Captain Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2018
L’affrontement entre la gauche islamique et la gauche juive continue et je dois dire que cela n’est pas sans me divertir même si, idéalement, toutes ces tribus devraient quitter rapidement l’Europe.
Yassine Belattar, proche des Frères Musulmans et notamment du CCIF, mène le bal pour le compte de Macron contre l’établissement judéo-socialiste en place.
Yassine Belattar, désormais membre du Conseil présidentiel des villes de Macron, accuse Manuel Valls de « racisme » https://t.co/42iiDnxnWA pic.twitter.com/S7JHCgaIvV
— Marianne (@MarianneleMag) 23 mai 2018
Je confirme même https://t.co/OUIPCS73EF
— Yassine Belattar (@BelattarYassine) 23 mai 2018
Ne vous méprenez pas sur ce que j’entends par là : Macron est inféodé aux juifs, à la finance juive. Mais dans le domaine strictement politicien, Macron a décidé de se créer une clientèle ethnique qui lui devra tout, sans intermédiaire.
Exactement comme Mitterrand jadis lorsqu’il donna tous les postes clefs aux juifs moyennant un soutien sans faille.
Comme vous le savez, Borloo, escroc de la mouvance radicale-socialiste et bras droit de Tapie, voulait s’ériger en vice-roi de la négraille en s’emparant d’un magot de 50 milliards d’euros que lui et ses réseaux allaient redistribuer à leurs clientèles raciales. Non sans bien sûr en subtiliser une partie au passage.
Sauf que Macron, à qui on voulait tordre le bras, a organisé la destruction de ce plan de la gauche juive en scénarisant la mise à mort symbolique de Borloo.
Mais du coup si « deux mâles blancs » peuvent pas faire un plan Banlieues, pourquoi Macron en a-t-il demandé un à Jean-Louis Borloo ? ? #LaFranceUneChance pic.twitter.com/QvKoHHvUzl
— Thomas Vampouille (@tomvampouille) 22 mai 2018
Pour y parvenir, il a sollicité Belattar, un genre de « comique » proche des islamistes qui sait comment parler comme un arabe de banlieue. En utilisant le terme « mâles blancs », Macron a pulvérisé l’autorité antiraciste dont se prévalait Borloo pour faire plier Macron.
Borloo, renvoyé à sa race par Macron avec Belattar en pompom girl, c’est jeu, set et match.
Depuis, la gauche juive est totalement hystérique.
Et c’est lui l’animateur à l’Elysée? https://t.co/nL6gRmUiwr
— Manuel Valls (@manuelvalls) 23 mai 2018
Et c’est lui l ‘animateur à l’Elysée? https://t.co/NTxVs20W5H
— Manuel Valls (@manuelvalls) 23 mai 2018
Dans la foulée, LREM a soutenu ouvertement la moukère voilée de l’UNEF tandis que la gauche juive continue son offensive pour la domination.
Quand je vois les réactions crétines, racistes et violentes à la Une hilarante de @Charlie_Hebdo_ , je me dis que rien ne change, mais que ce n’est pas une raison de baisser les bras. #ToujoursCharlie https://t.co/iCP944MYxE
— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 23 mai 2018
Vous allez me dire, « et alors ? ».
Et bien Macron est en train de constituer un vaste réseau d’influence islamique qui sera financé par les contribuables français via un instrument de direction qui lui répondra directement. Cet outil va court-circuiter tout l’appareil politique local que les juifs dominaient jusque là dans les quartiers musulmans.
Et ce sont les islamistes qui tirent leur épingle du jeu.
Ce qui pousse Macron à faire cela – je veux dire, en plus du reste – c’est de contrer la France Insoumise de Mélenchon dans les zones à bougnoules. Et les seuls qui peuvent le faire, ce sont les Frères Musulmans.