Aujourd’hui en Fronce
Europe Ecologie Les Bruns
11 octobre 2020
• Seine-et-Marne. A 12 ans, le jeune cambrioleur présumé interpellé deux fois en 24 heures
Il a eu affaire aux policiers deux fois en 24 heures à une trentaine de kilomètres de distance. Un adolescent a été interpellé une première fois, dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 octobre, en marge de cambriolages qui ont été constatés à Chevry-Cossigny.
Une pharmacie et une supérette du centre-ville ont été forcées. A l’arrivée des policiers, trois individus ont tenté de prendre la fuite, mais les fonctionnaires sont parvenus à en rattraper Aux policiers, ce mineur non-accompagné a indiqué avoir 12 ans.
Selon une source policière, le jeune homme est connu sous huit alias différents. Dans les commerces, les cambrioleurs en herbe ont dérobé 150 € dans la caisse de la pharmacie, mais également des bouteilles d’alcool… et des bonbons.
Placé en garde à vue, il a ensuite été remis aux éducateurs de l’aide sociale à l’enfance (ASE), avant de s’échapper. Mais l’adolescent a rapidement refait parler de lui. Un cambriolage s’est déroulé ce lundi 5 octobre vers 4h15, dans le centre-ville de Melun. Cette fois, c’est un marchand de journaux de la rue René-Pouteau : le rideau de fer a été soulevé au pied-de-biche.
Source : La République de Seine-et-Marne
• Yvelines : sept «mijeurs» arrêtés après une razzia de nuit
Les « mijeurs » continuent de sévir dans les Yvelines. Sept de ces jeunes délinquants, appelés ainsi car il est difficile de déterminer s’ils sont majeurs ou mineurs, ont été interpellés durant la nuit de mercredi à jeudi suite à une série de cambriolages commis dans des commerces de Chatou et de Versailles, ainsi que dans un pavillon de Sartrouville. Les sept jeunes, pour la plupart d’origine marocaine, qui disent être âgés de 13 à 27 ans, ont été placés en garde à vue dans les différents commissariats. (…)
Source : Le Parisien
• TRIBUNAL DE CHALON – Il frappait sa victime sur un parking de lave-auto à Chalon sur Saône
« Il tapait là où il pouvait taper, pendant une bonne vingtaine de minutes. Il l’insultait en langue arabe. Il était extrêmement violent. » La présidente Clara Verger montre des photos de la victime à ses assesseurs, « elle est dans un état épouvantable, pas un endroit de son corps ne porte pas de plaie ». L’auteur présumé est dans le box. Il avait bien bu, il dit qu’il ne se rappelle de rien.
Les faits ont eu lieu à Chalon sur Saone sur un parking de lave-auto. Des gens ont appelé la police, la fille hurlait, son agresseur aussi, il la frappait même au sol. Une scène horrible. Un couple. Elle vit en Belgique, il est venu en France à Montceau-les-Mines il y a deux mois pour y travailler, au black. Il est en situation irrégulière, ils ont un enfant, et elle a une interruption temporaire de travail de 10 jours suite à ce passage à tabac. Lui, il est l’objet d’un mandat d’arrêt européen délivré par un tribunal belge (condamné pour vol avec violence). L’interprète l’écoute puis traduit : « Il dit que c’est ses copains qui ont rajouté son nom. »
Il a insulté les policiers, ils sont 5 à se constituer partie civile. « Bande de fils de p…, je vais égorger vos mères. » Il dit que non. Il dit qu’il n’avait jamais frappé sa copine laquelle a dit que si, mais ni elle ne dépose plainte, ni elle n’a voulu être entendue.
De mensonges en faux fuyants, les déclarations du jeune homme passées par le filtre de la traduction semblent un peu longues. Le jour décline, la salle est vide, le prévenu balance toute sa vie perso et incrimine des tiers, dit qu’il aime la fille.
