Captain Harlock
Démocratie Participative
03 décembre 2018
Vraiment, préparez-vous à une insurrection générale dans la capitale française.
Sur Paris, la vermine ethnique s’engouffre dans la brèche.
Pendant que @CCastaner se met en scène de façon grotesque et donne des leçons à la Terre entière, les bandes ethniques sèment le désordre à #Aubervilliers ce matin et forcent la police à fuir.
Y a-t-il encore une autorité en France face à la racaille ?! pic.twitter.com/Gt2OHOsDio
— Stéphane Ravier (@Stephane_Ravier) 3 décembre 2018
Ici pas de #CRS depuis 2 heures que ça chauffe ! ?♂️??♀️?#Aubervilliers #pantin #GiletsJaunesParis #GiletJaunes #paris #banlieue pic.twitter.com/9uvZHMXkUF
— Eve (@EveNaila) 3 décembre 2018
Manifestation de lycéens à Aubervilliers : un homme armé aperçu ► https://t.co/4EaTQtWRDg #GiletsJaunes #SeineSaintDenis pic.twitter.com/HvNw7DFul5
— France 3 Paris (@France3Paris) 3 décembre 2018
Ces arabes et ces nègres sentent que le fruit est mûr. Le fruit de la guerre raciale.
En somme, la chasse aux flics est ouverte.
Nous devons distinguer les CRS du reste de la police. Nous avons beaucoup de sympathisants chez les flics, il ne faut pas perdre ça de vue.
Les CRS d’un autre côté ne sont rien d’autre que la garde prétorienne du régime, la seule et unique chose qui permette à Macron de contrôler l’Elysée. Sans eux, l’Elysée serait pris d’assaut dans la journée. Les salons seraient pillés et les murs tagués.
Le bureau de De Gaulle serait maculés de slogans « Justice pour Adama ».
Le palais présidentiel serait probablement livré à l’incendie par les insurgés avec un impact médiatique et politique mondial.
Ces CRS le savent. Ils savent à quel point le gouvernement ne tient plus que grâce à eux. Mais ils arrivent au bout de leurs limites.
« Gilets jaunes » : « Pendant un laps de temps, on s’est retrouvés à court de munitions », affirme le syndicat CRS Unsa-Policehttps://t.co/aPpoJKJP8o pic.twitter.com/YbqQqptqun
— franceinfo (@franceinfo) 2 décembre 2018
Il devient de plus en plus probable que leur dispositif cède.
Nous ne sommes vraiment qu’au début de ce chaos grandissant.