Au dessus de la Mecque, Thomas Pesquet le dhimmi souhaite une bonne fête du ramadan aux musulmans

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 mai 2021

 

Thomas Pesquet est un produit hyper marketé de Macron pour faire vivre le mythe de sa « start up nation », un concept d’origine israélienne qu’il a purement et simplement copié/collé en 2017 pour faire croire qu’il était en phase avec le 21e siècle.

Pour une fois, c’est un goy qui vole la propriété intellectuelle des juifs.

Ce bouquin n’est pas inintéressant. Israël a repris de l’armée allemande la très grande autonomie de ses officiers au niveau opérationnel, à un point tel que l’armée israélienne ressemble à une organisation anarchiste. Les grades sont pratiquement inexistants en pratique, un lieutenant tutoyant un général est une chose banale.

Comme Israël est virtuellement un état en guerre depuis l’origine, ses officiers conservent cet esprit d’initiative dans le civil et montent des entreprises ou des escroqueries innovantes.

Que Macron ait eu le front de comparer ce système de gestion avec le poulailler cégétiste français est franchement obscène. Mais le pire, c’est que les gens ont acheté son bluff en pensant que c’était un vrai projet politique. Le projet de Macron n’est pas différent de celui de Hollande, Sarközy, Chirac ou Mitterrand : importer l’Afrique et augmenter les impôts.

La France n’est donc pas la dernière Tesla mais une vieille Lada louée par Monsieur Shekelstein à Moqtar Ibn Youssef pendant que Jean Dupont fait la route à pieds.

Du coup, même quand Macron veut bluffer, il doit quand même s’adapter au nouveau contexte culturel.

La team patriote saucisson-pinard doit rager.

Il ne faut pas manquer de leur rappeler que Pesquet a montré bien moins d’empressement que Marine Le Pen à souhaiter une joyeuse fête de l’égorgement de moutons aux couteaux de la paix.

De l’extrême-droite à l’extrême-gauche, le consensus est formé : l’islam est indissociable de la culture française.

*Merci à Lug

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