Il avait fait un passage dans un centre de rétention administratif dans le sud de la France, avait vu un psychiatre. En a-t-il besoin ? Il répond à côté, c’est pas son souci premier. Se considère-t-il comme violent ? Il répond à côté.
Maître Ronfard, pour les policiers, revient sur les insultes, puis sur ce moment pénible où le prévenu maculait sa cellule de garde à vue de ses excréments.
Maître Diry fait « un constat de désolation » et puis aussi le constat des limites de notre système judiciaire qui n’offre aucune accroche pour ce genre de situation, où« personne ne donne rien à personne ». C’est un dossier dont aucun des protagonistes n’est en interaction avec la justice. C’est la désertion, le vide. L’avocat ne comprend pas la position de la victime, ne comprend pas comment aucun des hommes présents n’ont pu soustraire la victime aux coups. Quant au prévenu : « Ce n’est pas quelqu’un de normal, entre guillemets. Il a le traumatisme de la traversée, le traumatisme du réfugié, point final. »
Le prévenu a dit à l’interprète comment presque tous étaient morts « pendant la traversée », « et voilà », autre constat de désolation, « mais il fait l’objet de poursuites dans un autre pays, et aujourd’hui la seule puissance qu’il rencontre c’est la vôtre. Mais je vois un homme en détresse qui a besoin d’aide et de traitements ». L’homme qui est dans le box dit qu’il ne va pas bien, qu’il est malade psychologiquement et qu’il demande « le pardon ». Il a 34 ans, mais sa stature est celle d’un ado et avec le masque on le croirait mineur.
Le tribunal le condamne à 15 mois de prison ferme, ordonne son maintien en détention.
Source : Info Chalon
• Viol d’une quinquagénaire à Chalon-sur-Saône : 12 ans de prison requis
Depuis lundi, se tient au tribunal de Chalon-sur-Saône le procès d’Ardane Maoulida, un jeune Mahorais domicilié à Saint-Étienne-en-Bresse, accusé de viol sur une quinquagénaire.
Ce mercredi soir, l’avocat général Béatrice Moure a demandé une peine de 12 ans de réclusion criminelle contre Ardane Maoulida, qui aura 21 ans la semaine prochaine. Huit ans de suivi sont également inclus dans ce réquisitoire indiquent nos confrères du Journal de Saône-et-Loire .
Source : Le Bien Public
• Une femme hystérique revient saccager le rayon des alcools dans le même magasin de Reims
Le 16 septembre, une femme avait saccagé le rayon des alcools dans un magasin de Reims, lors d’une crise d’hystérie (NDA : en hurlant « Allahou Akbar »). Sortie de psychiatrie, elle a récidivé ce jeudi matin. Les dégâts sont encore plus importants.
Le gérant du Spar est dépité. Situé avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, son magasin avait subi une perte financière le mois dernier après le saccage du rayon des alcools par une femme hystérique. Il n’a pas encore été indemnisé que la même personne, sortie de psychiatrie, est revenue ce jeudi à 9 heures dans son supermarché pour saccager encore plus de bouteilles. Des centaines ont été détruites, les clients évacués, le magasin fermé.
(…)
Sur le trottoir, Salah Byar retrouve un jeune du quartier, Mohamed. « De l’extérieur, on la voyait qui cassait le rayon », raconte-t-il.« On a tapé au carreau pour lui dire par gestes qu’il fallait se calmer. Quand elle nous a vus, elle a jeté des bouteilles vers nous, contre la vitre. Avec une troisième personne, nous sommes entrés par la réserve, puis nous avons commencé à discuter avec elle, de loin. Elle avait des bouteilles à la main, mais elle ne les jetait plus. »
Salah Byar reprend. « Elle a laissé tomber les bouteilles et s’est jetée sur moi, pour se coller comme un enfant qui veut un câlin. Elle pleurait : “Je suis malade ! J’ai un gros problème à la tête ! Aidez-moi ! Aidez-moi !” Elle parlait de sa pièce d’identité espagnole sur laquelle elle est voilée et de son titre de séjour où elle ne l’est pas car elle avait été obligée de retirer son voile pour la photo. Elle disait que c’est à cause de ça qu’elle avait des problèmes. »
« Elle nous a également dit avoir cassé les bouteilles car sa religion interdit de boire de l’alcool », ajoute Mohamed.
