La rédaction
Démocratie Participative
08 mai 2023
Les démocraties juives occidentales viennent de subir une nouvelle défaite majeure.
Le Monde :
Les ministres des affaires étrangères arabes ont décidé, dimanche 7 mai, au Caire, en Egypte, de réintégrer le régime syrien à la Ligue arabe après l’avoir écarté en 2011 pour la répression d’un soulèvement populaire ayant dégénéré en guerre sanglante.
Il n’y a pas de « régime syrien ».
Il y a l’État syrien.
Il n’y a jamais eu non plus de « soulèvement populaire », mais une insurrection djihadiste dirigée par l’OTAN.
Les juifs n’ont pas manqué de soutenir les égorgeurs d’Al Qaeda.
L’axe du mal occidental a été stoppé par la Russie et l’Iran et les djihadistes ont été vaincus.
L’humanité respire. En fait, l’humanité ne peut qu’aller de mieux en mieux à mesure que les démocraties juives vont de défaites stratégiques en défaites stratégiques.
La Syrie avait été suspendue en réponse à la répression brutale du président syrien, Bachar Al-Assad, contre les opposants après les soulèvements du ’printemps arabe’ de 2011. La Chine et la Russie ont bloqué les tentatives de sanction d’Assad au Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies, incitant les Etats-Unis et l’Union européenne à imposer des restrictions unilatérales contre lui, son gouvernement et ses partisans.
Est-ce qu’il existe encore un pays qui n’est pas sanctionné par le gang judéo-démocratique ?
« Les délégations du gouvernement de la République arabe de Syrie siégeront de nouveau à la Ligue arabe », explique le texte voté par l’ensemble des ministres, dans une réunion à huis clos, au siège de la Ligue arabe, au Caire.
Isolé diplomatiquement depuis 2011, le président syrien Bachar Al-Assad est récemment sorti de son statut de persona non grata, et certains observateurs jugent qu’il pourrait même assister le 19 mai à Djedda, en Arabie saoudite, au sommet annuel des chefs d’Etat de l’organisation panarabe. Créée il y a plus de quatre-vingts ans, la Ligue arabe exerce peu de poids politique sur la scène mondiale, mais la mesure a une dimension symbolique.
Il s’agit par ailleurs d’un retournement spectaculaire, sachant qu’en 2013, l’opposition anti-Assad avait pu occuper le siège de la Syrie lors d’un sommet de la Ligue arabe à Doha, au Qatar.
C’est une habitude des démocraties juives de décréter quelle clique stipendiée par elles doit gouverner un pays qui n’a rien demandé à personne. Elles avaient procédé de la même façon en 1940 en décrétant que le déserteur De Gaulle était le « chef » du gouvernement français, un obscur sous-ministre qui venait de proposer à Churchill l’annexion de la France par l’empire britannique.
Avant le déclenchement des hostilités, la mafia républicaine de l’époque avait promis aux Français une promenade de santé pour remettre les juifs au pouvoir à Berlin.
L’idée d’une Allemagne dirigée par des Allemands semblait aux juifs être une intolérable innovation qui devait être stoppée à tout prix. Le résultat pour les Français jetés dans la guerre en fut la plus colossale défaite de leur histoire.
Personne n’a d’ailleurs jamais entendu « l’appel » du singe De Gaulle en juin 1940, 99% des Français étant à l’écoute du véritable chef de l’état de l’époque, le Maréchal Philippe Pétain.
L’homme mit immédiatement fin au bain de sang, sauvant de nombreuses vies françaises.
Pour les Français, c’était un soulagement. En revanche, pour les juifs et leurs associés dans le crime, c’était un désastre. Comme aujourd’hui en Ukraine, il était entendu que la synagogue se battrait jusqu’au dernier Français. Les juifs s’attendaient à une longue et impitoyable boucherie kasher, comme en 1914, avec de magnifiques assauts de jeunes Français envoyés se faire tuer contre les positions du contresémitisme allemand. Quatre ans de boucherie, rien de moins, c’était l’exigence formelle des juifs. Soudain, on les privait du carnage biblique.
L’armée française vaincue, les Français découvrirent petit à petit que tous les juifs qui les avaient brutalement envoyés se faire tuer à avaient tous disparus. L’épisode du Massilia, à Bordeaux, en témoigne.
