Australie : une nouvelle loi d’urgence sanitaire prévoit l’emprisonnement pour deux ans de tout opposant aux mesures gouvernementales

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 octobre 2021

Si vous voulez savoir ce qui nous attend, il vous suffit de regarder l’Australie.

Cet ancien bagne à ciel ouvert a retrouvé sa première fonction.

The Financial Review :

De puissantes lois d’urgence sur les pandémies sont sur le point d’être adoptées par le Parlement de l’État de Victoria, malgré les critiques virulentes selon lesquelles ces lois constituent un dangereux dépassement et concentrent le pouvoir entre les mains du Premier ministre Daniel Andrews.

Le gouvernement de l’État de Victoria a présenté mardi matin le nouveau projet de loi sur l’urgence en cas de pandémie, en faisant valoir qu’il avait été modelé sur des lois similaires de la Nouvelle-Zélande et de la Nouvelle-Galles du Sud.

Le Public Health and Wellbeing Amendment (Pandemic Management) Bill 2021 donnerait au Premier ministre le pouvoir de déclarer une pandémie et au ministre de la santé, plutôt qu’au responsable de la santé, le rôle de prendre des ordonnances sanitaires.

Les politiciens démocrates veulent utiliser la terreur sanitaire indéfiniment.

Ce Daniel Andrews qui dirige l’état du Victoria a une tête de malade mental.

C’est sûrement parce que c’en est un.

Il était désespérément prévisible de voir ces politiciens utiliser ces mécanismes de contrôle à grande échelle sans aucune restriction.

Mais quand on le disait, nous étions traités de complotistes.

Les personnes reconnues coupables d’avoir enfreint « intentionnellement et par imprudence » les ordres de santé publique risquent deux ans de prison ou une amende de 90 000 dollars, selon les lois proposées.

Cela veut dire que si le gouvernement décrète la vaccination obligatoire, ceux qui refuseront seront passibles de deux ans de prison – pour commencer.

L’opposition victorienne a qualifié ces lois de « draconiennes » et a prévenu qu’elles constituaient un « dépassement dangereux » qui place le pouvoir ultime entre les mains du premier ministre, sans aucune surveillance.

« Ce projet de loi est un dépassement très dangereux, plaçant tout le pouvoir – tout le pouvoir – entre les mains du premier ministre, sans aucun contrôle, une menace majeure pour la démocratie australienne », a déclaré le leader de l’opposition Matthew Guy.

Sans rire, Sherlock.

Comme toute « opposition démocratique » qui se respecte, cette opposition australienne se coordonne secrètement avec le pouvoir pour empêcher toute révolte.

Ce type de réactions sert à donner le change. Cela fait partie du simulacre.

M. Andrews et le ministre de la Santé Martin Foley ont déclaré au Parlement que ces lois spécifiques à la pandémie – avant que l’état d’urgence actuel n’expire le 15 décembre – ont été demandées par l’opposition et les députés d’opposition.

Le projet de loi semble bien parti pour devenir une loi. Le gouvernement Andrews doit obtenir les votes de trois députés indépendants au Conseil législatif pour faire passer la loi et a déjà obtenu les votes de Fiona Patten, Andy Meddick et Samantha Ratnam.

Ce système va non seulement être mis en place mais étendu à toute l’Australie, pour une durée indéfinie. C’est-à-dire aussi longtemps que la plèbe l’acceptera.

Une fois que ce système sera pleinement fonctionnel, tous les gouvernements du bloc occidental s’empresseront de le décliner dans leurs pays respectifs.

Donc, oui, les gens seront prochainement passibles d’années de prison s’ils refusent d’obéir au port du masque en plus de la vaccination, à une rencontre sans passeport sanitaire, etc..

Comme les prisons sont déjà pleines, il est peu probable que l’Etat s’en serve pour interner les opposants. Le plus simple est d’utiliser d’anciens bâtiments pour en faire des centres d’internement « sanitaires ».

C’est d’ailleurs ce que fait l’Australie en ce moment.

C’est le plan.

C’est le plan depuis le début.

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