Captain Harlock
Démocratie Participative
19 février 2019
Salut, on a ruiné et livré ton pays aux bougnoules, paye-nous notre retraite
Pour une solution finale à la question des boomers.
Un petit groupe de retraités a pris en main un chantier pas comme les autres, à Volvic (Puy-de-Dôme) : depuis quatre mois, ils restaurent bénévolement une maison destinée à abriter une famille de migrants.
Des pierres collées aux cloisons, un carrelage bariolé, une fresque du puy de Dôme sur tout un pan de mur et du rose, du vert, du violet… « Ah ça, on voit qu’ils se sont fait plaisir ! », rigole Vincent Grelier, pinceau à la main.
Les traces du passage de jeunes artistes du bâtiment, il y a quelques années dans le cadre d’un chantier d’insertion, colorent encore cette maison du centre-ville de Volvic. Mais depuis octobre, elles disparaissent petit à petit, au fil des allées et venues d’un autre petit groupe, un peu plus âgé.
Ce jour-là, ils sont trois. Deux au ponçage des cloisons de la nouvelle salle de bain. Une à la peinture des chambres. Trois sur la trentaine de personnes, presque exclusivement des retraités, qui participent bénévolement, au fil de leurs disponibilités, à un chantier pas comme les autres : ils retapent cette habitation qui sera mise à disposition d’une famille de migrants, par le biais de l’association puydômoise Hébergement solidarité sans frontières (HSSF).
« Nous hébergeons actuellement une douzaine de familles de migrants déboutés du droit d’asile et en attente de régularisation à Riom, Clermont ou encore Billom, explique Jean Dupouy, de HSSF. Les besoins sont grands, donc on cherche de généreux propriétaires prêts à mettre à disposition des logements gratuitement, sachant que nous payons les charges locatives (électricité, gaz, eau…). »
Un point important : les clandestins ont vu leurs demandes rejetées mais cela n’a aucune importance, elles deviennent alors des clandestins « en attente de régularisation ».
Et se font héberger par les passeurs marxistes du secteur.
À Volvic, le « généreux propriétaire » n’est autre que la municipalité. Mais la maison, abandonnée depuis des années, demandait un sérieux rafraîchissement. Alors le groupe de bénévoles s’est constitué à l’automne dernier. Et certains se retrouvent deux à trois fois par semaine sur le chantier.
« Chacun donne ce qu’il peut comme temps, poursuit Vincent Grelier, bénévole à l’initiative de cette aventure. Personne n’est du métier du bâtiment, mais on a tous un peu bricolé dans notre vie. »
La pose de cloisons pour créer trois chambres, l’aménagement d’une salle de bain, l’installation de lambris dans l’escalier en attendant d’agencer la cuisine : les travaux progressent tout doucement, avec les moyens disponibles. Car si l’huile de coude est gratuite, les matériaux nécessaires sont financés par la Ville de Volvic, à hauteur de 3.000 € pour l’instant, sachant que les services municipaux donnent aussi un coup de main.
« On ne va pas faire un trois étoiles, le but est de loger des gens correctement », note un autre bénévole, Elie Jennin, motivé par la simple « envie d’aider les migrants. C’est une cause qui m’interpelle, j’avais envie de faire quelque chose. Ce chantier participatif contribue aussi à créer du lien entre Volvicois, c’est une expérience vraiment enrichissante. »
Torcher des nègres clandestins, le nouvel atelier découverte pour les boomers qui s’emmerdent à la maison.
J’en peux plus.
Si tout se passe bien, le chantier pourrait être terminé à l’été. Mais d’ores et déjà, les bénévoles préparent la suite. « À chaque fois qu’on loge une famille de migrants, on veille à ce qu’un noyau de gens se constitue autour d’eux pour les aider dans le transport, l’accompagnement à l’école ou chez le médecin, le suivi des cours de français« , détaille Jean Dupouy.
« Il faudrait qu’on soit une trentaine, chiffre Vincent Grelier. On va aussi organiser des spectacles et événements pour avoir un peu de fonds, si besoin. On fera tout pour qu’ils s’intègrent à Volvic, à travers les clubs, les associations… Mais pour l’heure, tout ça, c’est encore l’inconnu. On va déjà finir le chantier ! » L’aventure ne fait que commencer.
Cette sale race de boomers gauchistes.
N’allez pas leur demander d’aider leurs voisins à réparer un volet bloqué ou à repeindre une porte de garage : ils appelleraient les gendarmes.
Et quand cette engeance ne vote pas Macron, elle vote Mélenchon pour nous recouvrir de nègres et d’impôts.
Une première mesure révolutionnaire consisterait à proclamer une seule et même retraite pour tous ces soixante-huitards : 500 euros par mois et par tête.
La seconde : interdiction des soins pour toute personne née entre 1940 et 1960.
La troisième : relogement obligatoire des taulards afro-maghrébins au domicile principal de tous les profs de gauche de 60 ans et plus.