Axe judéo-musulman : Les conspirateurs juifs de Facebook liquident la page du parti « Britain First » et de ses 2 millions d’abonnés

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 mars 2018

 

Les conspirateurs juifs de Facebook ont fermé la page de Britain First qui comptait 2 millions d’abonnés, soit la page la plus importante de tous les partis politiques britanniques.

CNews :

Facebook a fermé la page du groupe d’extrême droite britannique «Britain First». Malgré plusieurs avertissements du réseau social, le mouvement continuait de diffuser des messages haineux.

«Nous avons récemment envoyé un dernier avertissement écrit aux administrateurs des pages et ils ont continué à publier des contenus qui enfreignent nos critères régissant les communautés», a expliqué Facebook dans un communiqué publié sur son site internet.

Le réseau social a annoncé également avoir fermé les pages des dirigeants du parti, Paul Golding et Jayda Fransen, qui ont enfreint les règles de Facebook, en tenant un «discours destiné à attiser la haine contre certaines minorité».

Facebook se décrit comme «une plate-forme ouverte à toutes les idées» mais ces dernières «peuvent et doivent être exprimées sans haine». «Nous ne faisons pas ça à la légère, mais ils ont posté à plusieurs reprises du contenu destiné à entretenir l’animosité et la haine contre des minorités, ce qui disqualifie leurs pages de notre service», a expliqué le réseau social.

Jayda Fransen, vice-présidente du parti, a été récemment condamnée à trente-six semaines d’emprisonnement pour persécutions religieuses. Le président du parti, Paul Golding, a été condamné à dix-huit semaines de prison. Tous les deux étaient accusés d’avoir diffusé des vidéos et des tracts en 2017 alors que se tenait un procès où trois musulmans avaient été condamnés pour viol.

Le président américain Donald Trump a relayé à plusieurs reprises des tweets du groupe d’extrême droite. Il avait scandalisé beaucoup d’internautes et s’était ensuite excusé.

Les deux leaders de Britain First ont été jetés en prison puis ont été numériquement supprimés. Autrement dit, on a supprimé le courant politique qu’ils représentent et dans lequel se reconnaissent des millions de gens.

Résumons. Les deux dirigeants de Britain First, à l’occasion d’un procès de pédophiles pakistanais puants, font le constat objectif que la religion du bédouin pédophile Mahomet est une religion de pédophiles. Le gouvernement déclare qu’il s’agit d’un « crime haineux », les condamnent au trou avant de placarder leurs visages dans la presse pour faire passer le message au peuple au sujet de la noble religion d’allah.

Une semaine après, vous avez la Canadienne Lauren Southern qui est interdite d’entrer au Royaume-Uni à Calais pour une histoire « d’extrémisme chrétien », « de terrorisme d’extrême droite » et aussi parce que la Grande-Bretagne redoute « que des gens roulent sur des musulmans », dixit durant sa garde-à-vue.

Ouai.

La définition du « terroriste d’extrême-droite » au Royaume-Uni est assez simple. En gros, ça consiste à jeter une tranche de jambon sur une porte de mosquée et ensuite, à se faire liquider en prison pour ça.

Une véritable menace.

Vous avez au même moment, l’américaine Brittany Pettibone qui se fait jeter parce qu’elle veut interroger Tommy Robinson parce qu’il dit des choses méchantes sur les pédophiles musulmans.

Et donc, la juiverie qui contrôle Facebook et le gouvernement britannique décide d’agir au moment où Khan le Sadique est au Texas pour exiger que les réseaux sociaux purgent les infidèles qui lui manquent de respect.

Et la télé du juif Drahi n’en a pas loupé une miette.

 

Laissez-moi vous dire que tout cela ne relève pas du hasard : les juifs et leurs alliés mahométans ont ourdi une offensive contre la liberté d’expression des Blancs dans le but de les écraser définitivement au Royaume-Uni et, par extension, aux USA.

C’est absolument limpide.

Liquidation physique et numérique des Blancs, organisation de l’invasion islamique : le projet de ces juifs et de leurs amis musulmans est clair.