Art dégénéré : 110 millions de dollars pour une croûte pondue par un nègre camé

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
19 mai 2017

L’effondrement de la culture occidentale se manifeste par la négrification stupéfiante des arts.

20 minutes :

Un record pour l’artiste underground new-yorkais. Un tableau sans titre de Jean-Michel Basquiat a été vendu jeudi 110,5 millions de dollars lors d’enchères organisées par Sotheby’s à New York, un record pour le peintre new-yorkais. Ce grand tableau (1,83 m sur 1,73 m) qui représente une tête noire inquiétante sur fond bleu azur a été adjugé après plus de dix minutes d’enchères, une durée très inhabituelle.

Voici la mirobolante acquisition dont il est question :

Cela a été commis par le nègre héroïnomane Jean-Baptiste Basquiat.

Wikipédia :

Malgré le succès de son exposition, il se rend à nouveau à Hawaï au mois de juillet, afin de se défaire de sa toxicomanie. Il rentre à New York le 2 août et déclare être guéri de son addiction.

Dix jours plus tard, Jean-Michel Basquiat est retrouvé mort dans son appartement de Great Jones Street d’une overdose d’héroïne et de cocaïne.

Chez lui, comme chez le nègre en général, tout est obscène. Et navigue entre le meurtre rituel, parfaitement exprimé par la pornographie primitive du trait, l’homosexualité et l’indécence.

Juste pour rappel, l’homme archaïque européen surclassait – et de loin –  ces bouses africaines il y a 30 000 ans.

Vous y retrouvez le mouvement, la légèreté et la grace, ce dont sont incapables les nègres.

Mais c’est précisément pour leur obscénité, leur homosexualité suggestive, bref leur pénis symbolique que l’art nègre est prisé des dégénérés. C’est-à-dire des pédés et des juifs.

Il est aussi célébré par l’Occident dégénéré parce qu’il est naïf, incapable de dépasser le stade infantile.

Cet art convient parfaitement à l’esprit femelle de l’époque, qui alterne entre masochisme en quête de sauvagerie et maternage.

Le propre de l’art européen est la pudeur, la noblesse, la poésie qui peut même se manifester dans le nu ou les scènes de violence.

Même dans des scènes quotidiennes anodines, l’esprit souffle.

Chez l’Européen, tout est spirituel.

Chez le nègre, tout est dans le bas-ventre.