Attentat de l’État Islamique à Paris : la « prémonition » menaçante de Meyer Habib à Emmanuel Macron

La rédaction
Démocratie Participative
03 décembre 2023

 

Encore un djihadiste de l’État Islamique, connu comme le loup blanc, qui peut tranquillement passer à l’acte en France.

20 Minutes :

Une attaque, qualifiée de « terroriste » par Emmanuel Macron, a une nouvelle fois endeuillé samedi soir la France. Un touriste allemand est décédé dans l’ouest de Paris sous les coups d’un assaillant armé d’un couteau et d’un marteau et connu des autorités françaises comme un islamiste radical à l’état psychique décrit comme instable. Voici ce que l’on sait de cette attaque perpétrée moins de deux mois après celle sanglante dans un lycée d’Arras et suite à laquelle le niveau d’alerte a été élevé sur l’ensemble du territoire.

L’attaque s’est passée peu après 21 heures entre le quai de Grenelle et Bir Hakeïm, dans les XVe et XVIe arrondissements, à quelques encâblures de la Tour Eiffel. L’assaillant s’en est pris à un couple de touristes allemands. « Le mari est décédé sous les coups de couteau », selon le récit livré par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui s’est rendu sur place. L’épouse a eu la vie sauve « grâce à un chauffeur de taxi qui semble être intervenu » et dont la présence aurait fait fuir l’assaillant de l’autre côté de la Seine, a ajouté le ministre.

Quatre policiers, rapidement dépêchés sur place, le poursuivent à pied. Ils tentent une première interpellation. Mais l’assaillant, « les mains dans son par-dessus », les menace de porter des explosifs, selon Gérald Darmanin. Il continue son échappée, agresse alors deux autres personnes, avant d’être interpellé près d’un square après deux coups de taser. L’assaillant « n’a pas ses jours en danger et pourra donc répondre de ses actes devant la justice », a souligné le ministre.

Un couple de touristes allemands a été touché : l’homme, né en 1999, est décédé des coups de couteau. La femme « n’a pas été attaquée physiquement » mais est « extrêmement choquée », a précisé Gérald Darmanin. Deux autres personnes ont été agressées : « une personne serait blessée d’un coup de marteau au niveau de l’œil et une autre serait particulièrement choquée ». Les deux sont un Français, âgé d’une soixantaine d’années, et un touriste étranger.

Il s’agit, selon une source policière, d’Armand Rajabpour-Miyandoab, un Français né en 1997 à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine. Cet homme au « profil très instable, très influençable », selon une source sécuritaire, avait déjà été interpellé en 2016 par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) pour un projet d’action violente à La Défense. Il avait été condamné à cinq ans d’emprisonnement et était sorti après quatre ans de détention. Depuis 2020, il vivait chez ses parents en Essonne et serait suivi pour des troubles psychiatriques importants, « même troubles neurologiques », a détaillé Gérald Darmanin. Il avait cessé de prendre son traitement, a affirmé une source sécuritaire. Samedi, une vidéo de revendication a été postée sur les réseaux sociaux concomitamment de son acte. Il y est question de l’actualité, du gouvernement et de meurtre de musulmans innocents.

On dirait que les autorités confondent maladie mentale et pratique de l’islam.

Selon le récit du ministre de l’Intérieur, l’assaillant était samedi soir « manifestement prêt à tuer d’autres personnes ». Il aurait prononcé « Allah Akbar » à plusieurs reprises et aurait dit aux policiers quelques instants après son interpellation qu’il « ne pouvait plus supporter que les Musulmans meurent, tant en Afghanistan qu’en Palestine. » Il aurait également déclaré qu’il « en voulait de ce qui se passait à Gaza et que la France serait complice de ce que faisait Israël ».

Cette dernière affirmation est inexacte. « Armand » a revendiqué son action au nom de l’État Islamique, comme à Arras et à Bruxelles, mais rien de plus.

La vidéo :

Ces derniers temps, les juifs n’étaient pas satisfaits du manque d’enthousiasme d’Emmanuel Macron pour leur sanglante opération d’épuration ethnique à Gaza.

D’ordinaire, le gang de Tel Aviv brandit le péril djihadiste pour rappeler ce qu’il en coûte de traîner des pieds.

Ce sont toujours les mêmes profils de tocards archi surveillés de l’État Islamique qui, comme par miracle, passent à l’action sous le nez des flics.

Si les mahométans n’ont généralement pas besoin d’excuse ou d’explication pour égorger des infidèles, le timing, les auteurs et les circonstances sont toujours les mêmes.

Ces attaques bénéficient également toujours aux mêmes.

Je penche donc naturellement pour la piste d’un coup fourré des juifs, soucieux de maintenir la pression sur la diplomatie française qui dispose d’un siège au conseil de sécurité de l’ONU.

En hébreu, coup fourré se dit « prémonition ».

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