Captain Harlock
Démocratie Participative
25 Mars 2020
La dangerosité du Coronavirus est bel et bien une construction médiatique.
Une nouvelle étude britannique indique qu’il est en réalité du même niveau de dangerosité que le virus de la grippe classique. Peut-être moins encore.
Le nouveau coronavirus pourrait déjà avoir infecté beaucoup plus de personnes au Royaume-Uni que les scientifiques ne l’avaient estimé précédemment – peut-être jusqu’à la moitié de la population – selon la modélisation des chercheurs de l’Université d’Oxford.
Si les résultats sont confirmés, ils impliquent que moins d’une personne sur mille infectée par le Covid-19 devient suffisamment malade pour nécessiter un traitement hospitalier, a déclaré Sunetra Gupta, professeur d’épidémiologie théorique, qui a dirigé l’étude. La grande majorité développe des symptômes très légers, voire aucun.
« Nous devons immédiatement commencer des enquêtes sérologiques à grande échelle – des tests d’anticorps – pour évaluer à quel stade de l’épidémie nous nous trouvons actuellement », a-t-elle déclaré.
La modélisation du groupe d’Oxford sur l’écologie évolutionniste des maladies infectieuses indique que Covid-19 a atteint le Royaume-Uni à la mi-janvier au plus tard. Comme de nombreuses infections émergentes, il s’est propagé de manière invisible pendant plus d’un mois avant que les premières transmissions au sein du Royaume-Uni ne soient officiellement enregistrées à la fin du mois de février.
En France, nous savons qu’il y a déjà deux semaines, des centaines de milliers de Français étaient infectés.
Ils sont probablement des millions actuellement mais le taux d’hospitalisation pour les cas graves ne s’élève qu’à quelques milliers de personnes pour tout le pays. Si nous avions affaire à 15% de taux d’hospitalisations nécessaires comme ces « experts » l’affirment, il y aurait déjà plusieurs centaines de milliers de gens devant être hospitalisées.
Rien de tel ne se matérialise.
Nous n’avons pas des centaines de milliers de gens en train de suffoquer chez eux jusqu’à ce que mort s’en suive.
La recherche présente une vision très différente de l’épidémie par rapport à la modélisation de l’Imperial College de Londres, qui a fortement influencé la politique gouvernementale. « Je suis surpris qu’il y ait eu une telle acceptation sans réserve du modèle impérial », a déclaré le professeur Gupta.
C’est ce modèle de l’Imperial College qui guide la plupart des gouvernements face à ce virus, notamment le gouvernement français.
L’étude d’Oxford est basée sur un modèle dit de « susceptibilité-infection-récupération » du Covid-19, élaboré à partir des rapports de cas et de décès du Royaume-Uni et de l’Italie. Les chercheurs ont formulé ce qu’ils considèrent comme les hypothèses les plus plausibles sur le comportement du virus.
La modélisation remet en lumière l' »immunité collective », l’idée que le virus cessera de se propager lorsqu’un nombre suffisant de personnes seront devenues résistantes parce qu’elles ont déjà été infectées. Le gouvernement a abandonné sa stratégie non officielle d’immunité collective – permettant une propagation contrôlée de l’infection – après que ses conseillers scientifiques aient déclaré que cela inonderait le Service national de santé de patients gravement malades.
Mais les résultats d’Oxford signifieraient que le pays avait déjà acquis une immunité collective substantielle par la propagation non reconnue de Covid-19 sur plus de deux mois. Si les résultats sont confirmés par des tests, les restrictions actuelles pourraient être levées beaucoup plus tôt que ne l’ont indiqué les ministres.
Bien que certains experts aient jeté le doute sur la force et la durée de la réponse immunitaire humaine au virus, le professeur Gupta a déclaré que les preuves émergentes lui permettaient d’être confiante dans le fait que l’humanité développerait une immunité collective contre le Covid-19.
Pour fournir les preuves nécessaires, le groupe d’Oxford travaille avec des collègues des universités de Cambridge et du Kent pour commencer les tests d’anticorps sur la population générale dès que possible, en utilisant des « tests de neutralisation » spécialisés qui fournissent une lecture fiable de l’immunité protectrice, a déclaré le professeur Gupta. Ils espèrent commencer les tests dans le courant de la semaine et obtenir des résultats préliminaires dans quelques jours.
Ne croyez pas les chiffres officiels
Les modèles de l’Imperial College qui conseille le gouvernement français avance des prédictions délirantes sur la base d’un taux de létalité de 3%.
Tous les taux avancés actuellement sont faux. Tous. En Italie, le taux de mortalité est officiellement évalué à 9% et 4% en France.
Le taux de létalité au Covid-19, est actuellement de 0,3 % en Allemagne, contre 3,6 % en France, 4 % en Chine et 8,5 % en Italie. #Coronavirus : en Allemagne, le faible taux de mortalité interroge https://t.co/tk3fVWowbc
— Le Monde (@lemondefr) March 21, 2020
Sauf que ces chiffres sont établis sur la base des personnes testées positives au Coronavirus. Or, à cause du manque de tests à grande échelle, on sait qu’il y a beaucoup plus de contaminés que ce qui est reconnu officiellement.
