Leutnant
Démocratie Participative
02 juin 2021
Emmanuel Macron a raison, l’immigration est une chance pour la France.
Lundi, dès l’ouverture de son procès devant la cour d’assises de Haute-Saône et du Territoire de Belfort, Ramzi Ouechtati a reconnu les faits, a plaidé le coup de folie et a présenté ses excuses à la victime, représentée par Me Darey. Un changement de comportement net pour celui qui avait d’abord contesté les faits en garde à vue.
Mais cette attitude nouvelle n’a pas incité les jurés à la clémence pour autant. Mardi, après un délibéré de plus de deux heures, il a été condamné à dix ans de réclusion criminelle, conformément aux réquisitions du parquet.
Le Belfortain de 40 ans était jugé pour viol sur une personne vulnérable, en l’occurrence une sexagénaire handicapée à 80 %. En août 2019, alors qu’il était sorti de prison depuis quelques jours à peine, l’accusé s’était rendu à Belfort au domicile d’un collègue de travail. Pendant que ce dernier prenait une douche, il avait sympathisé avec une voisine, laquelle lui avait offert un café. C’est à ce moment-là qu’il lui avait imposé une fellation d’une extrême violence, avant de menacer de la tuer et de prendre la fuite.
Ramzi Ouechtati, qui compte une vingtaine de condamnations à son casier judiciaire, sera aussi prochainement jugé par la cour d’assises de Besançon pour une autre affaire de viol.
Moralité : ne payez pas de café à un arabe.