Captain Harlock
Démocratie Participative
04 Juin 2020
L’univers des Boomers est en train de s’effondrer sous le poids de ses propres contradictions et ces Boomers sont absolument terrifiés par le monstre négroïde qu’ils ont créé de toutes pièces.
#Macron #Castaner #EdouardPhilippe
La « racialisation » (galopante) de la vie publique par une ultra-gauche anti-flics est extrêmement grave.
Sauver la République, notre bien commun.— D. de Montvalon (@demontvalon1) June 4, 2020
Les Boomers, depuis qu’ils sont nés après la guerre, se vivent comme des éléments antisociaux et marginaux qui ont une mission historique à remplir : renverser l’ordre établi en faisant la révolution pour « libérer » l’individu des chaînes du passé. Ils pensent être des outsiders, des exclus, des opprimés qui doivent s’émanciper de tout ce qui existait avant eux.
Ce truc a une origine bien identifiée. Depuis leur adolescence, leur envie compulsive de baiser a convaincu les Boomers de la nécessité de détruire l’ordre social pour pouvoir coucher comme bon leur semble. C’est comme ça qu’a démarré Mai 68 : les étudiants rouges de Nanterre menés par l’anarchiste juif Cohn-Bendit voulaient pouvoir aller baiser des Blanches dans leur internat. C’est sur ce besoin compulsif de baiser et cette volonté de détruire tout ce qui pouvait y faire obstacle qu’a prospéré le freudo-marxisme révolutionnaire dont l’antiracisme est un des prurits.
Si vous vous intéressez à l’Ecole de Francfort tenu par un cartel de doctrinaires juifs allemands, vous découvrirez que deux sujets prédominent cette école de pensée néo-marxiste : baiser frénétiquement et détruire la race blanche.
C’est évidemment parce que les juifs sont des détraqués sexuels rongés par la haine raciale envers les Blancs.
Je ne suis pas le seul à en faire le constat. Certains juifs le reconnaissent sans ambage.
Aujourd’hui, ce que nous voyons, c’est la dernière phase de la révolution culturelle judéo-marxiste qui a démarré dans les années 60 et qui s’est donnée pour objectif de détruire la civilisation occidentale et son pilier : l’homme blanc hétérosexuel.
Ces deux processus – libéralisme sexuel et racisme antiblanc – ont évolué en parallèle. A mesure que les Boomers ont investi des places de pouvoir et d’influence, ils ont institutionnalisé la révolution culturelle juive à laquelle ils adhèrent profondément. La légalisation de l’avortement de la juive Veil va main dans la main avec la loi Pleven qui censure la parole blanche face aux allogènes importés par le patronat et la gauche dans les années 60 et 70.
Les Boomers psychologiquement sémitisés pensaient détruire toute forme de hiérachie, qu’elles soient sociales, économiques, nationales, raciales ou religieuses. Pour hâter cette abolition du « capitalisme » qu’ils associent au « racisme blanc » – et, en fait, à la race blanche en tant que telle -, les Boomers encadrés par les juifs ont soutenu l’ouverture frontières afin d’organiser une grande révolution démographique. Une fois la France et les pays occidentaux devenus multiraciaux, la paix sur terre allait advenir. « Shalom » en hébreu.
Ces imbéciles aveuglés par l’égalitarisme judéo post-chrétien n’ont jamais même pu entrevoir la possibilité pour les races non-blanches d’avoir des caractéristiques biologiques et psychologiques indépassables. Et encore moins de n’avoir rien à foutre de leur utopie. Pour chasser le Nazi imaginaire de la guerre qu’avaient connue leurs parents, les Boomers ont fait entrer le loup racialiste allogène dans la bergerie antiraciste blanche.
L’action brutale des nègres et de l’extrême-gauche blanche opportuniste, sur le modèle américain, est un véritable choc pour tous ces Boomers qui découvrent stupéfaits que leurs mots ne veulent plus rien dire.
Le niveau du déni français est spectaculaire: #Onfray sur #GeorgeFloyd « Le fait qu’il soit noir ou blanc n’est pas mon problème. Je suis universaliste, je suis un enfant des Lumières. ».
J’ai envie de rire mais c’est tellement triste en réalité…. https://t.co/VBKS41zeGm— Rokhaya Diallo (@RokhayaDiallo) June 3, 2020
Je suis au regret de vous dire qu’il n’y aura pas d’épiphanie à droite. Au contraire, l’antiracisme va devenir le nouvel horizon de la droite réactionnaire, du centre-droit au RN. C’est déjà vaguement le cas mais cela va devenir beaucoup plus marqué.
Comme nous l’avons souvent dit ici, la réaction se contente de mener le combat de la gauche d’hier. C’est sa façon de s’opposer de manière pavlovienne à la dynamique portée par la gauche : aller contre pour aller contre. La droite réactionnaire a pour principe de ne jamais être créative ou d’innover.
