Captain Harlock
Démocratie Participative
30 Décembre 2020
C’est la grande nouvelle du jour pour l’Internationale des Traînées : l’Argentine vient de légaliser l’avortement.
Le message ici c’est le suivant : « La loi nous autorise enfin à être totalement des putes ! ».
Le journal juif Le Monde est tout particulièrement satisfait suite à l’annonce de la légalisation de l’extermination de centaines de milliers d’enfants non-juifs.
A vrai dire, c’est tout sauf une nouvelle puisque le pays pratique l’avortement à l’échelle industrielle depuis des décennies.
Le dernier rapport sur le sujet évoque entre 370,000 et 500,000 avortements par an, ce qui fait de l’Argentine (44 millions d’habitants) un des pays avec le plus fort taux de concentration de traînées de la planète. Par comparaison, la France (67 millions d’habitants) procède à un peu plus de 200,000 avortements par an.
Un état qui tolère l’avortement – quand il ne l’organise pas – est un état condamné. C’est une simple question d’arithmétique démographique.
Vous connaissez la fameuse citation de Bossuet.
Quand on parler d’avortement, on parler du choix entre le sexe récréatif pour les pétasses et une nation avec un avenir.
Cette question a reçu une réponse uniforme ces 50 dernières années en faveur de la première option.
Dans le système actuel fondé sur la turbo-consommation et l’assistanat social financés par l’endettement perpétuel, tout dépeuplement structurel ne peut aboutir qu’à l’effondrement de l’ordre social et à la misère. Parce qu’un tel dépeuplement suppose un déficit irréversible de de consommateurs et de contribuables.
Vous pouvez anticiper cet effondrement en croisant la pyramide démographique et la pyramide de l’endettement.
La France a multiplié par 3 sa dette publique ces 20 dernières années tout en perdant des habitants.
Et encore, si officiellement la France affiche 1,8 enfant par femme, c’est en raison des 40% de naissances d’origine allogène. Massivement musulmanes. Ce qui est un secret d’état – mal gardé – en France.
En Allemagne, le déséquilibre est beaucoup plus marqué, la nation étant écrasée par les Boomers.
Une dénatalité de masse comme celle qui est organisée depuis des décennies par les démocraties féministes entraîne inévitablement le recours à l’immigration de masse pour maintenir le système d’endettement qui sert à financer l’assistanat social, la consommation de produits importés et le remboursement des intérêts de la dette.
Progressivement, l’immigration du tiers-monde sert à financer l’assistanat social qui sert à financer la natalité du tiers-monde. La spirale mortelle du grand remplacement est enclenchée, l’immigration appelant l’immigration.
La cohérence du système est complète. Pour la finance juive et les grandes multinationales, féminisme et immigrationnisme confortent leur main mise sur les peuples blancs qu’elles exploitent férocement. La droite capitaliste et le cartel électoral de la gauche suivent à 100% parce qu’ils gagnent à 100%.
Sans parler de l’islam qui n’a qu’a exporté son trop plein démographique, conquérant une ville après l’autre.
Tout ça, donc, pour que des traînées puissent coucher avec n’importe qui.
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