La rédaction
Démocratie Participative
24 mars 2023
En Australie, Kelly-Jay Keen, une militante britannique anti-travestis, fait campagne pour que les femmes puissent conserver le droit d’aller aux toilettes sans se faire violer par des travelos.
L’autre jour, elle faisait un discours au pied du parlement régional à Melbourne.
Cette nana est originale et déterminée à remettre les travelos à leur place.
Kellie-Jay Keen s’est lancée dans une diatribe transphobe de près de 10 minutes sur le fait que son entrée en Nouvelle-Zélande pourrait être bloquée.
S’adressant à la déclaration du Premier ministre néo-zélandais, elle l’interpelle avec ce qui semble être une menace voilée.
Elle a terminé en déclarant : « Je ne perds jamais »
Kellie-Jay Keen has gone on a near 10-minute transphobic rant about her entry to New Zealand possibly being blocked.
Addressing the New Zealand Prime Minister’s statement, she challenges him with what seems like a veiled threat.
She finished off by stating « I never lose » pic.twitter.com/vjepfMYcAL
— Nich (@NichTopher) March 20, 2023
Des militants du Réseau National-Socialiste se sont invités et ont exprimé leur point de vue.
Leur slogan : « Détruire les pédo-monstres ».
Ils ont également fait des saluts aryens.
Des travelos et des communistes étaient présents (c’est la même chose de nos jours) et ils ont mal réagi.
Du coup, l’état du Victoria où se déroulait la manifestation a décidé d’interdire le salut blanc parce que les travelos sont en colère contre les femmes qui disent être des femmes.
Nous présenterons au Parlement un projet de loi visant à interdire le salut nazi dans l’État de Victoria.
Parce que les nazis et leur idéologie haineuse ne sont pas les bienvenus ici.
We’ll take legislation to Parliament to ban the Nazi salute in Victoria.
Because Nazis and their hateful ideology aren’t welcome here.
— Dan Andrews (@DanielAndrewsMP) March 20, 2023
La télévision australienne a immédiatement demandé à un juif à fort accent étranger d’expliquer ce qu’était l’identité nationale du pays, Dvir Abramovich.
Dvir Abramovich est le patron de la LICRA australienne, l’autorité coloniale juive en charge des affaires indigènes.
Abramovich a résumé la chose en disant que l’identité australienne était définie par tout ce qui n’était pas blanc et hétérosexuel. Ce qu’il appelle « la démocratie ».
Il a également déclaré qu’il était nécessaire d’interdire le salut blanc pour que les travelos se sentent mieux face aux femmes qui disent être des femmes.
La définition juive de la démocratie sous-entend de faire disparaître les hommes blancs hétérosexuels qui ont créé l’Australie.
Il n’y a aucun régime qui fait si instantanément la volonté des juifs qu’une démocratie. Il faut moins de 48 heures, montre en main, comme dans l’état du Victoria.
De l’Ukraine à l’Australie, c’est partout la même chose.