Captain Harlock
Démocratie Participative
05 octobre 2019
Une journée normale à la PP
Nos services de renseignement sont gérés par des djihadistes. Lol.
La justice enquête désormais sur une probable attaque djihadiste. Les agressions au couteau, commises ce jeudi à la préfecture de police de Paris (quatre morts et plusieurs blessés), sont désormais traitées comme un acte terroriste. Un séisme à l’échelle de l’institution policière car, cette fois, la mort est venue de l’intérieur.
L’assaillant, Mickaël Harpon, 45 ans, était agent administratif depuis 2003. Selon les premiers éléments de l’enquête et malgré plusieurs alertes sur une possible radicalisation après sa conversion à l’islam, un djihadiste en puissance était donc employé dans l’un des principaux services de renseignement français, en pointe dans la lutte contre l’islam radical.
C’est à se demander pourquoi l’armée française s’est faite botter le cul en mai 1940.
« Ce noir musulman qui crie allah akbar, c’est pas un djihadiste, si chef ? »
Il m’est d’avis que la « lutte contre l’islam radical » consiste surtout à renseigner les arabes.
Ce vendredi soir, après plus de vingt-quatre heures de flottements et de rumeurs, la section antiterroriste de la police judiciaire parisienne, mais aussi la Direction centrale de la police judiciaire ainsi que la DGSI, ont été officiellement saisis de l’enquête par le parquet national antiterroriste. Les premiers indices étaient pourtant connus très tôt par l’administration.
Oui, c’est vraiment étonnant.
On se demande qui aurait pu vouloir maquiller tout ça.
Avec les femmes et les hommes de la préfecture de police de Paris, unis et rassemblés en mémoire des quatre fonctionnaires décédés hier. pic.twitter.com/M5asYyND9T
— Christophe Castaner (@CCastaner) October 4, 2019
Il y a des détails importants en ces temps de consommation excessive de rhum planteur.
Nous n’allons tout de même pas remettre en cause l’intégrité de nos nègres des îles. Ni de la clique de Macron.
Le jour de la tuerie, l’une des victimes décline l’invitation à déjeuner de ses collègues. Ce major, membre de la DRPP, reste à son bureau. C’est là, au premier étage, qu’il est égorgé. « Les autres victimes sont, elles, frappées au niveau du thorax », relève une source proche du dossier. « Avec acharnement », ajoute une seconde source.
Vraiment ? Ça me surprend.
Les nègres sont gentils et rigolos pourtant.
L’enquête met très rapidement en évidence l’achat d’un couteau, muni d’une lame de 33 cm en céramique, une matière non détectable par les portiques de sécurité. Mickaël H. se l’est procuré le matin même à proximité de la préfecture. Peu avant de passer à l’action, il a envoyé à sa femme un SMS évoquant cet achat. C’est un des éléments centraux qui fera basculer le dossier, tôt vendredi matin. L’épouse, qui se trouvait toujours en garde à vue vendredi, aurait répondu en substance : « Seul Dieu te jugera. Allahou akbar ». Deuxième point central du début de l’enquête, l’analyse poussée du portable du meurtrier a démontré ses liens avec un prédicateur d’une mosquée du Val-d’Oise connu de la DGSI.
Oui, alors non.
Ce n’est pas un « prédicateur ». Il s’agit d’un citoyen français de confession musulmane qui exerce son culte librement dans le respect de la laïcité.
D’ailleurs islam veut dire « amour ».
Castaner (23/11/2017) «Certains, au nom de l’islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n’a rien à voir avec ce qu’est la religion de l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique»
pic.twitter.com/ZdpvHzUeKw— Alex (@AlexLeroy90) October 16, 2018
C’est plus ou moins du catholicisme sans porc.
Mickaël Harpon, en charge de la maintenance des ordinateurs du millier de fonctionnaires du renseignement parisien, avait accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical. Il disposait d’une habilitation secret-défense, situation qui impose une enquête administrative approfondie. « Il disposait notamment des adresses de chaque fonctionnaire », s’inquiète un policier. Ces quatre dernières années pourtant, le comportement de cet agent administratif avait plusieurs fois attiré l’attention.
Sur procès-verbal lors des premières investigations, un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ». Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ». Pour autant, il restait inconnu des services de renseignement, ces alertes n’étant apparemment pas remontées.
Bon, trêve de plaisanterie. C’est une catastrophe.
Enfin, disons que c’est une catastrophe dans la catastrophe qu’est l’invasion afro-musulmane.
Tous les profils des flics ont été transmis aux cellules djihadistes. Les arabes doivent avoir l’organigramme à peu près complet de l’antiterrorisme français.
