Avec l’aide de la Mosquée de Paris, Hafid offre chaque jour des sandwichs aux étudiants dans le besoin

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 février 2021

 

On attire pas les kouffars avec du vinaigre.

Le Parisien :

Entre deux séances de révisions à la bibliothèque ou en sortant de leur résidence Crous pour la pause déjeuner, des dizaines d’étudiants se dirigent vers la boulangerie d’Hafid, située dans le Ve arrondissement de Paris. Depuis le 15 février, ils viennent profiter des formules sandwich gratuites proposées par la Grande Mosquée de Paris, tous les jours, entre midi et 15 heures. « Je trouve ça incroyable d’offrir ça aux jeunes, surtout à ceux qui n’ont pas de moyens », s’exclame Aminata (21 ans) qui étudie en STAPS (Sciences et techniques des activités physiques et sportives). Pour elle, ce repas gratuit est d’une grande aide contre « les galères de thunes », et pour tenir sans avoir faim toute la journée car « surtout, ça cale ».

À seulement deux cents mètres de l’université Sorbonne-Nouvelle et quelques minutes de la faculté de Jussieu, la boulangerie d’Hafid est devenue un point de ralliement des étudiants qui subissent de plein fouet les conséquences financières de la pandémie. « Je prends un panier gratuit le midi et une formule à 1 € au Crous le soir, sinon je n’ai pas les moyens de me payer à manger », explique Alana, étudiante en DUT Métiers du livre. Désormais sans « petits boulots », comme elle, plusieurs jeunes précaires sont obligés de recourir quotidiennement aux repas offerts. « En ce moment, c’est bien de pouvoir s’occuper un peu moins de notre argent, raconte Gabrielle, étudiante en philosophie qui salue avec joie l’initiative. Je peux aller à la bibliothèque, venir ici sans me préparer à manger, en plus, les gens sont hypergentils, c’est cool ! »

En une semaine, Hafid a déjà distribué plus de 1 000 sandwichs et le personnel de la Grande Mosquée de Paris qui finance ces dons pense continuer ce partenariat au moins jusqu’en octobre. « On a juste essayé de faire un geste, explique le boulanger. Pour eux, la vie est difficile. »

Il n’y a pas évidemment pas de jambon beurre au menu.

Quoi qu’il en soit, la France, paradis socialiste le plus taxé au monde, en est désormais réduite à sous-traiter sa famine auprès des musulmans, conséquence de la lutte contre une grosse grippe invisible.

Vous me direz que c’est un juste retour des choses vu que les Français sont écrasés d’impôts pour financer le sixième pilier de l’islam qu’est la CAF.

Ce qui est sûr, c’est qu’avec quelques centaines de sandwichs, les musulmans auront plus de résultats en termes d’influence concrète sur les jeunes étudiants que le parti de l’alcoolo-tabagique qui se paye ses cuites au champagne sur le dos des électeurs. Je parle de Marine Le Pen.

Ces étudiantes blanches sont bien évidemment déjà acquises à l’arrivée perpétuelle de mâles afro-musulmans mais ces quelques sandwichs vont les arrimer définitivement au navire de l’oumma. En soirée, la moindre discussion sur le voile islamique ou la vie idyllique à Trappes se finira invariablement par des spasmes ovariens, ces étudiantes étant convaincues d’avoir été sauvées d’une mort certaine par les âmes charitables du califat.

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