Australie : panique chez les sémites alors que l’héroïque sénateur Fraser Anning exige une « solution finale à l’immigration »

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 août 2018

Hitler n’a rien fait de mal.

Le Monde :

Le sénateur du Queensland Fraser Anning a sidéré, mardi 14 août, de nombreux élus australiens en reprenant à son compte dans son premier discours devant la Chambre haute du Parlement la formule de « solution finale », qui désigne le plan nazi d’extermination des juifs d’Europe pendant la seconde guerre mondiale.

« Si tous les musulmans ne sont pas des terroristes, il est certain que tous les terroristes, de nos jours, sont musulmans, alors pourquoi voudrions-nous en amener davantage ? », a-t-il expliqué lors de son allocution, en demandant un retour à la politique qui voulait que les immigrants attendent cinq ans avant de pouvoir toucher les allocations de l’Etat. « La solution finale au problème de l’immigration est, bien sûr, un vote populaire » sous forme de référendum pour appliquer ces mesures, a-t-il dit.

Ouah.

Je suis jaloux.

J’aurais vraiment aimé inventer ce slogan. « la solution finale au problème de l’immigration ». Ce truc sonne comme un éclair en plein ciel bleu.

Enfin, deux éclairs.

Ce Fraser Anning est génial.

C’est exactement le chemin qu’il faut suivre et encourager à suivre. C’est seulement de cette manière, en débordant tous les interdits lexicaux juifs, que la libération des esprits de l’esclavage sémitique aura lieu.

Evidemment, il n’a pas fallu longtemps pour que les tocards du système politique et la racaille musulmane ne se mettent à geindre pour faire culpabiliser l’héroïque patriote.

« Ceux qui tentent de diaboliser les musulmans en invoquant les crimes d’une minorité d’entre eux ne font qu’aider les terroristes », a aussitôt condamné le premier ministre australien, Malcolm Turnbull, ouvrant la voie à d’autres déclarations semblables de la part de nombreux politiciens australiens.

La première élue musulmane du Parlement, Anne Aly, membre du parti travailliste, a notamment pris la parole devant les sénateurs peu après le discours de Fraser Anning. « Je suis fatiguée de devoir me battre, a-t-elle déclaré. Je suis fatiguée de devoir continuellement faire face à la haine et aux calomnies. »

Ha ha ha !

Ce Néo-nazi fait pleurer les pauvres moukères persécutées.

Pleure, Fatima, ce n’est que le début

J’aime quand ces bougnoules chialent.

D’ailleurs, pourquoi se sent-elle visée par la lutte contre la sauvagerie mahométane ?

Faites ce que vous voulez, ces rats agiront toujours comme une horde monolithique. Surtout lorsqu’ils vous parlent de « musulmans modérés ». Ils ouvrent la porte aux autres, invariablement.

Mais la meilleure leçon, c’est encore ce qui suit.

La sénatrice d’extrême droite Pauline Hanson, qui s’était elle aussi fait remarquer au Sénat pour y avoir porté une burqa pour en demander l’interdiction, a également dénoncé les propos de Fraser Anning. « Nous ne sommes pas une société raciale, a-t-elle déclaré. J’ai toujours soutenu qu’on ne devait pas forcément être blanc pour être australien. »

Seigneur, mais pourquoi tolère-t-on encore ces bonnes femmes en politique ?

Regardez-moi cette gueule de lesbienne dégueulasse.

Vous avez ce Fraser Anning qui se dévoue courageusement, qui est attaqué de toutes parts, mahométans en tête, et vous avez cette ménagère « droitiste » qui débarque sans qu’on lui ait demandé quoique ce soit pour assurer à tout le monde qu’elle n’est pas aussi méchante qu’on le dit et qu’on doit donc lui accorder toute l’attention qu’elle mérite.

Ah oui, précision : moyennant le soutien à l’invasion djihadiste.

Le syndrome Marine Le Pen.

Se faire mousser en tapant sur les gens pouvant éventuellement réagir sainement pour complaire au conformisme ambiant. En étant gentil avec les arabes.

C’est à pleurer.

Le bon côté de l’affaire, c’est le héros Fraser Anning n’a pas cédé un pouce de terrain face à la coalition des juifs, des femmes et des bougnoules.

Le sénateur n’a nullement regretté ses propos mercredi, affirmant qu’il ne connaissait pas le lien entre l’Allemagne nazie et l’expression de « solution finale ». « Je ne regrette rien, et je ne vais pas présenter d’excuses », a-t-il déclaré.

Fraser pour toujours.