Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 mars 2018
Le kit « concert de rap » comprend naturellement le viol collectif.
RTL.lu :
Les deux jeunes Néerlandaises avaient décidé de se faire un city-trip à Anvers car elles avaient réussi à obtenir des tickets pour la soirée Ballin tenue à la discothèque Roxy.
Le rappeur néerlandais Ronnie Flex s’y produisait vendredi soir, accompagné par des DJ néerlandais. Dans la boîte de nuit, très vite, les deux jeunes filles ont été accostées par cinq hommes, et c’est la dernière chose dont elles se souviennent ce soir-là.
« Nous nous souvenons que nous étions dans la discothèque « , ont-elles expliqué à la police. « Et puis, c’est le trou noir. »
Il est probable que les jeune femmes aient été droguées dans la discothèque. Un des hommes serait ensuite monté avec les filles dans leur chambre située dans un prestigieux hôtel du centre-ville.
Après s’être introduit dans la chambre, il aurait laissé entrer les autres hommes.
Le personnel de l’hôtel remarque un « manège bizarre »
Le lendemain matin, une réceptionniste a vu les cinq hommes descendre à la même heure vers 8h20 et quitter l’hôtel. Les filles se sont levées vers 11h30 et ont expliqué au personnel de l’hôtel qu’elles n’étaient pas bien et qu’elles avaient un sentiment bizarre.
Le personnel de l’hôtel les a informés qu’ils ont vu cinq hommes quitter les lieux quelques heures plus tôt. Lentement, quelques souvenirs de la soirée précédente ont resurgi et les deux jeunes femmes ont décidé d’appeler la police. Entre-temps, il est également apparu que leur argent et leurs téléphones avaient été volés.
A sept heures et quart du soir, l’un des cinq hommes est revenu à l’hôtel, car il voulait s’entretenir avec les deux jeunes femmes.
Le personnel a appelé le patron, qui s’est immédiatement précipité à son hôtel. « Je suis immédiatement venu à l’hôtel », raconte le propriétaire, qui veut rester anonyme dans le journal Het Nieuwsblad. « J’ai gardé ce type sur place, avec mon chien le menaçant, jusqu’à ce que la police soit là. C’était 17 longues minutes, mais il ne pouvait plus partir. «
Selon le directeur, son hôtel est en sécurité. « Vous ne pouvez pas entrer et sortir facilement d’ici », souligne l’homme au journal.
« S’il y a soudainement cinq hommes inconnus ici la nuit, nous ne les laisserons pas entrer. Nous travaillons avec des codes. Les femmes étourdies ou droguées doivent avoir -involontairement – aidé leurs violeurs. «
Grâce à l’alerte donnée par le directeur de l’hôtel, trois suspects sont déjà en prison. Les suspects ont une « vingtaine d’années et sont d’origine africaine, d’Anvers et de Temse », détaille Het Nieuwsblad.
Ouai.