Bayreuth : avec l’aide des bourgeoises blanches, la juiverie démoniaque déclare sa volonté d’anéantissement de l’Allemagne en plein festival de Wagner

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 août 2018

Le youtre génocidaire Kosky

Voici, je crois, une des manifestations les plus éclatantes de la perfidie des juifs et de l’insondable stupidité de la bourgeoisie aryenne.

Une « critique » oeuvrant pour le journal juif « Le Monde », Marie-Aude Roux, se réjouit brillamment du dernier crachat au pied du grand Wagner que l’on doit à l’impudent souk hébraïque.

Le Monde :

C’est une ovation massive, presque rageuse, qui a accueilli le 28 juillet la première des Maîtres chanteurs de Nuremberg de Wagner au Festival de Bayreuth. Comme si le metteur en scène Barrie Kosky, en faisant le procès en antisémitisme de Wagner (1813-1883) avait vidé on ne sait quel abcès collectif.

C’est que le travail de l’Australien n’est jamais caricatural dans l’approche de cette œuvre-clé qui met à la question le saint art germanique (le heilige deutsche Kunst). Il est au contraire d’une surprenante, comique et poignante humanité. Barrie Kosky n’aime pas Wagner. Il a d’abord refusé ces Maîtres à Katharina Wagner, arrière petite-fille du compositeur et directrice du festival. Mais là n’est pas l’affaire tant ce petit-fils d’émigrants juifs installés en Australie éclaire avec intelligence les fondements idéologiques d’un opéra plus que tout autre célébré par les nazis, le seul à avoir été joué à Bayreuth en 1943 et 1944. C’est l’identité germanique qui se voit ici démasquée, jusque dans son besoin viscéral d’une confrontation quasi rédemptrice avec le bouc émissaire juif.

Dès l’ouverture, voici le monde confiné de Wagner : le décor de Rebecca Ringst reproduit dans ses moindres détails (fors l’ajout du dernier autoportrait christique de Dürer, star de la ville de Nuremberg et contemporain des maîtres chanteurs historiques) le salon de la Villa Wahnfried, que le compositeur fit construire non loin de son Festspielhaus. Les hôtes sont des familiers. Il y a là sa femme, Cosima, chroniquement migraineuse, son beau-père, le pianiste et compositeur Franz Liszt, ses enfants, mais aussi le chef d’orchestre juif Hermann Levi (qui créa Parsifal) et jusqu’à un magnifique couple de terre-neuve noirs, race de chiens que Wagner adorait.

En quelques minutes, on saura tout de la comédie humaine wagnérienne : sa tyrannie domestique, son amour immodéré des parfums et de la soie, la conscience de son génie et ses rapports duels avec Liszt (scène de ménage autour du piano), les cadeaux à Cosima, dont l’immense portrait peint en 1879 par Lenbach. C’est du piano jupitérien que sortiront tout armés quatre clones de Wagner, lequel distribuera les rôles aux Maîtres chanteurs, s’octroyant de facto celui du cordonnier Hans Sachs, maître en sagesse et savoir, mais aussi celui de David, son apprenti zélé, ainsi que du jeune et intrépide Walter von Stolzing, génial « musicien de l’avenir ».

Si Liszt endosse l’habit du vieil orfèvre Veit Pogner, et Cosima naturellement celui de sa fille, Eva (fiancée idéale dont le concours des Maîtres est l’enjeu), c’est à Hermann Levi qu’échoit logiquement la bête noire Beckmesser, que Wagner contraindra à s’agenouiller pour la prière du soir. Le salon est devenu l’église Sainte-Catherine. Un chœur religieux s’élève des coulisses tandis que Walter fait sa déclaration d’amour à Eva. Dans le grand salon de bois soudainement déserté après la bacchanale cacophonique entraînée par la défaite de Walter, l’acte s’achèvera sur une fugitive vision du Tribunal international de Nuremberg où eut lieu, de novembre 1945 à octobre 1946, le procès de 24 des principaux responsables du IIIe Reich.

