Autriche : le ministre de l’intérieur populiste démissionne pour avoir voulu reprendre le contrôle des médias juifs

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 mai 2019

Il a fait confiance au juif

En Autriche, le système judéo-globaliste vient de frapper vite et fort contre le FPÖ et son leader principal, Heinz-Christian Sträche.

Le Monde :

Le chancelier autrichien, Sebastian Kurz, chef du parti conservateur, a annoncé, samedi 18 mai, la convocation prochaine d’élections législatives anticipées et la fin de la coalition entre sa formation, le Parti populaire autrichien (ÖVP), et le Parti de la liberté (FPÖ, extrême droite). « J’ai proposé au président de la République [Alexander Van der Bellen] que de nouvelles élections soient organisées, et cela le plus tôt possible », a déclaré M. Kurz lors d’une allocution devant la presse, quelques heures après la démission du numéro deux du gouvernement et chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, mis en cause dans vidéo qui montre une tentative de collusion en lien avec la Russie. M. Strache avait formé un gouvernement avec le chancelier conservateur en décembre 2017.

Juste pour ceux qui ne sauraient pas qui est Strache, c’est lui :

Strache est ministre de l’Intérieur et Vice-chancelier depuis un an et demi.

Curieusement, Salvini a les mêmes fonctions que lui : ministre de l’Intérieur et Vice Premier ministre.

« L’affaire d’Ibiza » a éclaté vendredi soir avec la publication par les médias allemands Süddeutsche Zeitung et Der Spiegel d’une vidéo tournée en caméra cachée il y a deux ans dans laquelle M. Strache discute, quelques mois avant les législatives, avec une femme se présentant comme la nièce d’un oligarque russe, de la meilleure façon de financer de manière occulte le FPÖ et de racheter un média autrichien puissant.

Strache s’est fait rouler comme un bleu, ce n’est pas la peine d’essayer de tourner autour du pot.

A la tête d’un parti populiste et identitaire important et discuter d’un mode de financement occulte, qui plus est en provenance de Russie, c’est de l’inconscience. Je suppose que Strache devait être particulièrement exaspéré pour accepter de prendre de tels risques.

Quoi qu’il en soit, le coup vient de l’Otan. Ce n’est pas parce que l’Autriche n’est pas membre de l’Otan qu’elle n’est pas, dans les faits, sous occupation de cette alliance militaire judéo-atlantiste.

En fait, le mois dernier, un papier du Nouvel Obs détaillait comment le MI6 britannique était occupé à détruire la direction des services de renseignement autrichiens depuis qu’ils étaient dirigés par Strache.

Strache avait entrepris de purger les services secrets afin de restaurer la souveraineté du ministère de l’Intérieur sur le territoire national.

Pour la Grande-Bretagne comme pour les juifs de la CIA, une telle évolution aurait constitué un précédent extrêmement dangereux, surtout dans un état de langue allemande. Si Strache avait réussi, l’AfD aurait inévitablement voulu faire la même chose en Allemagne : former une coalition avec la droite libérale et réclamer pour elle le ministère de l’Intérieur afin de libérer l’Allemagne de la police d’occupation qui la contrôle.

La contre-attaque a consisté à piéger Strache. Ils ont conservé cette vidéo pendant 2 ans, attendant de voir jusqu’où le chef du FPÖ voulait aller. Apparemment, Strache était bien déterminé à pulvériser le réseau

Cerise sur le gâteau, ils l’ont sortie à quelques jours des élections européennes. Le FPÖ était à 23% avant l’affaire.

Donc, oui, globalement, c’est foiré.

« Il m’est impossible de rester au pouvoir, a déclaré, samedi soir, Sebastian Kurz. Je n’ai pas l’impression que le FPÖ a envie de changer. Les sociaux-démocrates [SPÖ] ne partagent pas mes orientations et les autres partis sont trop petits. » M. Kurz a laissé entendre qu’il serait candidat à ces législatives, dénonçant les idées exprimées par M. Strache « contre la démocratie et contre les médias » qui desservent l’image du pays.