« C’est n’importe quoi de dire ça. Nous ne sommes pas dans un pays musulman mais je n’ai pas osé lui faire la remarque car j’avais peur que ça la remette en colère alors que nous avions réussi à la calmer. » (…)
Source :
L’Union
• Violences à Arc-sur-Tille : il trouvait déplacés les baisers d’un jeune couple sur la plage
« Un passage à tabac parce qu’un couple s’embrassait sur la plage. Personne ne parle d’une orgie qui aurait entraîné une onde de choc. » Lundi, le représentant du ministère public remettait les pendules à l’heure. « Ce qui est interdit, c’est de s’en prendre violemment aux gens », s’est-il exclamé, avant de requérir 400 € d’amende à l’encontre du prévenu.
(…) « On n’était pas loin de l’attentat à la pudeur. Il y avait des mineures : mes deux jeunes sœurs de 12 et 16 ans. Je suis intervenu pour le leur dire ! », avant de recevoir des insultes qu’il qualifie de racistes et qu’il cite : « “Ici, c’est la France. C’est chez nous. Rentrez dans votre pays !” ».
(…) Le prévenu aurait frappé l’homme à coups de poing et de pied, même tombé au sol. La jeune fille aurait été la cible de deux femmes, «dont l’une voilée ( sic )».
(…) Elle regrette que le parquet ait classé sans suite la plainte de son client pour violences et craint que cette affaire ternisse sa demande de naturalisation française.
Finalement, le prévenu a été reconnu coupable des violences et condamné à une amende de 200 €.
Source :
Le Bien Public
• Ducey-les-Chéris. À 18 ans, il est condamné pour la 13e fois
« Vous n’avez pas mis longtemps pour expérimenter la juridiction pour les majeurs. » Le président du tribunal correctionnel de Coutances s’adresse au jeune prévenu, qui était cité, vendredi 9 octobre 2020, selon la procédure de comparution immédiate, pour vol aggravé, en récidive.
Ce dernier, un Avranchinais, 18 ans depuis un mois, affiche déjà douze mentions à son casier judiciaire, prononcées par le tribunal pour enfants, et a déjà connu trois périodes de détention dans des établissements pour mineurs.
« Quand j’étais mineur, je me sentais intouchable. Aujourd’hui, j’ai compris » , assure le prévenu, demandant qu’on lui laisse une chance, après que la substitute a requis, à son encontre, une peine mixte comprenant quatre mois de prison ferme avec mandat de dépôt. « Ils viennent tous les deux de prendre conscience de leurs actes », plaide leur avocate.
Le tribunal a laissé
« une ultime chance » au jeune homme pour sa
treizième condamnation en prononçant à son encontre une peine de huit mois d’emprisonnement avec sursis probatoire renforcé de deux ans avec obligation de soins psychologiques et de travail, ainsi qu’à un Travail d’intérêt général (TIG) de 140 heures.
Les deux jeunes n’en ont pourtant pas fini avec la justice, étant convoqués prochainement dans d’autres procédures.
