Ariège : « Moi, Pakistanais. Elle, elle est russe. Pour moi, la France, c’est rien. Ce que je veux, c’est la fille. Donnez-moi la fille, c’est tout »

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mars 2021

 

Connaissez-vous l’Ariège ? Ce département pittoresque se situe à la frontière espagnole, bordé par la chaîne des Pyrénées.

S’y trouve le fameux château cathare de Montségur.

Mais les temps changent. Les gens aussi.

Désormais, c’est une terre d’élection pour les conquérants venus du Pakistan pour y faire souche avec les jeunes Slaves qu’ils ont réduites en esclavage après les avoir faites prisonnières lors de leurs razzias.

La presse régionale nous en dit plus.

La Dépêche :

Poursuivi pour s’être introduit avec un couteau au centre d’accueil des demandeurs d’asile de Pamiers, ce Pakistanais de 36 ans voulait s’assurer que sa « promise » (âgée de 14 ans !) n’avait pas rencontré un autre homme. Mais la jeune fille, terrorisée, ne veut pas de lui. Et ses parents ont dû intervenir pour désarmer le prétendant encombrant… et inquiétant, qui persécute l’adolescente depuis des mois. Devant le tribunal correctionnel, l’homme n’a cessé de réclamer qu’on lui donne la jeune fille. Il a été condamné à trois ans de prison ferme.

Échanges surréalistes, ce mardi, en fin d’après-midi, entre le président du tribunal correctionnel Hervé Barrié et un prévenu d’origine pakistanaise, poursuivi pour avoir brandi un couteau au centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada), de Pamiers, affolant une jeune fille et sa famille, obligées d’utiliser la force pour le maîtriser.

« Moi, ce que je veux, c’est la fille », a martelé cet homme de 36 ans, en France depuis trois ans et demandeur d’asile débouté tout récemment, le jour même de l’audience. « M. le président, alors, vous me la donnez la fille ?», a insisté l’homme, s’adressant au magistrat interloqué.

« Qu’est-ce que vous comptez faire si elle refuse de vous épouser ? Vous savez qu’en France, vous ne pouvez pas l’épouser contre sa volonté !? », lui a répliqué le magistrat, rappelant l’aversion de la jeune fille pour cet amant encombrant et inquiétant. La réponse du prévenu laissera le tribunal sans voix : « Moi, Pakistanais. Elle, elle est russe. La France ce n’est rien », assure l’homme. « Vous pensez que la France a besoin de vous ? », l’interroge alors le magistrat. « Pour moi, la France, c’est rien. Ce que je veux, c’est la fille. Donnez-moi la fille, c’est tout », répond l’homme, imperturbable.

Le magistrat, quoique de bonne volonté et croyant fermement à l’intégration du Pakistan en Ariège, démontre par sa réaction à quel point il est encore imbu des clichés paternalistes d’une justice blanche qui reste structurellement raciste et colonialiste.

En laissant entendre que ce fier combattant de l’islam n’a pas le droit d’épouser une Slave capturée, il exprime l’idée que la France serait une nation « civilisée » et le Pakistan une nation « barbare ». Barbare parce qu’islamique.

C’est odieux mais tant que la magistrature ne sera pas plus diverse, ces problèmes se poursuivront. D’ailleurs, Nicolas Sarkozy s’en est plaint récemment.

Le chemin est encore long mais il faut néanmoins l’emprunter, ne serait-ce que parce que les juifs nous le dictent.

En tout cas, ces deux jeunes femmes russes ont découvert dans les confins de la France méridionale toute l’audace des pakistanais.

L’avocate de la jeune fille et de sa maman, Maud Trespeuch, d’abord sidérée, rappellera la gravité des faits, et le traumatisme vécu par ses deux clientes : « Rosina et sa mère, Svetlana, ont peur de cet homme, a expliqué l’avocate. Cette crainte dure depuis des mois. Le comportement de cet homme a conduit à son expulsion du foyer du Cada, en décembre 2019. Depuis, tous les jours, il s’installe dans sa voiture pour surveiller les allées et venues de ma jeune cliente. Puis il y a eu cette intrusion, le 10 janvier dernier. Il était armé d’un couteau. Leur peur a été très vive ». L’homme avait d’ailleurs prévu de jouer du couteau s’il trouvait l’adolescente avec un autre homme. Et de cet homme, qui lui fait peur, Rosina n’en veut pas, ni maintenant, ni jamais, a conclu Me Trespeuch.

