Captain Harlock
Démocratie Participative
11 mai 2018
Le nez en quart de brie, l’oeil noir et gluant : le masque du crime hébraïque
Toute la grandeur morale du peuple élu vient de s’illustrer dans une affaire qui vient se dérouler en Argentine.
Ariel Cohen Sabban est accusé par l’actrice Esmeralda Mitre d’avances inappropriées et de tentatives d’extorsion ; l’actrice avait auparavant tenu des propos déplacés sur la Shoah
La Délégation des Associations Israélites d’Argentine, ou DAIA, a demandé samedi soir à Ariel Cohen Sabban de démissionner, à la suite de l’accusation publique portée contre lui par l’actrice Esmeralda Mitre.
Samedi, des réseaux sociaux en Argentine ont véhiculé plusieurs versions de la rencontre privée du président de la DAIA avec l’actrice et de sa conduite sexuelle inappropriée, tout comme de ses demandes de financements pour aider son organisation.
Certaines informations affirment que Sabban a fait pression sur Mitre pour obtenir de l’argent pour son groupe à la suite d’un incident, du mois dernier, dans lequel elle a minimisé le nombre de Juifs tués pendant la Shoah.
Ha ! L’aryenne devait demander pardon au roi juif !
Les caricatures antisémites n’existent pas.
Seul le youtre éternel existe.
L’araignée juive, engoncée dans son coin, guette, l’oeil froid et glaireux sa victime aryenne. Avec toujours le même stratagème.
L’actrice a déclaré dans un communiqué samedi soir s’être « retrouvée dans une situation désagréable en tant que femme et en tant que victime d’une demande d’argent illégale. Pour que les événements ne se reproduisent pas à nouveau avec une autre personne, j’ai fait savoir aux personnes concernées que les mesures nécessaires ont déjà été prises, et puisque je ne cherche pas l’agitation publique ou la vengeance, je ne vais pas lancer des actions judiciaires, faire des déclarations ou fournis des détails concernant les faits, je défends ma vie privée et ma carrière artistique ».
Il y a trois semaines, lors d’un entretien avec le site internet d’information Infobae, Mitre a relativisé le nombre de victimes de l’Holocauste. « Ils ont dit qu’ils étaient 6 millions, mais peut-être qu’il n’y en avaient pas autant », a-t-elle dit. Après une rencontre au quartier général de la DAIA, elle s’est excusée et a assuré qu’elle n’avait pas eu l’intention « d’insulter la communauté juive. Je m’excuse d’avoir manqué de respect à la plus grande tragédie de l’humanité ».
Cette shiksa était partie faire téchouva auprès de la juiverie d’Argentine après avoir déclarer qu’en effet, ce concept d’holocauste est bizarre.
L’attendait sur place le gros rabbin, frère de race des Strauss Kahn, Weinstein et Polanski. L’offre proposée était des plus classique : moyennant le tapin et une large somme d’argent, le yid graisseux allait offrir le pardon d’Israël à la goya.
Les avances sexuelles inappropriées se seraient produites à un autre moment, dans l’appartement de l’actrice.
Depuis novembre 2015, Cohen Saban était le premier représentant de la communauté orthodoxe juive à avoir été élu à la tête de la DAIA. Son mandat de trois ans devait se terminer en novembre, et il avait déjà lancé la campagne pour sa réélection.
La DAIA est composée des 125 institutions juives d’Argentine et dispose de 25 succursales locales. Elle assure également la liaison entre les Juifs d’Argentine et le gouvernement national.
Plus exactement, la DAIA, à l’instar du CRIF, assure la liaison entre les goyim d’Argentine et leur gouvernement juif.
Premier youpin orthodoxe, premier maquereau : quelle surprise.
Mais le détail le plus intéressant est celui-ci :
Le Comité des Directeurs de la DAIA a déclaré, après une réunion spéciale samedi soir, qu’il clarifierait exactement ce qui s’est produit, mais a demandé la démission de Sabban à cause de l’ébruitement public de l’incident.
Et oui, c’est en déballant tout sur la place publique que la juiverie, démasquée, a dû faire marche arrière. Pas les faits.
Voilà qui résume parfaitement la fonction de la religion de l’holocauste.