Mobilisé et déserteur, l’aïeul de Tristan Mendès, le juif Pierre Mendès, grimpa sur ce paquebot pour fuir au Maroc. Il était accompagné du juif Jean Zay, ancien ministre de « l’Éducation » et du juif Georges Mandel, autre goule hébraïque assoiffée de sang.
Les dockers, sidérés de voir les bandes parlementaires juives fuir comme des rats alors que les combats continuaient, refusèrent d’appareiller. À force de menaces contre les Français, les juifs parvinrent à faire partir le navire, mais furent accueillis à Casablanca par une foule de Français déchaînés. Le régime républicain en pleine désintégration dut barricader la bande dans un hôtel de luxe de la ville pour éviter un pogrom en bonne et due forme. Toute la clique fut finalement arrêtée et ramenée en France.
C’est fort logiquement le juif Mendès devint chef du gouvernement français dans les années 50 au titre de ses éminents services rendus à la république.
Le yid Mendès
La Syrie devait connaître le même sort que la France en 1944 quand les assassins de Judée reprirent Paris avec l’aide de l’occupant américain, rebaptisé « libérateur » par la presse juive. La prise de Damas devait permettre à la juiverie de réaliser ses ambitions raciales dans la région.
Mais nous ne sommes plus en 1944 et les juifs font face à une résistance mondiale qui met systématiquement en échec leurs projets.
Bachar al Assad vit donc ce qu’aurait vécu le Maréchal Pétain si le Führer avait gagné la guerre en Europe : un triomphe.
Heureux Syriens.
Des pays arabes avaient soutenu des rebelles au début de la guerre, devenue depuis un terrain d’affrontements entre forces étrangères, et qui a fait environ un demi-million de morts et des millions de réfugiés et de déplacés.
Plusieurs Etats, dont l’Arabie saoudite et l’Egypte, ont récemment renoué avec la Syrie, même si certains, comme le Qatar, restent opposés à une normalisation complète sans solution politique au conflit syrien.
Si le réchauffement diplomatique se préparait depuis des mois, M. Assad a bénéficié de l’élan de solidarité mondial après le tremblement de terre dévastateur du 6 février, qui a fait des milliers de morts en Turquie et en Syrie.
Le président et ses ministres ont ainsi vu défiler à Damas les représentants de nombreux pays arabes qui refusaient jusqu’alors de normaliser leurs relations avec la Syrie – certains faisant même de leur départ du pouvoir une condition sine qua non.
Damas mise désormais sur une pleine normalisation avec les pays arabes, notamment les riches monarchies du Golfe – un temps plus grands alliés de l’opposition à M. Assad –, pour financer la coûteuse reconstruction du pays aux infrastructures ravagées par les conflits à répétition.
Ce qui importe, c’est la victoire.
Le vainqueur a toujours raison.
Le Maréchal Philippe Pétain aurait des noms de rue à son nom partout en France aujourd’hui si l’Allemagne avait emporté la victoire.
Ces rues De Gaulle ont une signification bien précise.
Pas plus que Bachar al Assad, Adolf Hitler n’est le diable. C’est une hallucination pour boomers concoctée par les juifs que ces vieux croulants consomment à haute dose depuis qu’ils sont nés. Ces juifs ont d’ailleurs troqué Bachar al Assad pour Vladimir Poutine dans leur théâtre infernal.
Si l’Allemagne nationale-socialiste avait gagné la guerre, les Français vivraient encore dans un pays blanc et ils auraient l’allemand en LV1 au lieu de l’anglais.
Au lieu de cela, il n’y a plus de Français dans les villes françaises « libérées » par la démocratie juive armée.
Les Syriens ont échappé à ce châtiment hébraïque.
Ils ont également échappé à la création d’un musée des chambres à gaz imaginaires à Damas.
Je souhaiterais que Bachar al Assad crée un institut dédié à ce grand sujet qu’est le révisionnisme historique. Vincent Reynouard pourrait occuper là une fonction taillée à sa mesure.
La jeunesse syrienne a besoin d’être éduquée sur ces questions et, bien que la Syrie affronte des problèmes considérables, l’éveil du peuple demeure une priorité cardinale pour toute nation qui veut constamment renforcer ses défenses immunitaires contre le poison juif.