Richesse et somptuosité pour les costumes de Klaus Bruns qui superpose trois époques : la Renaissance originelle des Maîtres chanteurs (magnifiques habits historiques de la gent nurembergeoise), celle de la création de l’opéra en 1868 (Wagner et ses acolytes vêtus d’après documents), et la fin de la deuxième guerre mondiale. D’une virtuosité à peine croyable, la direction d’acteur de Barrie Kosky rivalise avec la maestria de l’écriture wagnérienne, capable de caractériser avec acuité chaque personnage jusque dans ses facettes identitaires les plus diverses. Le sens de la scène dans les ensembles est époustouflant : a-t-on vu tableaux plus vivants que la « vendetta musicale » du final de l’acte II qui voit Beckmesser étouffé sous un portrait de Wagner, ou les joyeux effets colorés d’une foule à la Bruegel dans l’acte III, se figeant ou se ranimant au gré de la musique ? Idem pour des symboles, lourds de sens, mais jamais pesants : c’est une baudruche gonflable, surgie du box des accusés, qui stigmatisera à la fin de l’acte II une caricature de propagande contre les juifs. Un effet spectaculaire que ces traits atroces déridés un à un avant de s’affaisser dans un rictus tragique tandis que résonne le « Dormez, braves gens » du veilleur de nuit. On a froid dans le dos.

Kosky a déréglé les horloges de Nuremberg. Le jugement tombera : Wagner, coupable d’antisémitisme, oui. Mais racheté. Génial tableau final que celui où s’avancera en fond de scène un orchestre symphonique au complet avec chœur. On croit à un incroyable décor. Mais la boîte à musique se met à jouer sous la direction d’un Wagner-Sachs exultant, seul, face au monde. Acquitté pour cause de génie musical.

Que ferait le juif sans l’aide des gourdes de la bourgeoisie blanche qui n’ont appris à écrire que pour railler l’aspiration mystique de l’homme européen qu’elles sont trop idiotes pour comprendre ?

La bassesse inculte de ces femelles ne pourra jamais produire autre chose qu’une complicité dans le meurtre au profit de l’éternel empoisonneur qu’est l’ignoble face du juif, le juif cruel, menteur, demi-raté éternellement rongé par la jalousie et la soif de vengeance.

Cette affaire témoigne de ce que, quand un peuple blanc s’abandonne à l’individualisme cynique et laisse des femelles se mêler des choses appartenant exclusivement à l’homme, il devient la parfaite proie du calculateur juif, lequel aspire, avec sa gueule tordue et ses ongles crasseux, à dominer l’humanité par le prêche de foire, après avoir préalablement truqué les jeux avec l’aide de comparses.

Le juif, comme le rat, guette perpétuellement l’opportunité de se glisser chez l’homme pour le voler et se faire vénérer par lui.

Katharina Wagner, putain enjuivée

Regardez cette combinaison : une Allemande dûment domestiquée, comme l’ensemble de l’Allemagne, par des juifs sachant manipuler à la perfection les émotions femelles, culpabilité masochiste et narcissique en tête. Ces juifs, tyrans orientaux cultivant les formes de sadisme les plus sophistiquées, ont trouvé dans ces bourgeoises les putains parfaites pour assouvir leurs passions les plus inavouables mais, plus encore, leur aspiration à la divinisation.

C’est ainsi par l’entremise de l’arrière petite-fille de Wagner que le youtre Kosky a pu pénétrer dans le temple de l’âme allemande pour venir y déféquer son hébraïsme et crier victoire.

Telle est la subversion juive.

Kosky subvertit le thème sacré adressé aux Allemands par Wagner qu’est la rédemption germanique par le sacrifice héroïque pour lui substituer la rédemption hébraïque qu’est la repentance face au juif. Repentance conditionnée par l’acceptation de sa propre réduction en esclavage, notamment spirituelle,  au profit de la juiverie.

Marchandage d’épicerie orientale mis en scène par l’allusion au tribunal de Nuremberg.

« Je vous pardonne » susurre perfidement le youtre, « dans la mesure où vous, Germains, avez capitulé votre volonté en vous repentant et avez accepté de me servir éternellement, moi, votre maître : le juif ».

Jamais pareil blasphème n’avait été porté par un de ces assassins juifs avec tant de haine et un soin si précis du lieu et de la forme.

Ce raffinement dans la haine est la signature du meurtrier pervers qu’est le juif.

Cette déclaration génocidaire du juif vaut, bien sûr, non seulement pour l’Allemagne mais pour l’humanité blanche. C’est une guerre spirituelle entre l’esprit sémitique et l’esprit aryen.

Cette race maudite par Dieu qui a juré de nous perdre, rit comme une hyène devant le spectacle de cette bourgeoisie libérale se laissant docilement mener à l’abattoir.

Mais l’heure est proche où nous rirons à notre tour de ses tourments.