Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Février 2020
En démocratie, les goyim n’ont pas le droit de se moquer de la religion juive. C’est un blasphème à l’égard du peuple élu.
Depuis l’année dernière et sa magnifique parade antisémite, la juiverie internationale a lancé une campagne furieuse contre le festival traditionnel d’Alost, en Flandre (Belgique).
Une fatwa hébraïque, si vous préférez.
Festival classé au patrimoine mondial de l’humanité, la juive Audrey Azoulay, ancienne ministre de la « Culture » de François Hollande et désormais secrétaire générale de l’UNESCO, l’a fait déclasser en représailles en décembre dernier. Ce qui n’a pas empêché la presse juive de proclamer que cette opération de vengeance hébraïque était une décision tout à fait neutre de « l’Organisation des Nations unies » suite à « la présence d’un char caricaturant des juifs orthodoxes ».
En démocratie, seule la religion chrétienne peut être caricaturée.
Golgota picnic, une oeuvre d’art audacieuse qui brise les tabous des obscurantistes chrétiens. Elle est légitimement saluée par toute la presse démocratique et dûment subventionnée par l’Etat.
Comme des goyim flamands n’ont visiblement pas compris qui gouvernait réellement leur pays, un rappel a été formulé officiellement par le gouvernement juif mondial.
7sur7 :
Le bourgmestre d’Alost, Christoph D’Haese (N-VA), s’oppose catégoriquement à l’appel du ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Katz, à interdire le carnaval d’Alost. « Il ne semble pas comprendre les fondements d’une société libre », réagit-il. « Ce n’est pas à un ministre étranger de décider de ce qui devrait être autorisé ou non à Alost », déclare M. D’Haese. « Je déciderai de cela moi-même. »
Le bourgmestre d’Alost estime que l’appel d’Israel Katz « dépasse l’entendement » et répète que le carnaval d’Alost n’est pas un défilé antisémite. « Il n’y a pas de place pour le racisme mais il y en a pour la moquerie et l’humour. » L’appel à l’interdiction du carnaval d’Alost est donc « disproportionné », selon lui.
La c’houtzpah de ce juif Katz.
L’impudence de ces juifs est proverbiale.
Voici donc que cet état raciste occupé à coloniser ses voisins arabes s’arroge le droit de veto sur ce que peuvent dire ou non les Belges chez eux.
Tout ceci pendant que la télévision israélienne dégueule sur les chrétiens en permanence.
[Oui, les juifs ne sont pas idiots et mettent sciemment une pute en bikini pour faire passer la pilule de la haine sémitique]
Ces rabbins sont du dernier vice.
Le bourgmestre estime par ailleurs que, malgré la controverse et les sensibilités au sein de la communauté juive, les habitants d’Alost ont le droit de faire usage de caricatures juives pendant le défilé. « La censure partielle, ça n’existe pas », affirme M. D’Haese qui voit dans le débat une pente glissante vers une censure plus sérieuse. « Je ne suis ni un maître ni un bourgmestre de la censure. Et je ne le deviendrai jamais », insiste-t-il.
M. D’Haese considère encore qu’il y a une grande différence entre ce que les gens peuvent penser et les revendications qui sont faites actuellement. En tant que député fédéral, il espère « que le sens de l’autodérision » reviendra.
En dépit des propos de bon sens du héros D’Haese, c’est peine perdue d’espérer discuter honnêtement avec les juifs.
Le juif ne tolère que la soumission totale à son joug. Il n’y a pas de demi-mesure et encore moins « d’égalité » avec le juif. Pour le juif, le monde est conçu pour lui. La raison d’être du juif est d’être célébré comme une divinité par les goyim. Toute forme de dérision revient à lui nier ce privilège racial de droit divin.
S’en suit logiquement les appels les plus fanatiques du Kahal à châtier les blasphémateurs.
Et puis les juifs savent que si les goyim sont effectivement laissés libres de parler des juifs et de leurs usages, surtout sur un ton ironique, c’est une pente que les yids savent être fatale : progressivement, les goyim découvrent que les juifs sont le seul peuple qui ne puisse pas être « caricaturé », car toutes les caricatures antisémites ne sont rien d’autre que de fidèles rapports ethnologiques.
Les juifs non plus ne voient pas de « caricatures » antisémites : ils voient le très exact portrait d’eux-mêmes qui ruine leur prétention grotesque à commander l’humanité.
C’est parce qu’elles sont terriblement réalistes que les juifs haïssent les caricatures.
Le ministre flamand des Affaires intérieures et de l’Égalité des chances, Bart Somers, s’est refusé jeudi à interdire les caricatures visant la communauté juive durant le carnaval d’Alost (Flandre orientale) qui débute dimanche après avoir été retiré l’an dernier de la liste du patrimoine immatériel de l’Unesco.
M. Somers (Open Vld) a toutefois appelé, selon la chaîne de télévision publique VRT, le bourgmestre d’Alost, Christoph D’Haese (N-VA), à convaincre les participants au carnaval “qu’il existe des choses avec lesquelles on ne rit pas”.
On ne doit pas rire des juifs orthodoxes.
Cette engeance de cinglés.
Mais ce ministre ne dit pas pourquoi on ne doit pas se moquer de ces rabbins.
Il a exclu une interdiction de toute forme de caricatures en affirmant que “nous vivons dans une société qui estime très important le droit à la liberté d’expression”. Mais le ministre libéral a souligné que les autorités locales – et en particulier le bourgmestre – “devraient faire davantage d’efforts pour engager un dialogue avec les carnavaliers et essayer de les convaincre que l’on ne fait pas cela moralement et éthiquement”.
Le chef de la diplomatie israélienne, Israel Katz, a appelé jeudi, sur le réseau social Twitter, le gouvernement belge à condamner et à interdire le carnaval d’Alost.
Le ministre des Affaires étrangères Philippe Goffin (MR) et le ministre-président flamand Jan Jambon (N-VA) n’ont pas souhaité réagir aux propos tenus par M. Katz. Néanmoins, lors d’une visite de l’ancien camp d’extermination d’Auschwitz le mois dernier, Jan Jambon avait déclaré que les fêtards du carnaval d’Alost n’auraient pas dû afficher des caricatures juives, compte tenu du vécu de la population juive. Le ministre-président campe sur ses positions, a déclaré son porte-parole jeudi.
Après avoir visité l’un des principaux lieux saint du judaïsme, il ne pouvait se dédire.
En tout cas, j’aimerais beaucoup que le Festival d’Alost réitère avec une violente charge contre le terrorisme juif.
Je ne pense pas que ça arrivera mais j’aimerais que ça arrive.
Pour rappeler aux yids que la patience des gens en Europe a une limite et qu’elle est en passe d’être franchie.