La Rédaction
Démocratie Participative
21 août 2024
Meloni a mis au point un plan diabolique.
En plus de noyer l’Italie sous l’immigration légale (et illégale), elle entend répandre les germes de la pollution raciale en Albanie pour cacher l’ampleur de son incompétence.
Lors d’une visite en Albanie en juin, le Premier ministre italien, Giorgia Meloni, a déclaré que les deux centres destinés à abriter les migrants seraient prêts à accueillir les 1 000 premières personnes d’ici le 1er août.
Or, à quelques jours de l’échéance, des travaux de construction intensive sont toujours en cours dans l’un d’entre eux, ce qui laisse planer des doutes sur sa capacité à être entièrement prêt à temps.
Ni l’Italie ni l’Albanie n’ont indiqué quand les premiers migrants arriveraient.
L’accord controversé, en vertu duquel le pays des Balkans occidentaux accueillera des milliers de demandeurs d’asile au nom de l’Italie, devrait durer cinq ans et permettre d’héberger chaque mois jusqu’à 3 000 migrants recueillis par les garde-côtes italiens dans les eaux internationales.
Il a été signé par Mme Meloni et son homologue albanais Edi Rama en novembre dernier.
Les migrants seront d’abord contrôlés à bord des navires qui les secourent en mer avant d’être envoyés en Albanie pour un contrôle supplémentaire.
Les centres n’accueilleront que des hommes adultes, selon l’ambassadeur d’Italie en Albanie, Fabrizio Bucci.
Les personnes jugées vulnérables – femmes, enfants, personnes âgées, malades ou victimes de tortures – seront hébergées en Italie.
Les familles ne seront pas non plus séparées, a précisé l’ambassadeur. Les personnes envoyées en Albanie conserveront le droit, en vertu du droit international et du droit de l’Union européenne, de demander l’asile en Italie et de voir leur demande traitée dans ce pays.
Le traitement de chaque demande prenant environ un mois, le nombre de personnes envoyées en Albanie pourrait atteindre 36 000 en un an.
L’Albanie va donc recevoir près de 200,000 afro-musulmans sur les 5 prochaines années.
L’enrichissement va commencer là-bas aussi.
En théorie, si leur demande est rejetée, ils sont renvoyés dans leur pays d’origine.
Cela n’arrivera jamais.
Si l’Albanie consent à ce système, c’est tout simplement parce que Meloni a corrompu le gouvernement démocratique de ce pays avec l’aide de l’UE.
Tous les gouvernements démocratiques, sans exception, sont à vendre au plus offrant. Il n’y a pas un coup de poignard dans le dos qu’ils refusent d’asséner à leur propre peuple si le montant de cash est correct.
Le gouvernement albanais va discrètement libérer les masses allogènes de Meloni dans ses rues, se disant qu’ils ne traîneront pas dans les parages et se rendront en Allemagne, en France ou en Grande-Bretagne.
Une partie s’en ira effectivement, mais d’autres ne tarderont pas à décréter que l’Albanie comme terre d’islam appartient à toute l’oumma et pas seulement aux Albanais.
Les Albanaises vont assez rapidement redécouvrir les véritables racines de l’islam à la faveur des viols collectifs de Blanches.
Le torrent de boue raciale ne fait que commencer.
Lors d’un festival de musique albanais, des jeunes filles locales disent à une touriste indienne de « retourner en Inde ».
Female Indian tourist is told to « Go back to India » by local girls at an Albanian Music festival. pic.twitter.com/8kJcsYSHd7
— Posts By Feds (@SuspectFed) August 20, 2024
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