Captain Harlock
Démocratie Participative
31 juillet 2018
A Varennes-sur-Allier, des hordes de nègres frénétiques étaient au bord de livrer la commune au pillage. Motif : ces cafres exigent davantage de nourriture et surtout de ne plus devoir bosser.
Cette vision infernale nous rappelle très exactement l’Afrique.
Une centaine de migrants du centre d’accueil et d’orientation de Varennes-sur-Allier, ont manifesté avec banderoles et slogans devant la gendarmerie de Varennes-sur-Allier de 13 h 30 à 16 h 30.
Ces migrants, sur le site de l’ancienne base aérienne, dénoncent des conditions d’hébergement précaires imposées par l’association Viltaïs, gestionnaire du site.
Ils se plaignent notamment de la nourriture, avec du pain et du lait le midi, parfois rien le soir », et « très peu de viande ».
Ils déplorent aussi le fait de devoir travailler « de 7 à 17 heures », tous les jours, sous peine d’exclusion pendant trois jours.
Une délégation a rencontré des dirigeant de Viltaïs, dans les locaux de la gendarmerie. Fabien Guieze, directeur du pôle réinsertion représentait les directions générale et pôle asile de Viltaïs à cette réunion. Pour lui, « les résidents mangent bien et ont des conditions de vie tout à fait satisfaisantes. » Même s’il reconnaît que le service a baissé en qualité parce que les dotations de l’Etat ont baissé de 25%. « Donc il y a moins de personnes pour les écouter, pour les encadrer. »
Pour Fabien Guieze, « il y a beaucoup d’angoisse chez les résidents liée à l’incertitude de leur avenir et leur situation administrative, ce qui a pu engendrer ce mécontentement. »
Comme si cette négraille travaillait seulement.
L’audace de ces nègres découle évidemment de la déférence que leur témoignent les agents du gouvernement et leurs auxiliaires communistes. Ces cannibales en ont perdu la tête, entrevoyant déjà des harems de Blanches, des arbre à billets plantés dans les jardins de leurs villas et, bien entendu, l’alcool à volonté.
Voyant après quelques semaines que rien ne se passait, ils ont commencé à nourrir des projets d’égorgement de Blancs. Et ont donc assiégé la gendarmerie du coin.
D’ici quelques temps, c’est l’Armée Française qui devra être déployée pour réaliser des opérations de pacification, comme dans les bleds de ces cons de nègres.
On nous expliquera que pour faire valoir la démocratie et les valeurs de la république, déployer des régiments ici et là pour pouvoir continuer à importer des millions de cafres sera la mesure la plus normale du monde.
Le programme des juifs s’expose parfaitement ici, dans ce village de 3,500 habitants. Un parmi tant d’autres.
D’ailleurs, avant que les juifs ne s’emparent de Disney, le nègre était fidèlement dépeint : comme une énorme fainéasse ne pensant qu’à bouffer et baiser.