Captain Harlock
Démocratie Participative
26 août 2019
Enfin quelqu’un qui place sur la scène internationale ce scandale étouffé jusqu’ici : les rides de l’affreuse bique qui sert de maman à Macron.
Le malaise persiste dans les relations entre le Président brésilien et les autorités françaises. Jair Bolsonaro a ainsi plaisanté sur Facebook au sujet du physique de Brigitte Macron en la comparant à sa femme.
Le Président brésilien Jair Bolsonaro a publié dimanche sur Facebook un commentaire offensant pour la Première dame Brigitte Macron, réagissant lui-même à un post qui se moquait de son physique en le montrant sur une photo désavantageuse. Il l’a notamment comparée à sa femme Michelle Bolsonaro (37 ans).
«Vous comprenez maintenant pourquoi Macron persécute Bolsonaro?», a écrit un internaute sous les photos des deux couples présidentiels. «C’est la jalousie (…) de Macron, je parie».
«N’humilie pas le type – MDR [«mort de rire», ndlr]», a répondu sous le commentaire le Président brésilien.
Effectivement, ça commence par là.
Qui peut prendre au sérieux Macron quand on voit la copie de Toutankhamon montée sur roulettes qu’il traîne avec lui partout où il va ?
Surtout que toutes les images sont photoshopées par la presse pour essayer de lui gommer 20 ans.
Le pire, c’est qu’elle montre sans cesse ses cannes de 66 ans avec des robes de gamine.
C’est ajouter le tragique au grotesque.
La traînée de Bolsonaro répond mieux aux standards du leader politique.
Elle est assez jeune et fait des photographies qui permettent de valoriser la dimension dominatrice du chef.
Un chef est par définition dominateur. Afficher une nana 9/10 ou 10/10 dans le pays concerné permet de confirmer qu’il occupe pleinement son statut et ramène comme il veut des bombes dans son lit.
C’est ce que se disent les masses, hommes et femmes confondus.
Pour ma part, je pense qu’aucun gouvernement ne devrait tolérer la présence de laiderons ridés aux bras de ministres qui le composent. Pour les événements publics, de belles jeunes femmes devraient être assignées à leurs côtés.
C’est de toute façon le seul rôle admissible pour les femmes en politique : de beaux faire-valoir.