« Une expertise psychiatrique aurait été nécessaire », a répondu Me Magalie Obis, avocate du prévenu. « En 2019, on l’a exclu du foyer. Aujourd’hui, on veut le mettre en prison. On ne fait que déplacer le problème », a affirmé l’avocate. Les magistrats ont tranché : trois ans de prison ferme. « Je n’oublierai pas la fille », a répondu le Pakistanais imperturbable. « Vous allez avoir le temps d’y penser », lui a répliqué le président Barrié.

Vous aurez relevé que les juges n’ont jamais évoqué la possibilité, même théorique, de renvoyer le moudjahid dans son Pakistan natal.

Ici, donc :

Ils le veulent ici :

Profitons-en pour remercier, entre autres, Pierre Blazy.

Pierre est né en 1885 à Saint-Martin-de-Caralp avant de s’installer à quelques kilomètres de là, à Varilhes, toujours en Ariège.

Soldat du 20ème Régiment d’Infanterie, Pierre a eu le privilège de mourir à 31 ans le 26 juillet 1916 à Verdun, au fond d’une décharge à ciel ouvert faite de cadavres en putréfaction près du fort de Souville.

Ce mouvement fut décidé par le génialissime Général Mangin, officier qui importa des dizaines de milliers de cafres en France moyennant citoyenneté pour y saigner des Blonds de Germanie et y sauter au passage autant de Gauloises que possible afin de donner une glorieuse postérité à la France, une fois tous les Pierre Blazy définitivement rétamés.

Les Françaises, déjà, n’étaient pas farouches.

Gisti :

Entre deux récits dramatiques, Abdoulaye Ndiaye reprend son souffle. A midi, il boit une gorgée de lait caillé, plonge la main dans le thiebou djen, un plat de riz garni au centre de miettes de poisson que l’une de ses belles-filles ne manque jamais de lui apporter sous son arbre. Puis il évoque ses aventures galantes dans la France de 14-18, les femmes françaises qui lui ont proposé le mariage. « Nous portions une chéchia rouge et un uniforme kaki. Les femmes trouvaient ça joli ; elles nous arrêtaient. » « Mademoiselle, une Blanche très belle, m’a dit : « Abdoulaye, quand tu iras au front, ramène-moi une balle allemande ». Je l’ai fait. » Il se souvient du goût du poulet qu’elle lui avait fait parvenir, mais surtout de sa proposition de « casser coco » avec elle. Il dit avoir refusé cette invitation à « l’adultère » parce que les « gris-gris » qu’il portait autour de la taille et du cou pour se protéger en auraient « perdu leur pouvoir ». « Elle m’a répondu : « Tu es fou » ». « Les Allemands arrachaient les gris-gris sur les cadavres des tirailleurs, ajoute-t-il. Ils pensaient ainsi s’approprier les secrets de leur courage et de leur férocité. »

Il n’y a pas de comptabilité, hélas, mais la France a récolté quelques dizaines de milliers de négrillons qui depuis 1918 ont eux aussi fait souche sur 4 générations, contre-colonisant l’ADN de bien des familles franques.

Mais qu’est-ce en comparaison des prodiges contemporains des quelques 7 ou 8 millions de nègres, mulâtres, quarterons, métis afro-réunionnais de musulmans d’Inde qui s’emparent annuellement de centaines de milliers de Françaises suppliantes, dévouées à la défécation de petits crépus couleur flaque de boue, divisions fraîches qui demain seront lancées contre Polonais, Hongrois, Slovaques, Baltes, Croates afin de civiliser ces peuplades racistes et libérer leurs femmes du fléau aryen ?

Hélas, toutes les Blanches ne sont pas des Françaises et nos Slaves d’Ariège n’ont pas encore intégré les codes culturels de la République. Ces femmes ingrates se refusent à nos pakistanais – pourtant parmi ce qu’il y a de plus fringuant dans notre arsenal racial.

Ce sera donc trois ans de prison – moins de deux en réalité – avant que Roméo d’Islamabad ne se mette en chasse pour punir la jeune Svetlana d’un large coup de surin dans la gorge, non sans l’avoir violée en rétribution.

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