Avignon : Toufik, 26 ans, multirécidiviste, condamné pour avoir foncé sur des policiers. “J’ai paniqué, voilà…”
Lyon : un pompier agressé devant sa caserne, il a reçu un coup de hachette à la tête, l’assaillant neutralisé
Calais (62) : agressés par une centaine de migrants, huit CRS blessés
Orly (94) : un jeune de 20 ans tué par lynchage
Saint-Ouen (93) : trois blessés dans une nouvelle fusillade sur fond de trafic de drogue
Rillieux-la-Pape (69) : des véhicules brûlés, des pompiers attaqués, une église incendiée par “un commando criminel”
Châlette-sur-Loing (45) : la police contrainte de fuir face aux habitants de la cité sensible de Vésines (vidéo)
Chimilin (38) : nuit d’horreur pour un couple dépouillé après avoir été ligoté
Essômes-sur-Marne (02) : un octogénaire très violemment agressé par un jeune voleur multirécidiviste… qui passait son stage de citoyenneté
Paris (1er arr.) : avec la “colocation solidaire et multiculturelle”, un Somalien paye un loyer de 75€/mois pour un studio de 24m². “L’idée, c’est de fabriquer des Français”
Annecy : sept mineurs étrangers épinglés à la gare avec 17 téléphones et des bijoux
Angers : 3 jeunes filles agressées sexuellement dans le train par un migrant érythréen en situation irrégulière, un passager est venu s’interposer
Lyon : deux lycéens interpellés pour avoir volé une carte bancaire sous la menace d’un tournevis
Xirocourt (54) : deux hommes, issus de la «communauté du voyage sédentarisée», mis en examen pour «coups mortels» après l’agression d’une octogénaire
Caen : un Bangladais sera jugé pour viol et agression sexuelle
Montpellier : des migrants tabassent un quinquagénaire qui refuse d’acheter de la drogue, un riverain qui s’interpose est poignardé
Valenciennes (59) : 4 individus interpellés pour avoir frappé, tenté d’étrangler et menacé de mort trois passants
Nantes : “Le centre-ville est devenu un coupe-gorge” : le ras-le-bol des habitants, la majorité municipale fissurée
Saint-Étienne : lacéré de plusieurs coups de cutter, un homme laissé pour mort dans la rue
Gagny (93) : de la cocaïne retrouvée dans une école maternelle, deux enfants hospitalisés
Montpellier : trois mineurs non accompagnés d’origine algérienne arrêtés après un home-jacking et une folle course-poursuite
Coutras (33) : un “jeune” agresse un bébé de 20 mois et deux femmes car “elles ne descendaient pas assez vite” du train
Reims : Otari, un Géorgien de 29 ans, s’était spécialisé dans le vol de caisses de KFC. De retour en France, il est interpellé à l’aéroport… et ressort libre du tribunal
Herblay (95) : 2 policiers blessés par balle, dont un grièvement, ils ont été “massacrés” par 3 agresseurs ayant dérobé leurs armes
Le Pecq (78) : le 14 juillet, 4 jeunes sans permis avaient volé un bus pour se rendre sur les Champs-Elysées. Ils se justifient par “l’euphorie de la Fête nationale”
Lyon : trois mineurs en situation irrégulière arrêtés après une agression
Angers (49) : Un commerçant et son fils sauvagement tabassés en pleine rue par trois “jeunes”. “J’ai cru que j’allais mourir”
Le Boulou (66) : il percute la voiture d’un homme qui roulait trop lentement à son goût, puis le tabasse à coups de barre de fer devant ses enfants… l’agresseur venait de sortir de prison et était sous cocaïne
Montpellier : Âgé de 13 ans, un Albanais déambulait avec un hachoir de boucher à la ceinture. Il avait déjà été interpellé pour la même raison l’année dernière
Sarcelles : une femme de 81 ans agressée et dépouillée à son domicile par 3 “jeunes” armés, un ado de 16 ans connu de la police mis en examen
Niort : agression au couteau dans le centre-ville
Sèvres (92) : les policiers attaqués alors qu’ils intervenaient pour un attroupement d’une cinquantaine d’individus tournant un clip en utilisant des mortiers
Lyon : plus de 200 pompiers manifestent pour dénoncer la hausse des agressions : “ce sont des tentatives de meurtre, ce ne sont plus des incivilités”
Bron (69) : “Ceci est un message de guerre, on va vous tuer” : le maire et les policiers menacés de mort après une opération anti-stupéfiants
Saint-Denis (93) : une cinquantaine d’individus agressent des élus en plein conseil municipal, un adjoint blessé
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=1m3mGt85bqE