Capitaine Harlock
Démocratie Participative
02 mars 2018
Le pharisien Moshe Kantor, persécuteur assoiffé de sang de l’Europe enchaînée
Oh, ramper devant la juiverie n’aura donc pas suffi.
Les dirigeants juifs européens ont réagi avec scepticisme à la publication d’un examen interne d’un parti d’extrême droite autrichien suite à la découverte de textes antisémites dans ses confréries affiliées.
Le président du Congrès juif européen Moshe Kantor et Oskar Deutsch, le dirigeant de la communauté juive autrichienne, ont rejeté l’audit interne du Parti de la liberté (FPÖ) dans des déclarations faites ces derniers jours.
La publication, a dit Kantor, « ne peut pas être juste un outil de diversion. » Et Deutsch dans une déclaration mardi l’a qualifié de « sans valeur » en l’absence d’action concrète.
Le Parti de la liberté, qui a été fondé par d’anciens responsables nazis et qui est maintenant un partenaire de coalition du parti au pouvoir de centre-droit, a nommé le mois dernier une commission d’historiens pour examiner le passé du parti suite à la découverte plus tôt ce mois-ci d’un recueil de chants de 1997 contenant des textes antisémites dans la confrérie « Germania zu Wu Wiener Neustadt ».
Cette découverte a entraîné la démission d’Udo Lanbauer, un homme politique régional du Parti de la liberté, qui est entré dans la coalition au pouvoir du chancelier Sebastian Kurz en décembre après avoir obtenu un quart des voix lors des élections législatives d’octobre.
Un deuxième recueil de chants avec des textes antisémites a été découvert la semaine dernière, appartenant à la Confrérie Bruna Sudetia basée à Vienne. Le chef de ce groupe fait partie du personnel du ministre de l’Infrastructure, Norbert Hofer, un politicien du Parti de la liberté qui a perdu l’année dernière de justesse l’élection présidentielle du pays.
Sous la direction de Heinz-Christian Strache, le Parti de la liberté a purgé ses rangs de quelques éléments antisémites qui, selon lui, n’ont pas leur place dans son mouvement.
Strache s’est rendu en Israël et lui et d’autres responsables du parti ont parlé favorablement de l’État juif. Certains d’entre eux soutiennent la reconnaissance internationale de Jérusalem comme capitale d’Israël, ont-ils déclaré.
Mais la découverte des recueils de chansons souligne la popularité du Parti de la liberté auprès des étudiants et la prédominance de la rhétorique antisémite dans leurs rangs. Cela a exposé Kurz à de nouvelles critiques concernant le partenariat de son parti avec le Parti de la liberté.
Lors d’un discours prononcé à la conférence du Congrès juif européen intitulée « An End to Antisemitism » à Vienne la semaine dernière, Kantor a mis en garde contre une tentative de diversion dans laquelle le Parti de la Liberté « trouverait des éléments de preuve contre quelques membres déjà exclus ».
Le comité d’enquête, a-t-il dit aux centaines d’universitaires qui se sont réunis à Vienne pour le symposium de cinq jours, « doit mener à des recommandations pratiques qui sont mises en œuvre ».
Voilà ce qu’il advient lorsque l’on accepte de se soumettre à cette race puante.
Ces juifs savent pertinemment que le FPÖ est sous contrôle et que ceux qui le contrôlent rampent devant eux. Mais ils entendent bien retirer toujours plus de dividendes de cette soumission.
Vous pouvez aller en Israël. Vous pouvez vous prosterner au pied du dernier proxénète juif du dernier bordel de Tel Aviv. Vous pouvez jurer vouloir infliger à votre propre peuple mille tourments pour que la juiverie se sente mieux : ce n’est jamais assez.
Le juif n’a cure des « excuses » ou de tout sentiment d’amitié : il veut la soumission totale de sa victime pour pouvoir se livrer à ses extorsions habituelles, en toute impunité.
Seul un idiot ou un lâche accepte de rentrer dans ce genre de marchandage avec la juiverie.
Comme nous l’avions déjà dit, les conspirateurs internationaux ont déclaré la guerre au gouvernement autrichien depuis Vienne même. C’est vous dire le degré d’impudence et de confiance en sa dictature qu’a cette race maudite. Plutôt que d’interdire cette provocation hébraïque, le gouvernement s’est confondu en excuses et a juré au terroriste juif Bernard Henri Lévy qu’il lancerait la traque à ses propres partisans.
Excitée par l’odeur du sang, la juiverie a sans surprise poussé son avantage.
Le juif ne comprend que le rapport de force pur.
Nous n’avons pas à parler à cette engeance. Nous devons l’écarter de nos vies. C’est-à-dire, libérer l’Europe de l’emprise de ces criminels fanatiques.