Arnaque aux aides Covid : une famille juive détourne plus de 11 millions d’euros et se fait arrêter avant de s’enfuir en Israël

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 juin 2021

QUI ? QUI ? MAIS QUI ?

Le Parisien :

Au cœur de la nuit, dans un bel appartement de Pantin (Seine-Saint-Denis), Dan J. réveille sa femme et ses deux enfants, boucle quelques valises et prend la route. Ce mardi soir, le Franco-israélien de 30 ans vient de constater que tous ses comptes bancaires avaient été vidés et gelés. À 2 heures du matin, la famille prend la direction de la Suisse pour attraper un avion pour Tel-Aviv (Israël). Dan J. ne le sait pas, mais les gendarmes de l’Office central de lutte contre le travail illégal et de la section de recherches de Toulouse (Haute-Garonne) le suivent à la trace depuis plusieurs jours. Lorsqu’il arrive au péage de Replonges (Ain), un comité d’accueil lui tombe dessus. Dan J. et sa femme sont interpellés. Quelques heures plus tard, à Paris, ses parents et sa sœur sont à leur tour placés en garde à vue.

Vous savez tous que les antisémites présentent toujours les juifs comme un peuple de déracinés et de vagabonds, s’enfuyant dans la nuit après avoir pillé un énième pays qui les avait généreusement accueillis.

Mais ce n’est pas parce que sont des antisémites qui le disent que c’est faux.

Ce vendredi, Dan J., sa femme et son père ont été mis en examen notamment pour escroquerie en bande organisée, blanchiment, association de malfaiteurs et recel de biens dans le cadre d’une information judiciaire ouverte en janvier par la Juridiction nationale chargée de la lutte contre la criminalité organisée (Junalco), selon une source judiciaire. Dan J. et son père dorment en prison. La famille J. est suspectée d’avoir joué un rôle de premier plan dans la retentissante escroquerie au chômage partiel. À eux seuls, Dan J. et ses proches auraient détourné plus de 11 millions d’euros d’argent public destiné à aider les entreprises pendant la crise du Covid-19. L’enquête a établi que la famille avait tenté de spolier plus de 40 millions d’euros d’aides publiques au total.

Les juifs ruinent votre économie à coups de confinements à répétition grâce à un virus qu’ils sortent de leurs laboratoires.

Ensuite, ils pillent le fruit des emprunts que le gouvernement fantoche souscrit auprès des banques juives internationales pour survivre à ces confinements.

Enfin, ils touchent les intérêts des dits emprunts.

Dites-moi, vous ne haïssez pas les juifs ?

Dans un box appartenant au père de famille, les gendarmes ont saisi 1,7 million d’euros en cash, des montres de luxe d’une valeur de 230 000 euros, ainsi que des bijoux en or et en diamant. 750 000 dollars (plus de 630 000 euros) ont par ailleurs été bloqués sur un compte bancaire. Les gendarmes ont aussi mis au jour, avec l’aide d’Europol, un circuit perfectionné de blanchiment via des cryptomonnaies…

Retour un an en arrière. Le 16 mars 2020, la population est confinée, les entreprises fermées. « Le dispositif de chômage partiel sera massivement élargi », promet Emmanuel Macron. Deux mois plus tard, la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte) d’Occitanie détecte une première fraude. À Limoges (Haute-Vienne), l’organisme relève 1 200 demandes suspectes. Le phénomène s’avère national, la faille détectée par les escrocs juteuse. Ces pros de l’arnaque usurpent l’identité de petites entreprises et demandent à toucher le chômage partiel au nom de ces sociétés… mais c’est sur leurs comptes qu’ils font virer l’argent. Urgence économique oblige, les contrôles sont rares et l’argent transféré presque sans vérification par l’État. L’arnaque devient tentaculaire. Quand le parquet de Paris reprend la main sur l’ensemble des procédures, le montant total des aides indûment demandées se monte à 182 millions d’euros ! L’État parvient à stopper l’hémorragie et les virements, mais 53 millions sont déjà loin.

