Captain Harlock
Démocratie Participative
25 Mai 2020
40 ans après cette affiche, la judéo-maçonnerie livrait la France à l’invasion afro-mahométane
Les conspirateurs maçons à la solde des juifs ont été ciblés en Ardèche, territoire où brûle la flamme de la résistance.
Hiram.be :
Le Temple de Serrières, en Ardèche, qui abrite deux loges de la GL-AMF a été saccagé la semaine dernière. Déjà tagué il y a environ deux ans, mais alors uniquement sur ses murs extérieurs, les vandales sont cette fois intervenus beaucoup plus violemment.
Mardi 12 mai, les responsables des locaux, fermés comme tous les locaux maçonniques en ce moment pour cause de Coronavirus, ont découvert lors d’une visite de contrôle de routine que les portes du local avaient été fracturées et que de nombreux tags avaient été peints sur les murs intérieurs. Le temps qu’ils organisent le nettoyage ils constatent dimanche 17 que les casseurs sont revenus et ont déchaîné leur haine avec beaucoup plus de violence puisque c’est un saccage complet du temple et des autres pièces du local qui a alors été perpétré. Même les lavabos des toilettes ont été fracassés !
Un « massacre » qui n’est pas sans rappeler – et qui a beaucoup de similitudes – avec celui du temple de Vienne, en février et en novembre dernier. Vienne et Serrières ne sont distants que d’une trentaine de kilomètres. Une plainte a bien évidemment été déposée.
Ici, nous sommes pacifistes. Mais tout le monde n’a pas notre patience face aux menées subversives de la coalition occulte à la botte de la juiverie mondiale qui se fait connaître sous le nom de « franc-maçonnerie ».
La maçonnerie est une forme de judaïsme de seconde zone pour goy. Les juifs ne mélangent pas les torchons et les serviettes, c’est pourquoi la maçonnerie leur sert d’antichambre pour les races qu’ils considèrent comme impures et inférieures. Les juifs ont d’ailleurs leur propre obédience, le B’naï Brith, à laquelle il est strictement interdit à un goy d’adhérer.
Sur le B’naï Brith, vous pouvez vous référer au livre d’Emmanuel Ratier, « Mystères et secrets du B’naï Brith« . Sur la maçonnerie, l’ouvrage de Jacques Ploncard d’Assac « Le secret des franc-maçons » vous sera très utile. Sinon, plus généralement, le site BalderRexLibris offre une abondante littérature érudite sur la nature profondément maléfique de cette organisation secrète (N’oubliez pas de soutenir ce site ici).
Les franc-maçons sont très discrets sur le sujet, eux qui passent leur année ronde à s’épancher sur le thème du racisme. C’est que ces esprits superstitieux revendiquent pour fondateur un certain juif se faisant appeler Hiram dont une obscure légende hébraïque affirme qu’il a édifié le premier temple dédié à l’exaltation de la race juive et de son droit autoproclamé à réduire l’humanité en esclavage. C’est pourquoi ces maçons se disent maçons et arborent une équerre et un compas : ils veulent aider la juiverie à bâtir l’édifice de sa suprématie mondiale.
Ces serviteurs des juifs sont si serviles qu’ils vont jusqu’à bâtir leur synagogue pour goy que sont leurs « temples » en copiant ce fameux temple de Jérusalem soi-disant construit par ce juif Hiram.
Hiram, le maître juif des franc-maçons
Nous avons donc à faire à une véritable organisation religieuse acquise à la victoire de la race juive dans sa lutte pour anéantir les nations de la terre.
On peut dire que ces gens sont bien plus radicaux que les djihadistes.
Ces maçons sont généralement des Boomers aussi idiots qu’arrogants, idiots utiles chargés de relayer l’influence sémitique jusque dans les territoires les plus reculés.
Ces brigands n’ont pas la conscience tranquille et évitent généralement de se réunir sur la place publique de peur d’être identifiés par la population qui pourrait s’intéresser à leurs activités réelles. C’est pourquoi ils judaïsent en secret dans leurs synagogues éco+ où ils se rassemblent pour conspirer contre le peuple.
Le film « Forces occultes » synthétise assez bien ce que ces conjurés de la suprématie juive sont occupés à faire le plus clair du temps lors de leurs réunions secrètes.
L’aspect le plus pervers de la maçonnerie est illustré par ce que l’on appelle les « fraternelles ». Ce sont des réseaux subversifs qui mélangent des franc-maçons de diverses obédiences, obédiences qui, officiellement, divergent voire se concurrencent. C’est dans ces fraternelles qu’un politicien de droite reçoit l’ordre d’aider un « frère » de gauche en réglant le compte d’un gêneur qui appartient tout comme lui à la « droite ».
De nos jours, ces vieux franc-macs sont passablement has been, la juiverie disposant d’autres moyens de diffuser son poison. Notamment grâce à l’internationale LGBT qu’elle a contribué à bâtir et qui est autrement plus solide que la maçonnerie qui reste un truc à prétention intellectuelle qui n’a pas le caractère festif de la sodomie sous poppers.
Mais la maçonnerie, avec sa dévotion vis-à-vis de Jéhovah, permet aux yids de s’adjoindre des serviteurs utiles, notamment dans la police, l’armée et la magistrature.
Ces gens-là nous haïssent car le juif est devenu leur âme.
Toute force révolutionnaire a besoin d’un mythe fondateur et d’une vision du monde si elle veut pouvoir mobiliser spirituellement les masses et atteindre ses buts historiques. Nous sommes nous-mêmes, par la force des choses, une sorte de nouvelle société secrète dont l’idée centrale est la libération de l’humanité blanche de la tyrannie sémitique que l’on appelle la démocratie.
Nous savons qui nous sommes et ce que nous voulons accomplir. Mais dans ce climat de persécution antiblanche, nous sommes contraints à agir dans le secret. Le secret est notre plus grand avantage stratégique et nous devons systématiquement le cultiver dans tout ce que nous faisons.
C’est ainsi qu’ont agi les juifs tout comme les franc-maçons et même les marxistes, ces autres serviteurs de l’esprit juif, lorsqu’ils ont entrepris de renverser l’ordre établi pour leur propre compte.
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