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La rédaction
Démocratie Participative
27 août 2023
À Aurillac, il y a eu un début d’insurrection de punks à chiens.
Le point de départ est le « festival des arts de rue », une expression emphatique pour désigner le rassemblement des dingos.
Sur ce, une traînée a voulu s’exhiber au nom de l’égalité.
Une horde de femmes fâchées avec l’eau et le savon ont semé le désordre, tentant de prendre d’assaut le tribunal.
L’équivalent d’un homme torse nu est-il une femme en haut de maillot de bain ? C’est la question qui se pose à Aurillac depuis qu’une femme est poursuivie pour s’être promenée seins nus en pleine canicule. pic.twitter.com/uzw8Yx0O7f
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
🇫🇷 FLASH – À #Aurillac, suite à l’interpellation de Marina pour s’être promenée seins nus par canicule, un millier de personnes manifestent en sa faveur lors du Festival international de théâtre de rue. Le slogan : « Libérez nos tétons de vos regards cochons! » Toutefois, la… pic.twitter.com/LXqocUZx4r
— Flash_INF0 (@Flash_INF0) August 26, 2023
Les traînées veulent montrer leurs seins.
Mais, si vous regardez leurs seins, vous vous ferez traiter de violeur.
Une manifestation en soutien à Marina est organisée devant l’hôtel de ville, au dernier jour du Festival de théâtre de rue d’Aurillac. pic.twitter.com/4eTFaCYXrn
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
Elles veulent donc s’exhiber sans être vues.
Les femmes sont seins nus, les hommes portent des brassières. pic.twitter.com/5Jf4C6cfDT
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
Elles aimeraient aussi sûrement rester vierges tout en se prostituant.
C’est la grande kermesse des tarées et des camés ce truc.
« Police nationale, milice patriarcale », chantent les festivaliers devenus manifestants. pic.twitter.com/zdjvDIYMHj
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
Marina, la festivalière qui est poursuivie pour exhibition sexuelle, s’exprime. pic.twitter.com/qMYjZcaeR7
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
« Mon corps, mon choix. Et ferme ta gueule », scandent les (nombreux) manifestants. pic.twitter.com/35tNhmi5WO
— Pauline Mareix (@PaulineMareix) August 26, 2023
L’ennui avec les femmes aux seins nus, c’est que la nature ne croit pas en l’égalité.
Il y a des seins que personne ne veut être obligé de voir.
C’est une agression sexuelle.
Qu’est-ce qu’on est censé faire de ça :
Les garces finissent toujours nues, car c’est l’ultima ratio mulieres.
Elles savent que leur valeur sociale est sexuelle, que cette valeur est évaluée par leur beauté plastique dont les attributs classiques sont les seins, les fesses, les jambes, etc.. Ce dont elles se plaignent, c’est de voir leur hypergamie bridée par les anciens codes moraux masculins.
Fort heureusement aujourd’hui, les très nombreux musulmans qui vivent en France n’aiment pas les femmes aux seins nues. Ils les violent jusqu’à ce qu’elles recouvrent. Cela tombe bien, car il faut être récemment débarqué d’Érythrée et ne pas avoir touché une femme pendant cinq ans pour vouloir approché une de ces goules qui tournent à la 8,6 et aux roulées.
Et je ne parle pas de leurs chicots.
L’artistaillerie anarcho-communarde hexagonale est unique dans le monde occidental. Le sale bruit de jazz manouche, les crasseuses sentant la pisse, les jeux de mots à la con, les dreadlocks, les poncifs nihilistes, c’est unique à la France.
Il faudrait un jour que quelqu’un fasse la généalogie de ce segment social, même si au fond, depuis Diogène, il y a toujours des anarcho-communistes en suspension ici et là.
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