Captain Harlock
Démocratie Participative
08 décembre 2021
Une femme peut désormais détruire la vie d’un homme à cause d’une gifle.
C’est la seule chose à retenir de cette histoire.
Marianne :
Une militante « féministe identitaire » accuse l’influenceur nationaliste Baptiste Marchais de l’avoir frappée lors d’une soirée samedi soir. Il a reconnu mais minimisé son geste. Le parquet de Paris vient d’ouvrir une enquête, ce 7 décembre, selon les informations de « Marianne ».
Nouvelle affaire de violences à l’extrême droite. Le youtubeur et star de la fachosphère Baptiste Marchais est sous le coup d’une enquête pour « violences volontaires » après l’agression d’une jeune militante identitaire, a appris Marianne auprès du parquet de Paris, ce mardi 7 décembre dans la soirée. La plaignante, Alice Cordier (un pseudo), présidente du Collectif Nemesis, un groupe « féministe identitaire », avait déposé plainte deux jours plus tôt, dans la nuit, au commissariat du 5e arrondissement de Paris, après avoir reçu un coup au visage.
Les faits se sont déroulés samedi 4 décembre, aux alentours de 23 h 30. Sur la terrasse bondée du Pub Saint-Michel, un bar du 5e arrondissement de la capitale, situé le long de la Seine, Alice Cordier règle alors un différend avec Baptiste Marchais. Au cours de leur « discussion », Marchais, une armoire à glace de 100 kg, champion de France de développé couché, lui assènerait alors une violente gifle, qui la propulserait plusieurs mètres en arrière. « Je me suis fait agresser par Baptiste Marchais », s’est émue la jeune femme dans une vidéo publiée son compte Instagram (reprise ici), en exhibant son visage tuméfié. « Il s’est vexé, au point de me frapper en plein visage, du haut de ses 100 kg quand moi j’en fais à peu près 50 », s’est encore désolée la jeune femme, visiblement émue et évoquant une agression « traumatisante ». Elle assure être restée, elle, « pacifique ».
Celui qu’elle accuse d’agression est une étoile montante d’une contre-culture d’extrême droite qui foisonne sur Internet. De son vrai nom Baptiste Déodati, « Marchais », 27 ans, est en fait un ancien sympathisant des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), ex-groupuscule radical du skinhead Serge Ayoub. Devenu haltérophile, Marchais enchaîne maintenant des vidéos promotionnelles sur YouTube. Moustache et barbe soigneusement taillées, physique de camionneur, il y campe le franchouillard en dégustant des entrecôtes en compagnie de Papacito ou en forgeant des couteaux aux côtés de Raptor, autres youtubeurs du même bord, dans un mélange des genres entre politique et lifestyle, qui renouvelle les codes de l’extrême droite radicale.
Il n’y a pas de « féminisme identitaire », il n’y a que la volonté des femmes vaginocrates de mettre en coupe réglée la société. L’angle par lequel une femme s’y essaie est sans importance.
Dans cette société vaginocentrée, l’un des pires crimes que puisse commettre un homme blanc est de recadrer physiquement une femme. C’est donc la mort sociale pour le contrevenant. La carrière de ce YouTubeur vient de prendre fin, définitivement.
Gifler une garce castratrice est aussi légitime que nécessaire
Une femme qui outrepasse sa position doit absolument être recadrée, y compris par la force.
C’est un non débat.
Les femmes cherchent à se faire frapper, tout comme les enfants cherchent à se faire frapper. Ce qu’elles veulent savoir, c’est jusqu’où elles peuvent aller avant de se faire frapper. D’où les tentatives constantes de pousser les limites de l’homme à coups de shit tests.
C’est le déséquilibre entre le potentiel de violence des deux sexes qui fonde la dynamique fondamentale de leur relation. Un homme sans potentiel de violence latente, tout comme un pays sans potentiel de violence latente, est désarmé, donc tôt ou tard conquis, dominé et exploité.
C’est le même enjeu derrière le port d’arme : ce qui modifie la dynamique sociale, ce n’est pas l’usage des armes, c’est le fait de pouvoir s’en servir.
Toute la propagande contre « les violences faites aux femmes » provient de ce programme féministe visant à désarmer l’homme pour l’empêcher de contrôler la société par la force, son premier avantage comparatif.
La diabolisation de la « violence masculine » est similaire à la diabolisation de la « violence de l’extrême-droite ». La question n’est pas la violence en tant que telle, mais qui l’inflige et qui la subit.
L’extrême-gauche est ultra violente et tout le système trouve normal qu’elle l’utilise.
Quand une femme abat son mari, le système la fait libérer.
Si les hommes en France répondaient à l’entreprise de destruction systématique de la société à laquelle se livrent les femmes blanches en les remettant à leur place par la force, ce pays serait en ordre. Mais comme les hommes préfèrent ramper devant une femme hystérique et lui céder dans l’espoir de l’apaiser, la France est un pays faible et envahi.