Le chancelier a affirmé qu’il avait dû faire face à énormément de scandales de la part du FPÖ depuis décembre 2017 : poèmes nazis, liens avec la mouvance identitaire, propos racistes. « Après cette vidéo, assez, c’est assez. »

Lol, des « poèmes nazis ».

Un « scandale ».

L’Autriche a été envahie de sauvages du tiers-monde au terme d’une conspiration impliquant tous les partis du système et le seul scandale que ce type discerne, c’est une blague potache d’étudiant.

C’est bien évidemment une excuse.

Pour l’instant, aucune date n’est fixée pour ces législatives, alors que les Autrichiens doivent se rendre aux urnes dans huit jours, pour les élections européennes.

M. Kurz « est responsable » de la crise que traverse l’Autriche, selon Pamela Rendi-Wagner, la cheffe du SPÖ, car il a été « prévenu à maintes reprises des risques qu’il prenait » en confiant des portefeuilles régaliens, pour la première fois, à une formation politique qui n’aura eu de cesse, à la tête des ministères, de prouver qu’elle n’avait rien cédé de sa radicalité.

Parce que confier des ministères régaliens à des socialistes au service de la finance juive a tellement mieux marché.

C’est incontestable.

Les sondages d’opinions montrent toutefois que l’électorat du chancelier ne le tient pas comptable des scandales du FPÖ. Il espère donc réitérer l’exploit de la droite qui, après deux ans de pouvoir avec l’extrême droite en 2000, avait réussi à augmenter fortement son score aux législatives deux ans plus tard, à la suite, déjà, d’un scandale de corruption. Elle avait alors, en 2002, formé de nouveau une majorité avec une extrême droite affaiblie et aux personnels renouvelés.

Le plan est clair : discréditer le FPÖ, décapiter son leadership, récupérer ce qu’il en reste électoralement en le reprenant au gouvernement.

Un tel parti est inoffensif et sert d’appoint au gouvernement juif.

Samedi midi, flanqué de ses ministres, le chef du FPÖ, Heinz-Christian Strache, également numéro deux du gouvernement – le plus populaire de la dernière décennie avec plus de 60 % d’opinions favorables avant que n’éclate le scandale –, avait annoncé sa démission les larmes aux yeux, lors d’une conférence de presse improvisée en catastrophe.

« J’ai remis au chancelier Sebastian Kurz ma démission de mes fonctions de vice-chancelier et il l’a acceptée », a-t-il déclaré, dénonçant un « attentat politique ciblé ». Il a aussi indiqué qu’il déléguait la direction du FPÖ à Norbert Hofer, actuel ministre des transports et candidat malheureux de l’extrême droite lors de la présidentielle autrichienne. Johann Gudenus, un très proche de M. Strache, qui était impliqué également dans la vidéo, a aussi quitté ses fonctions politiques.

M. Strache, né en 1969, est un allié de la première heure de Marine Le Pen et du mouvement de Matteo Salvini en Italie. Il a succédé en 2005 au déjà sulfureux Jörg Haider et a été l’un des principaux artisans du rapprochement entre les nationalistes européens et le Kremlin, avant de devenir la personnalité d’extrême droite ayant réussi à obtenir les plus hautes fonctions au sein d’une démocratie de l’Union européenne (UE), grâce à une coalition avec les conservateurs, en décembre 2017. Il a été le premier à se rapprocher de Vladimir Poutine, le soutenant dès 2008, dans le cadre du conflit avec la Géorgie.

Strache avait une véritable vision géopolitique et cette vision est continentale, articulée autour d’une alliance euro-russe.

A son poste à Vienne, il pouvait jouer le rôle d’accélérateur, notamment entre l’Italie de Salvini et l’Europe centrale.

Hélas, Vienne est connue pour être un nid d’espions.

Evidemment, les juifs n’entendent pas laisser ce pays dont Hitler les a chassé redevenir libre. Nous avons rapporté les menaces explicites du chef de la juiverie mondiale après l’annonce de la formation de cette coalition gouvernementale.