En France, le gouvernement ne recense que quelques dizaines de milliers de cas car ce sont les seules personnes qu’il a testées.
?? Bilan du #coronavirus (cas recensés) par région, à 14h.
Île de France 6798
Grand est 4922
Auvergne RA 1857
PACA 1595
Hauts de France 1532
Bourgogne FC 1510
Occitanie 900
N. Aquitaine 789
Normandie 586
Bretagne 526
Centre VDL 450
PdL 343
Outre-Mer 277
Corse 217#Covid_19fr— Conflits (@Conflits_FR) March 24, 2020
Etablir la mortalité du coronavirus sur une telle base n’a aucun sens.
Nous sommes donc, en réalité, face à un taux de mortalité de l’ordre de 1 ou 2 pour 1000. Et les personnes qui meurent ont plus de 60 ans à 94% en Italie, 99% ont une ou plusieurs pathologies.
En outre, 60% d’entre elles sont obèses.
Toute cette panique est donc créée artificiellement par des organismes opaques comme l’Organisation Mondiale de la Santé, liée à l’ONU, ou des « experts » qui sont aussi crédibles que les « climatologues » du GIEC.
Ce qui marche chez tous les Boomers diabétiques qui pensaient faire des croisières jusqu’à 95 ans, à nos frais.
A qui profite le crime ?
Cette panique artificielle a succédé à deux grands chocs financiers : l’effondrement des cours du pétrole et l’effondrement de la bourse.
C’est après ces deux événements qu’on a soudainement monté en épingle ce virus inoffensif, sauf cas rare, pour le présenter comme un cataclysme menaçant l’humanité de disparition.
Ayant connu le 11 septembre 2001, j’ai toutes les raisons de croire qu’un plan est à l’oeuvre. Ce plan n’est pas difficile à trouver : abolir toutes les libertés publiques.
C’est ce qui se passe.
L’Allemagne a fait un pas vers la déclaration de l’état d’urgence afin de débloquer un plan de sauvetage historique pour amortir le coup de la pandémie de coronavirus.
Le ministre des finances, Olaf Scholz, a exhorté les législateurs à ouvrir les limites constitutionnelles de la dette pour affronter contre une crise qui menace la vie moderne. Un nouvel emprunt de 156 milliards d’euros (169 milliards de dollars), soit l’équivalent de la moitié des dépenses annuelles normales du pays, sera utilisé pour financer les prestations sociales et l’aide directe aux entreprises touchées par le virus.
« Il n’y a pas de plan pour contrer une telle crise », a déclaré M. Scholz mercredi au Bundestag à Berlin, en remplacement de la chancelière Angela Merkel qui est chez elle en quarantaine. « Nous le faisons avec une énorme somme d’argent, aussi précisément que possible ».
L’argent, c’est pour divertir l’opinion.
L’état d’urgence est quelque chose de très différent. La radio d’état allemande a donné les détails du plan.
Cela donne au gouvernement le pouvoir de limiter certaines libertés constitutionnelles pendant une épidémie : À savoir, les libertés de mouvement, de réunion et l’inviolabilité du domicile. Toutefois, si des pouvoirs plus importants sont jugés nécessaires, l’état d’urgence peut être mis en œuvre.
Les lois définissent différents plans pour quatre états d’urgence différents : l’état de défense (une attaque militaire), l’état de tension (une étape intermédiaire avant l’état de défense), l’urgence interne (définie comme une menace à l’ordre démocratique de base) et les catastrophes naturelles.
Le coronavirus pourrait être défini comme une catastrophe naturelle, mais comme il rend dangereux les rassemblements de masse comme les sessions parlementaires, le gouvernement pourrait être obligé de qualifier la crise actuelle d’urgence interne, car le processus démocratique est menacé.
Lol.
Goy, quand on t’interdit de sortir de chez toi, c’est parce que la démocratie est menacée
Ces politiciens allemands à la solde de la finance juive veulent abolir le peu de libertés encore existantes pour une durée d’un an pour défendre la (((démocratie))).
Ils ne parlent clairement pas d’un virus.
Ils parlent du peuple.
Le véritable virus qu’ils cherchent à contenir, c’est la population.
En France, nous sommes soumis au même régime avec la prolongation de cet « état d’urgence » sanitaire.
Pendant que tout le monde est interdit de sortir de chez lui et que les Boomeuses saturent Facebook de leurs hormones fétides, le gouvernement peut en profiter pour prendre des mesures radicales comme la saisie de l’or, la suppression de l’argent liquide et la mise en place d’une crypto-monnaie d’état. Tout ça pour prendre le contrôle complet de tous les capitaux, sans exception. Bref, instaurer un système de type soviétique.
Ce virus, pour fun qu’il soit, n’a rien d’une menace existentielle.
Les gens sont manipulés.
Avec l’échec de l’arnaque du réchauffement climatique pour instaurer leur tyrannie, les juifs ont décidé d’utiliser quelque chose de beaucoup plus radical.
Greta Thunberg a contracté le coronavirus mais se dit «remise» https://t.co/aEAJSvPDUg
— Le Parisien (@le_Parisien) March 24, 2020
La question qui se pose à vous est la suivante : acceptez-vous d’être manipulé ?