Captain Harlock
Démocratie Participative
19 juin 2019
Et dire qu’il y a encore un an, certains se demandaient si nous n’en faisions pas trop à propos des fiottes, des goudous et autres travelos séropositifs.
À peine sortis de leur épreuve anticipée de sciences de ce mercredi, les bacheliers de première ES et L envahissent la twittosphère avec leurs commentaires. Et une question a particulièrement inspiré leurs blagues.
Ce mercredi 19 juin avait lieu la deuxième épreuve de bac pour les élèves de première, les sciences. À leur sortie de l’épreuve, ils alimentent leur compte Twitter avec leurs meilleures phrases sur le sujet. Et cette année, un exercice a attiré leur attention: une jeune fille possédant des testicules.
Karine Sabourdy, enseignante de SVT à Ipécom Paris, estime pourtant que le sujet est «parfaitement en accord avec l’actualité et la réflexion contemporaine sur le genre».
Ah.
C’est possible, je ne sais pas.
On ne sait plus.
Cela est d’autant plus vrai que l’âge des candidats de première est prompt à ce questionnement ; ils sont «en pleine construction de leur vie d’adulte» et «ce genre d’anomalie, ça les interpelle». L’exercice devrait donc permettre d’approfondir ce thème.
Nous sommes gouvernés par des pervers totalement obsédés par la sexualité des gamins.
Comme toutes les fiottes.
La parallèle n’a pas manqué d’être dressé avec la présence de plusieurs prénoms mixtes dans les épreuves de première cette année.
Jusqu’au traveloïsme.
André chedid qui est une femme , Camille un homme et la jeune fille qui possède des testicules , l’éducation national veut nous faire passer un message #BacSciences
— âme_tourmentée (@feroxxv) 19 juin 2019
Saint Kadyrov,
priez pour nous,
aidez-nous à vaincre le péril des fiottes et des travelos.