Nous avions également rapporté la déclaration de guerre formelle au nouveau gouvernement autrichien portée par Bernard-Henri Lévy, en plein Vienne,

Donc, non.

Ce n’est pas une surprise.

C’était même désespérément prévisible.

C’est notamment sur une entrée de sa pseudo-investisseuse russe au capital du tabloïdKronen Zeitung (premier tirage du pays), afin d’en faire un titre pro-FPÖ, que porte une partie des discussions filmées durant une soirée arrosée dans une villa de l’île d’Ibiza (Espagne) et à l’origine du scandale. Dans la vidéo, filmée en caméra cachée, M. Strache, qui était donc accompagné d’un de ses lieutenants, le russophone Johann Gudenus, actuel chef du groupe parlementaire FPÖ, suggère à son interlocutrice qu’il pourra, en échange de ce soutien, lui obtenir des marchés publics, au détriment de l’un des fleurons industriels autrichiens, la Strabag. M. Strache rêve de faire renvoyer plusieurs rédacteurs du Kronen Zeitung car « les journalistes sont les plus grandes prostituées de la planète », affirme-t-il dans cette vidéo.

C’est correct.

Les journalistes sont les plus grandes prostituées de la planète.

Mais vous ne pouvez pas trafiquer de la sorte pour les faire taire. La seule façon de les faire taire, c’est de les arrêter, de les juger pour trahison et de les envoyer en camp de travail.

C’est la seule façon d’empêcher ces gens de se vendre au plus offrant, c’est-à-dire à la finance juive.

Le rendez-vous d’Ibiza était en fait un coup monté pour piéger le patron du FPÖ, selon les médias allemands qui affirment ne pas savoir qui est derrière cette opération qui avait été organisée trois mois avant les législatives de 2017.

 

« On ne sait pas qui c’est ! »

Samedi, lors de sa conférence de presse, M. Strache a reconnu que la soirée avait bien eu lieu, qu’il avait eu « une attitude typique de macho provoquée par l’alcool » et il a présenté ses excuses à sa femme, à son parti et à M. Kurz, disant s’être comporté « comme un adolescent » en ne contrôlant pas ses propos.

Selon les extraits publiés, M. Strache décrit aussi à la visiteuse un mécanisme de financement de campagne permettant de contourner la Cour des comptes via des versements à une association et non directement au parti. Il cite des dons allant de 500 000 à 2 millions d’euros et égrène le nom de grands patrons autrichiens qui financeraient le FPÖ.

Strache était bourré, une jolie gonzesse slave est venue le brancher lors de cette soirée à Ibiza et il s’est mis à tout cracher.

« Montrez-moi votre chatte et je vous donne tous nos accords secrets avec les Russes »

Je ne peux décemment pas en vouloir aux juifs d’avoir exposé le système de financement occulte du FPÖ.

C’est de bonne guerre.

Pour ne pas se faire attaquer sur le terrain de la corruption, il existe une solution miracle : ne pas sombrer dans la corruption.

Strache a sombré dans la corruption.

Dans cette vidéo, M. Strache dévoile aussi sa proximité avec l’investisseur viennois Heinrich Pecina, controversé pour avoir racheté des médias en Hongrie, avant de les revendre à des personnalités proches du chef du gouvernement de ce pays, Viktor Orban. M. Pecina, estime-t-il, pourrait aider la jeune Russe en rachetant le reste des parts du Kronen Zeitung. « Le mec a repris tous les médias hongrois il y a quinze ans, jubile-t-il. Parce que les Allemands voulaient s’en débarrasser, parce qu’ils étaient en déficit. » Le modèle serait reproductible en Autriche.

« Nous voulons construire un paysage médiatique semblable à celui d’Orban », lâche le vice-chancelier, en évoquant également la privatisation possible d’une chaîne nationale.

Ici, je ne vois aucun « scandale ».

Seuls les juifs y voient un scandale.