Dans cette combine, Dan J. aurait servi de « logisticien de luxe » d’un des groupes criminels. Il aurait ainsi réclamé le chômage partiel au nom de 3 600 entreprises usurpées. Il est aussi suspecté d’avoir supervisé l’ouverture par des « mules bancaires » de dizaines de comptes utilisés pour faire virer les indemnités en France avant leur départ pour l’étranger, où l’argent devient beaucoup plus difficile à tracer. En travaillant sur ces comptes, les gendarmes ont pu éviter la fuite de 3 millions d’euros vers l’étranger… et identifier Dan J. Pendant des semaines, le jeune homme et son entourage, suspecté de l’aider à cacher l’argent, sont épiés par l’OCLTI et la SR de Toulouse qui confirment leurs suspicions et le trouble rôle de Dan J.

Les autorités israéliennes sont avisées et prennent le relais lorsque le père de famille se rend dans l’Etat hébreu, où il dispose de nombreux contacts et d’un pied à terre. Ce mercredi, en même temps que l’interpellation de Dan J., un proche du père de famille a d’ailleurs été interpellé et auditionné en Israël avant d’être relâché. À Netanya, dans un « call center » utilisée par l’organisation pour monter ses arnaques, les policiers israéliens ont aussi saisi une forte somme d’argent ainsi que du matériel informatique de haute technologie.

L’ambassade d’Israël se félicite de « l’excellente coopération entre les services de polices des deux pays. Cette collaboration a permis l’arrestation, la condamnation et l’extradition de nombreux criminels ces dernières années. » Mais cette enquête n’est pas terminée pour autant. Homme de premier plan du réseau, Dan J. ne fait sans doute pas partie des concepteurs de l’arnaque, qui sont susceptibles de se trouver en Israël et d’être impliqués dans d’autres fraudes au chômage partiel…

Les juifs fonctionnent selon le principe du « pas vu, pas pris, pris, pendu ».

Le quartier général de la mafia juive internationale situé en Israël opère avec le plein appui de la « vitrine » gouvernementale de cet état fictif. Il est bien entendu à Tel Aviv qu’il faut parfois consentir à sacrifier quelques escrocs pour calmer de temps à autre les nations pillées, tout spécialement la France qui est l’une des proies les plus faciles à vider de son sang d’Europe.

Le deal est d’ailleurs assez simple : si les escrocs se font avoir à l’étranger, Israël fait mine de coopérer. S’ils sont sur le territoire de la colonie juive, les juifs recourent à des mesures dilatoires à base « d’enquêtes » ou « d’auditions » pour user l’intérêt des goyim qui sont de toute façon incapables d’interférer. Plus tard, ils sont discrètement autorisés à reprendre leurs activités.

Même leurs premiers ministres font de la prison fictive. C’est totalement normal chez eux.

Comme Ehud Olmert qui vivait dans un bungalow pendant sa « détention » tout en se baladant ici et là, selon ses convenances.

C’est la même chose qu’avec des espions normaux. Un espion en mission à l’étranger sait qu’il court le risque d’être démasqué. S’il se fait démasquer, son état fait mine de ne rien savoir et assure publiquement être disposé à « coopérer ». Quand l’affaire se tasse, on négocie l’élargissement des prisonniers.

Les juifs ont trois millénaires d’escroqueries internationales de ce genre à leur actif. C’est leur mode de fonctionnement. Ils l’assument au reste parfaitement entre eux.

La célèbre grand-mère juive de Defamation l’a résumé : « les juifs sont des escrocs… les juifs connaissent toutes ces singeries ».

4:50′ :

D’une certaine manière, on ne peut pas en vouloir aux juifs d’être des rats et de faire ce que font les rats. En revanche, on doit en vouloir aux goyim stupides qui laissent les rats entrer chez eux, encore et encore, en dépit du fait qu’ils savent parfaitement que ces rats agiront comme des rats.

Vous ne pouvez pas répéter sans cesse la même action en espérant un résultat différent. C’est la définition de la folie.

Si vous ne voulez pas être pillés par des juifs, commencez par interdire aux juifs de poser un seul pied dans votre pays. Sinon, ne venez pas vous plaindre une fois dévalisé.

Commentez l’article sur EELB.su