Nier la réalité du nouveau paradigme racial de la France multiethnique va devenir le mot d’ordre de cette droite peuplée de Boomers autistes.
Bien évidemment, la majorité de ces Boomers hypocrites comprennent parfaitement qu’il s’agit d’une guerre raciale en bonne et dûe forme. Mais ils ont trop peur d’être traités de « racistes » par la gauche – qu’ils craignent, admirent et à laquelle ils se soumettent – pour reconnaître le fait racial qui s’étale devant leurs yeux à chaque émeutes de noirs suprémacistes.
Sans parler du fait que la police politique juive, que les Boomers vénèrent en tant qu’adeptes de la religion de l’Holocauste, veille au grain.
Cet autisme droitier va aller si loin qu’ils se donneront pour slogan, « c’est la gauche les vrais racistes ! ». Ces imbéciles pensant déborder les antiracistes avec des slogans antiracistes. Au bout d’un moment, ces demeurés finiront par s’en convaincre à force de le répéter et deviendront d’authentiques relais du discours antiraciste, culpabilisant encore davantage leur propre camp politique, c’est-à-dire la bourgeoisie blanche réactionnaire.
Vous n’avez pas fini de voir des faciès de primates s’étaler sur la timeline de tous les couillons de lecteurs du Figaro.
Lorsque Virginie Despentes affirme qu’elle n’a pas de souvenir d’avoir vu un homme noir ministre, elle a la mémoire courte ou les idées floues.
Elle injurie ceux qui l’ont été à commencer par Blaise Diagne et Gaston Monnerville
et si elle joue sur les mots que dire de R. Bambuck https://t.co/gFmHkRAhgi pic.twitter.com/c1xXix8ZCI— Eric Anceau (@Eric_Anceau) June 4, 2020
Parce qu’évidemment importer les idées subversives de la gauche à droite est la chose la plus intelligente à faire pour remporter la bataille idéologique.
Ceci dit, c’est logique. Ce que l’on appelle la « droite » en France est en réalité un golem antifa érigé sur le souvenir du démocrate Charles De Gaulle qui s’est engagé en 1940 à « restaurer les israélites de France dans leurs droits » et abattre le sursaut racial blanc national-socialiste. L’antiracisme est l’ADN même de cette droite patriotarde antillaise qui adule la négraille depuis 1914.
Dans un long texte, Marine Le Pen revendique l’héritage du général de Gaulle. Une telle apologie, en rupture totale avec la genèse du parti d’extrême droite, lui permet de poursuivre son entreprise de « dédiabolisation ». https://t.co/wsUGohPA19
— Le Monde (@lemondefr) June 3, 2020
Vous allez donc en manger matin, midi et soir, jusqu’a ce qu’un beau matin les Blancs deviennent effectivement minoritaires en France et que cette même droite décide de rallier et de se soumettre comme elle s’est toujours ralliée et toujours soumise.
Qui a trahi, trahira, qui s’est rallié, ralliera, qui s’est soumis, se soumettra.
Ces bourgeois réactionnaires veulent uniquement sauver leur peau parce qu’ils ont déjà intégré psychologiquement la victoire de nos ennemis raciaux. Ils veulent négocier l’avenir de nos enfants pour pouvoir être épargnés.
Ceux qui veulent à tout prix comparer la France aux Etats-Unis sont tout simplement en train de détruire notre modèle et exacerber les tensions identitaires. La race n’a jusqu’ici jamais été une question en France. https://t.co/BmcLbr4FdA
— Alexandre Devecchio (@AlexDevecchio) June 3, 2020
Nous ne devons jamais discuter avec ces gens. Ce que nous devons faire, c’est priver la bourgeoisie de toute possibilité de réaliser un compromis. Et c’est là qu’interviennent tous ces activistes allogènes : eux, au moins, sont d’authentiques racistes qui se consumment de haine pour les Blancs. Ils ne voudront jamais de compromis et n’auront de cesse d’alimenter le feu de la guerre raciale.
C’est très bien, car nous aussi sommes racistes et tout ce qui polarise racialement la société est pour nous une opportunité à exploiter. Plus tôt survient la clarification des lignes raciales, plus vite la confusion semée par la gauche blanche sous contrôle juif prendra fin.
Le moment est venu pour nous d’ensevelir l’héritage générationnel des Boomers et de contribuer à la renaissance du sentiment racial en France en réduisant tout à ce clivage dialectique simple : les Blancs contre tous les autres.
C’est ce qui clivage qui emportera cette république juive pourrie et tout ce qu’elle contient.
Tout plutôt que la statu quo.
Guerre raciale tout de suite !
Commentez l’article sur EELB