wallons.
Nous sommes loin de Staf de Clerq.
Le Vlaams Blok nous manque cruellement.
Le Vlaams Blok était autrement plus solide que cette N-VA bourgeoise. Même si, hélas, le Vlaams Blok avait suivi la même pente en courtisant la juiverie diamantaire d’Anvers.
En 2000, les nationalistes flamands étaient plus avancés qu’aujourd’hui. Mais entretemps, des politicards démocrates vendus à Bruxelles, c’est-à-dire aux juifs, ont saboté le mouvement.
La vérité, c’est que les démocrates et la maçonnerie qui tient la Belgique pour le compte des juifs ne pourront pas être vaincu sans que Wallons et Flamands ne se mettent en mouvement ensemble pour y mettre fin.
Cet indépendantisme de la N-VA n’est même plus une offre politique à laquelle croient ceux qui l’agitent. C’est un simple levier utilisé par certains cercles capitalistes du nord contre leurs amis du sud. Mais en dernière analyse, tout ce beau monde se retrouve toujours pour convenir de la meilleure façon de continuer à piller le peuple.
Tant que les juifs et leurs laquais démocrates continueront à diviser pour régner, la situation ne fera qu’empirer.