Bébés décapités : Israël dit aux goyim d’avoir « honte » de demander des preuves

La rédaction
Démocratie Participative
16 octobre 2023

 

Sales goyim, vous posez trop questions !

Beaucoup de malades se disputent pour savoir si le Hamas a décapité 40 bébés ou s’ils ont été brûlés vifs ou simplement massacrés.

Honte à vous.

Attendez encore un peu et d’ici quelques temps, demandez des preuves sera puni au même titre que demander des preuves à propos des chambres à gaz.

Découvrez David Ben Zion, le colon fanatique à l’origine du mensonge des « bébés décapités » (100% Drahi)

Le complexe de supériorité raciale des juifs, intégré depuis des millénaires dans leur religion, les pousse naturellement à croire qu’à cette supériorité raciale s’ajoute la supériorité morale.

C’est d’ailleurs ce qui a poussé l’arrogance de cette race jusqu’à prétendre avoir « l’armée la plus morale du monde ».

Celle qui tue des pompiers venus sortir des familles des décombes.

Cette propension du juif à être l’incarnation de la supériorité morale le pousse à mentir pour compenser le fossé entre la réalité de ses actes et ses déclarations.

Mais plus encore, à accuser les goyim de ses agissements.

Le nombrilisme tribal est inséparable de la nature du juif. Le juif adore se hisser au dessus des masses non-juives. Pour justifier de cette position, il s’érige en juge universel en vomissant ses accusations contre le reste de l’humanité.

Avec l’avènement des médias de masse pyramidaux à partir du 19ème siècle, cette propension a pris une dimension planétaire. Mais avec les réseaux sociaux, lorsqu’ils ne sont pas censurés, le rééquilibrage remet le juif à égalité. Ses mensonges sont défaits en temps réel, sans possibilité pour lui de riposter.

Quand on refuse d’emblée une quelconque autorité morale à la race juive et qu’on lui demande d’où le juif prétend être l’autorité morale suprême du monde, le juif répond qu’il n’est qu’un goy comme les autres.

Blinken a encore joué cette ficelle contre Sissi.

Le président égyptien Sisi à Blinken :

« Vous avez dit que vous étiez juif. Je suis un Égyptien qui a grandi à côté de Juifs en Égypte. Ils n’ont jamais fait l’objet d’une quelconque forme d’oppression ou de ciblage et il n’est jamais arrivé dans notre région que des juifs soient pris pour cible.

Blinken à Sisi :

« Je viens en tant qu’être humain consterné par les atrocités commises par le Hamas ». 

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