Tous nos médias, en France, sont aux mains des juifs. Ce que voulait faire Strache, c’est ce que font les juifs chaque jour que Yahvé fait en France. Inutile d’énumérer ici la longue liste des médias tenus par les youtres en France.

C’est la même chose aux USA et partout en Occident.

Le fond de ce pseudo « scandale », c’est que les juifs ne tolèrent pas que les Blancs contrôlent leur presse.

C’est ce qu’ils reprochent à ce mauvais goy d’Orban : de ne pas laisser les juifs contrôler la presse hongroise.

Une fois que les juifs contrôlent la presse d’un état, cet état leur appartient.

Le parquet a déjà été saisi et a ouvert une enquête. Quand à la Kronen Zeitung, elle a qualifié « d’attaques » les paroles prononcées sur son compte par M. Strache dans l’intimité de ses vacances au soleil. Et promet de ne « jamais servir que ses lecteurs ».

Lol.

Oui, bien sûr.

La liberté de la presse juive.

Des entreprises autrichiennes veulent aussi désormais vérifier si elles n’ont pas perdu des appels d’offres au profit des Russes, depuis l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite.

Le président autrichien, Alexander Van der Bellen, a affirmé que « les démissions d’aujourd’hui ne sont qu’un premier pas ». Il jure que toute la lumière sera faite et il se porte garant d’une République « humiliée ». « Je ne tolère pas le manque de respect envers les Autrichiens, qui doivent pouvoir se reposer sur l’intégrité des institutions, » a déclaré cette personnalité respectée, pour qui le FPÖ constitue un très vieil ennemi.

Préparez-vous à une commission Robert Mueller à l’échelle de l’UE.

Cette affaire va être le point de départ d’une grande opération de destruction des partis populistes en Europe au nom de la lutte contre le complot russe mondial.

La presse juive et les partis juifs vont les accuser d’être ni plus ni moins que des agents russes et vont pousser, dans chaque pays, des enquêtes pour les anéantir.

Evidemment, cette même presse juive et ces partis juifs ne trouveront jamais rien à redire au fait que des états entiers sont infiltrés par des agents juifs à tous les étages ou que notre diplomatie est dictée par la juiverie ou Israël.

En tout cas cette affaire aura une nouvelle fois démontré que ramper complaisamment devant les juifs ne sert à rien.

Tous ces stratèges en chambre qui croient s’acheter une immunité en se faisant de stricts observants de la religion de LOLocauste sont encore plus impitoyablement détruits que les autres.

La juiverie internationale qui contrôle notre système financier, nos médias et, par ces deux biais, le système politique occidental, ne vont pas nous rendre notre liberté au motif que nous consentirions à leur dire des mots doux.

Le juif aime le pouvoir et tout ce qui renforce son pouvoir. Il veut dominer et dominer cruellement. La seule façon de le vaincre est d’être encore plus impitoyable que lui et de ne lui faire aucune espèce de cadeau.

Le juif craint la force et il mesure la force à sa propre échelle. Il sait parfaitement qu’il règne illégitimement partout où il s’installe et conçoit pour cette, à l’égard de ceux qui se prosternent devant lui, un sentiment de dégoût qui excite son sadisme. Car il sait que ceux qui rampent ne rampent pas sincèrement mais par peur et opportunisme.

Lui l’opportuniste éternel connaît mieux que quiconque ce qui meut un opportuniste. Il exploite férocement leurs faiblesses avec d’autant plus d’habileté qu’il connaît lui-même ses propres faiblesses d’opportuniste.

Le juif doit être informé de ce que nous ne lui offrirons aucun répit jusqu’à ce que l’Europe soit libéré de son emprise diabolique. C’est quand nous lui dirons les choses clairement à ce sujet que son pouvoir commencera à s’effondrer.

Car le pouvoir juif est un bluff : il ne repose que sur l’illusion de sa force, illusion qu’il crée artificiellement dans l’esprit des goyim grâce à sa presse menteuse.

Pour briser l’idole juive, il suffit d’éclater d’un long rire à la face de ce crapaud grotesque et de lui dire que l’heure est venue pour lui de prendre la route du départ.

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