Après une vague de hurlements de la synagogue, la fresque illustrant le rôle perfide du juif Attali détruite !

La rédaction
Démocratie Participative
24 juin 2022

 

 

En démocratie, il est interdit de critiquer un juif.

Parce qu’il est juif et que la race juive est sacrée.

Le président du B’naï Brith, une organisation maçonnique interdite aux non-juifs, s’est emporté contre une caricature très réussie du conspirateur juif Attali. Il a immédiatement sommé le gouvernement d’occupation de la détruire.

« Au plus vite »

Ces juifs ne dorment pas tranquille.

Cette fresque ne fait que décrire une réalité largement documentée : Macron a été créé par Attali.

C’est précisément parce que cette fresque décrit la réalité, qu’elle est attaquée par ceux qui se sentent visés.

Les juifs.

Sur tous les réseaux, ils hurlent qu’avoir une opinion est un crime en démocratie.

Même jusqu’au Proche-Orient, la race juive bave de haine face à l’insolence du grapheur goy.

La ville d’Avignon ne dispose d’aucun moyen légal pour la supprimer parce qu’elle ne contient rien de spécifiquement antisémite, sauf à partir du principe que caricaturer un juif est par définition antisémite.

C’est ce que disent d’ailleurs ces juifs.

Si l’origine juive d’un individu caricaturé suffit pour censurer une caricature, cela signifie que la race juive jouit légalement en France du privilège de ne jamais pouvoir être moquée, simplement de par son origine ethnique.

C’est du pur privilège racial.

Du racisme systémique.

C’est effectivement le cas, puisque lorsque l’on pose la question « qui? » contrôle la France dans une rue, on est poursuivi en justice et condamné par les juifs pour antisémitisme, prouvant ainsi par l’absurde que la France est effectivement contrôlée par les juifs.

Le plus drôle, c’est de voir tous ces juifs se contorsionner pour justifier leur tyrannie raciale au nom de la liberté.

Je ne m’en lasse jamais.

Quand ils parlent de liberté, ils parlent de la leur, celle qui consiste à pouvoir réduire en esclavage les goyim sans qu’ils puissent se révolter.

Naturellement, il suffit que le maître juif hurle pendant quelques heures pour que la France entière rampe.

Ces juifs tiennent la France entre leurs mains.

Mais un seul dessin suffit à la faire trembler sur ses bases. C’est le paradoxe du pouvoir juif : il ne repose que sur l’illusion de leur omnipotence.

Le jour où suffisamment de goyim l’auront compris et le défieront ouvertement, le juif sera fini en France.

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