Des repérages intensifs ont déjà été réalisés et des listes de cibles sont prêtes, dans l’attente d’un ordre.
Il n’y a peut-être aucun lien avec le couple de policiers égorgés à Magnanville mais les listes de flics existent et leurs adresses sont en possession des djihadistes.
Sans imaginer des foudres de guerre, j’imaginais les agents du renseignement français assez sérieux pour éviter de mettre leurs ordinateurs entre les mains d’un nègre musulman aussi tricard.
La seule explication alternative à l’incompétence complète, c’est une duplicité entre les haut-gradés du renseignement et les islamistes.
Vu le degré de compromission des politiciens avec les états du Golfe et leur « électeurs » adeptes de la secte du Bédouin, c’est tout à fait possible.
En tout cas, le résultat est le même.
À la mosquée de Gonesse, ville où habitait Harpon, on confirme que l’assaillant de la préfecture de police de Paris venait y prier régulièrement. Mais personne ne semble avoir détecté une quelconque radicalité. « Le soir en général, parfois le matin tôt mais jamais le vendredi en raison de ses horaires de travail. Il était présent à la prière il y a encore quelques jours », affirme-t-on.
On décrit un homme « très poli, discret et respectueux » qui serrait toujours la main des membres de l’association de la mosquée avec qui les conversations se cantonnaient à quelques échanges cordiaux en raison de son handicap (il souffrait de surdité). Pour les mêmes raisons, il semblait peu échanger avec les autres fidèles. « Il partait en général juste après la prière », explique-t-on. Et de préciser également que Mickaël Harpon s’était converti il y a déjà plusieurs années et qu’il n’avait « jamais donné aucun signe d’une pratique extrême de sa religion ».
Le traditionnel, « Si on voisan gontil, on comprond pa ».
C’est-à-dire que pour ces crouilles, al-Bagdadi est un modéré stressé.
Avec des critères comme ça, on comprend qu’ils ne trouvaient pas le martiniquais particulièrement remuant.
Le matin de l’attaque, Harpon aurait refusé d’embrasser les femmes, selon un policier. La conduite des premières heures d’enquête laissera des traces au sein des services de police. Des policiers, sous couvert de l’anonymat, évoquent en effet des pressions sur des membres de la DRPP pour ne rien révéler des alertes passées sur le comportement de l’adjoint administratif. Quelques-uns en ont fait état à la Crim’, refusant que leurs propos soient consignés sur procès-verbal.
Les autorités ont-elles cherché à minimiser la réalité ou, à tout le moins, retarder l’échéance de l’annonce d’un acte terroriste commis de l’intérieur ? Y a-t-il eu un problème de transmission de ces informations entre la DRPP, la PP et la place Beauvau ? Jeudi, peu après les faits, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmait que l’adjoint administratif n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale », ni « le moindre signe d’alerte ». Sollicité ce vendredi soir, le Parquet national antiterroriste se refusait à tout commentaire.
Castaner et Macron ont couvert ce que le renseignement a couvert depuis des années.
Ils ont d’ailleurs presque réussi jusqu’à ce que les flics de la PP passent à table dans la presse. Il a quand même fallu 4 cadavres au sein de la Préfecture pour que ça commence à tousser un peu.
Le baudet en a visiblement plein le cul de ces menteurs pathologiques que sont ces politiciens.
Jusqu’ici, la préfecture était surtout connue pour couvrir les conneries de Marouane Benalla.
Le préfet de police de Paris a juré ne pas connaître Alexandre Benalla. Raté : le Canard publie un chaleureux message de félicitations de Michel Delpuech adressé à l’ancien garde du corps de Macron en janvier dernier pic.twitter.com/YicJqlbp86
— Guillaume Stoll (@GuillaumeStoll) August 7, 2018
Bref. C’est pas comme si on découvrait quelque chose.
Ils ont recruté des arabes et des nègres, donc la police devient le théâtre de ce qui s’est passé quand on a rempli des quartiers d’arabes et de nègres : ils tuent leurs voisins.
Et comme ce truc inconnu en France qu’on appelle la génétique est têtu, ça va continuer et empirer, année après année.
Vous n’avez qu’à viser le nombre de ratons chez les CRS, Gardiens de la Paix, Bac, etc., pour deviner les joies républicaines qui nous attendent.
Et vu que les flics sont surtout préoccupés par « l’ultra-droite » ou par la fermeture de notre site pour complaire à des procureurs à la solde de la clique juive au pouvoir, les priorités ne sont pas la veille d’être revues.