Belfort : l’Etat kidnappe son enfant à une mère « complotiste » qui refusait de céder à la terreur sanitaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 Décembre 2020

Quelque part en France, 2024

Il est maintenant temps de démanteler les familles au nom de l’impératif sanitaire pour imposer l’ordre néo-communiste.

Le Midi Libre :

« Tout le monde semble sourd à l’amour d’une mère pour son enfant », se défend-elle. Une habitante de Belfort de 48 ans est désormais privée de la garde alternée de son petit garçon de 7 ans, rapporte L’Est Républicain, après l’avoir déscolarisé. Motif de son geste : elle ne cautionnait pas le port du masque dès six ans à l’école, obligatoire depuis le 2 novembre dernier.

La mère de famille n’a pas remis son fils à l’école après les vacances de la Toussaint et lui a fait l’instruction à la maison durant ses semaines de garde alternée, tandis que son père continuait de le scolariser durant ses semaines de garde.

Cette monitrice de sport, en pointe dans le combat pour les écoles alternatives, a alors été assignée en référé devant le juge des affaires familiales pour ces motifs et également pour avoir tenu des propos complotistes.

« L’obligation du port du masque a juste précipité ma décision de le retirer d’un système scolaire que je ne cautionne pas », assure-t-elle dans L’Est Républicain. Elle a fait appel du jugement.

Une nouvelle fois les juges communistes français sont à la hauteur de leur réputation.

Nous nous approchons collectivement du point du non-retour. L’absence de réaction significative aboutira bientôt au verrouillage complet et irréversible de l’ordre social. L’Etat pourra disposer de n’importe quel enfant à la minute où un parent montrera des signes d’opposition politique.

Ici, nous sommes face à un cas de persécution politique. Le masque ne protège de rien, c’est admis par tout le monde. D’ailleurs, en mars dernier, c’était ce que martelait le gouvernement : « Le masque ne sert à rien, cessez de vouloir en porter ! ».

Même l’Agence France Presse en parlait.

Ce n’est pas une question d’ordre sanitaire puisque le masque ne sert à rien face à un virus dont 99% des gens qui en sont infectés guérissent. C’est une question de pouvoir. Nous ne sommes pas censés contester les ordres qui proviennent du système, même de façon minimale, et c’est l’objectif de ce type de méthodes terroristes : rendre le coût de la remise en cause du pouvoir prohibitif pour le quidam.

Les gens plongent ainsi progressivement dans la terreur. Soit qu’ils absorbent passivement les messages alarmistes des médias, soit qu’ils redoutent d’être sévèrement châtiés par les autorités s’ils font mine de se rebeller devant les consignes délirantes que le gouvernement émet. Dans les deux cas, le résultat psychologique est le même sur les masses.

La population est suffisamment domestiquée aujourd’hui pour que le système n’ait pas besoin d’aller au delà de quelques cas médiatisés à dessein par la presse d’état afin d’en faire des exemples.

En URSS, au plus fort de la terreur rouge, le principe de la séparation des familles des individus soupçonnés d’être des ennemis de l’Etat a été systématisé. L’ordre opérationnel n° 00486 du NKVD portant sur « l’opération de répression des épouses et des enfants des traîtres à la Patrie » prévoyait que les épouses des personnes condamnées pour « crimes contre-révolutionnaires » soient arrêtées et emprisonnées dans des camps de travail pendant 5 à 8 ans, et leurs enfants âgés de 1-1,5 à 15 ans soient envoyés dans des orphelinats. Les épouses des condamnés à mort et leurs enfants étaient appelés « chsiry » ou « membres des familles de traîtres de la Mère Patrie ».

Parmi les armes qui se trouvent dans l’arsenal néo-communiste vient ensuite l’incitation des enfants à dénoncer leurs parents sur le modèle de Pavel Morozov. Nous ne devrions pas tarder à voir ces méthodes faire leur apparition.

C’est ce qui se passe quand les gens préfèrent l’apathie à la rébellion en espérant échapper à l’abattoir. D’une certaine façon, c’est une forme de justice. La liberté n’est pas un cadeau du Ciel mais le résultat d’une volonté. Si les gens n’ont aucun intérêt pour vivre librement, ils seront rémunérés à la hauteur de leur lâcheté par la providence.

C’est d’ailleurs le but du « Revenu Universel » : acheter la part la plus veule et la plus racialement médiocre de la population pour en faire la réserve de mouchards dont le système a besoin.

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